Lycée Thiers

suffrage censitaire depuis la loi de 1833. Le droit dʼéligibilité passe à 30 ans et le cens et abaissé de 1000 à 500 francs. Au sommet de la France se trouvent de nouvelles élites, comme des bourgeois universitaires tels que François Guizot et Adolphe Thiers, plusieurs fois ministres. Egalement une bourgeoisie industrielle avec Casimir Perier et Jacques Laffitte, riches banquiers devenus homme dʼétat français. Les mentalités changent et un système libéral et bourgeois basé sur le mérite et la richesse

République mais vote des lois constitutionnelles pour la fonder. Le 18 mars 1871, Adolphe Thiers, chef du pouvoir exécutif de la République française fait retirer les canons achetés par la population: C’est l’émeute. Le peuple se soulève, les insurgés, composé d’ouvriers, artisans, gardes nationaux rejoint par des soldats, empêchent le transfert des canons de la Garde Nationale de Belleville à Montmartre. Thiers et le gouvernement quittent Paris pour Versailles. Le 26 mars, le comité central des 20

s'empare des parisiens. L'assemblée nationale, réfugiée à Bordeaux et à majoritée conservatrice, veut punir la capitale rebelle et supprime la solde des gardes nationaux. Au même moment, les Prussiens font le siège de Paris.  C'est dans ce contexte que Thiers tente un coup de force en voulant s'emparer des 170 canons de la butte Montmartre. Les montmartrois refusent de céder. L'insurrection est poussé par plusieurs sentiments. Les parisiens se sentent d'abord trahis par le gouvernement Français, et

mai 1871. Après ce début chaotique, la république commence enfin à se mettre en place. Adolphe Thiers est Président mais ne souhaite qu'une république conservatrice. Il est finalement écarté par la droite monarchiste et le général MacMahon le remplace, élu par l'Assemblée. Mais l'idée d'une restauration devient de plus en plus improbable et les royalistes se rallient à l'idée de la république de Thiers, conservatrice. Malgré les hésitations concernant le type de république, les lois constitutionnelles

majoritairement libérale, du corps électoral. Enfin, la quatrième convoque les électeurs pour le mois de septembre. La nouvelle met en émoi la bourgeoisie et l'ensemble du petit peuple parisien.  Dans les bureaux du « National », le journaliste Adolphe Thiers rédige aussitôt une protestation solennelle, signée par 44 journalistes, et publiée le lendemain par « Le National », « Le Temps », « Le Globe » et « Le Journal du commerce », qui paraissent tous sans autorisation. Aussitôt, le préfet de police

permis au pays de surmonter de redoutables épreuves, dont celle de la Première guerre mondiale. La troisième République voit le jour après la chute du second Empire et au lendemain de la défaite contre le jeune Empire Allemand en 1871. Adolphe Thiers en est le premier président. La défaite à Sedan avait fragilisé la nation française, dans le sens où le monde politique été partagé entre le retour à une monarchie et la mise en place d’une République durable. Le système politique français était définitivement

perdurer la République à titre provisoire. B. La présidence de Thiers Le 12 février 1871, les députés désignent Adolphe Thiers à l’unanimité pour exercer les fonctions de « chef du pouvoir exécutif de la RF, (…) en attendant qu’il soit statué sur les institutions de la France ». Adolphe Thiers est un député centriste. Il a été plusieurs fois ministre et président du conseil sous la Monarchie de Juillet (grande expérience politique). Thiers n’est désigné que pour assurer la gestion des affaires urgentes

gauche qui veulent continuer la guerre compromis selon lequel la république sera un régime d'attente. Pour que se compromis soit efficace il faut trouver quelqu'un d'expérimenter pour remettre la paix et l'ordre Adolphe THIERS pour plaire au deux groupe le 17 février nomme Adolphe THIERS comme chef de pouvoir exécutif en attendant que les institution se mette en place et Adolphe précise consciemment les terme de son contrat que son action va se limiter a rétablir la paix mais sans engager quelque réforme

l'une d'elle, (ordonnance Poliniac), prévoie de supprimer toutes les autorisations de parution pour ne laisser renaître par la suite que les feuilles favorables au régime. Cette nouvelle est très mal accueillie, le national, avec a sa tète Adolphe Thiers, organise la résistance. Son appel est entendu et concourt au déclenchement de ce que l'on va appeler les 3 glorieuses, les émeutes du 27, 28 et 29 juillet 1830. A l'issu de cette période de restauration le journal n'est plus seulement n'est plus

adapter le régime de fait au droit, avoir une constitution : avec une organisation d’élection. 08 février 1871, les royalistes, ceux favorable à la monarchie, veulent la paix alors que les républicains veulent la guerre. Chef des républicains, Adolphe Thiers, ancien ministre, partisan avant d’une monarchie constitutionnelle. Sans être un vrai républicain et monarchiste il a les deux bords. 4) Élections législatives Sur 645