Luxure

comme ‘’Correspondances’’ Baudelaire utilisera beaucoup de champs lexical de l’exotique faisant référence à une de ses bien aimée Jeanne Duval. Les parfums permettent d’aller au voyage donner une dimension amoureuse avec la femme. Il y a aussi la luxure, la drogue, l’érotisme qui font partis des plaisirs charnels qui seront beaucoup développer comme l’homo sexualité entre les femmes dont Baudelaire parlera mais aussi la triste réalité que certaines personnes trouvent ou se réfugier : la drogue. Tout

coutumes et de certaines valeurs. Elle a effectivement apporté une morale aux hommes, puisque c'est elle qui définit le bien et le mal. Par exemple, la religion chrétienne a définit les sept péchés capitaux : la paresse, l'orgueil, la gourmandise, la luxure, la colère, l'avarice et l'envie. La religion est aussi à l'origine des valeurs comme la fraternité ou l'égalité, car tous les hommes sont égaux aux yeux de Dieu, quel qu'il soit. La plus grande force de la religion est, à mon sens, sa notion de fraternité

utopiques ASPECTS FEERIQUES L’extrait est décrit de façon merveilleuse : - le charme de l’accueil (l’amour après le voyage) - la simplicité enfantine, naïve de Candide et Cacambo - l’atmosphère merveilleuse d’abondance - l’atmosphère de luxure et de magnificence ordinaire, naturelle - l’exotisme, l’orientalisme ASPECTS SATIRIQUES Le texte est une satire de la société européenne avec ses règles et ses préjugés : - Satire de l’étiquette : parodie burlesque de différentes cérémonies

et de règne (si approprié :)1452-1498 | Les buchés des vanités de Savonarole.fd-121(1497) | * Les buchés de vanités ont lieu en 1497 et 1498 ,Les Florentins vont aller dans les maisons des habitants de Florence pour collecter «les objets de luxure » entre autres les bijoux féminins, les cartes et les dés , les œuvres considérées immorales ,cela signifie les objets qui sont considérés comme un pêché qui vont à l’encontre de la religion chrétienne, on détruit alors ces objets en les jetant

des moeurs décadentes, efféminées, dissolues, avec des préoccupations futiles et sans intérêt. Lignes 20 à 24 : Evocation des actions " ridicules " de la société Milanaise et de leurs moeurs étranges. Monde où règnent l'adultère, la tromperie et la luxure : une jeune fille se marie puis 2 ou 3 années plus tard prend un " cavalier servant ". III - Transformation des moeurs du peuple • • Lignes 24 et 25 : Opposition des " moeurs efféminées " aux " émotions profondes " (jeunes soldats pleins

l'interprétation. Les marchés agissent comme le docteur qui non seulement appuie là où ça fait mal tout en nous demandant de dire "33" mais encore nous propose une ordonnance à suivre pour guérir nos maux. Car de quels maux parlons nous ici? Envie, luxure, paresse, avarice, orgueil suivis de près par gourmandise et colère. Tout y est. Un des traits de notre société est bien l'attrait de l'argent facile, immédiat, même s'il faut le prendre à notre prochain et tout cela afin d'assouvir des besoins purement

les moments du combat chevaleresque. Saintré donc apprend d’abord, quels sont les péchés mortels qu’il faut éviter á la fois pour sauver son âme et pour être un bon amoureux. Ces péchés sont : orgueil, colère, envie, avarice, paresse, gourmandise, luxure. Puis Madame de Belle Cousine fait Saintré promettre, qu’il va remplir les commandements de christianisme, qui sont tous prononcés et rappelés par elle. Dans la question de religion elle est très stricte et elle exige que Saintré soit dévote et obéissant

corrompue de ses reins, un cri de désir et de rut ; qui rompt l'énergie, fond la volonté d'un roi, par des remous de seins, des secousses de ventre, des frissons de cuisse ; elle devenait, en quelque sorte, la déité symbolique de l'indestructible Luxure, la déesse de l'immortelle Hystérie, la Beauté maudite, élue entre toutes par la catalepsie qui lui raidit les chairs et lui durcit les muscles ; la Bête monstrueuse, indifférente, irresponsable, insensible, empoisonnant, de même que l'Hélène antique

mauvaise ». Elle commet ce pêché qui est l’inceste dans un lieu qui représente le paradis d’Adam et Eve, avec Maxime coureur de jupons. Pour Zola, Renée est la représentation parfaite de ces bourgeoises qui sont tombées dans le piège de la perverse luxure. Il est à noter que plus l’histoire avance plus Renée se déshabille jusqu'à finir en maillot provoquant d’Otaitienne. On assiste donc a la dégradation de Renée qui en prend conscience trop tard. Dans le même thème, on peut aussi remarquer que Paris

Portrait sociologique d’Emma BOVARY Emma Bovary est un personnage pour le moins instable. Elle s’est façonnée à travers le monde de la littérature lorsqu’elle était au couvent. On remarque que toute sa vie oscillera entre piété et luxure, envie. Toujours après des évènements qui la plongent dans la tourmente, elle cherche à se réfugier derrière la religion, comme pour racheter sa conduite. • Amour platonique avec Léon (chacun aimant l’autre secrètement) qui lui fait découvrir les joies