Lymphocyte B

d'avoir trop attendu la greffe qui l'aurait sauvé. SOMMAIRE : Problématique : Quels sont les différents aspects du don d’organe ? Introduction I- L’aspect technique A / La mort encéphalique B / L’immunologie C / Le déroulement de la greffe II- L’aspect humain A / Prise en charge avant la greffe B / L’accompagnement des familles C / La vie après la greffe D / Témoignage d’une personne greffée Expérience Conclusion I- L’aspect technique A / La mort encéphalique Le don d’organes en vue de greffe

Macrophages – Granulocytes (neutrophiles, éosinophiles, basophiles) – Lymphocytes B (lymphocytes B mémoire, plasmocytes) – Lymphocytes T (cellules T-amplificatrices T4, cellules T-suppressives, cellules T-mémoire, cellules T-cytotoxiques T8) – Cellules tueuses naturelles Natural Killer (Lymphocytes NK). 2.4. Parmi ces cellules, précisez le rôle des lymphocytes T mémoire. (1 point) Les lymphocytes T mémoire constituent une catégorie de lymphocytes T qui apparaissent lors d’une exposition à certains antigènes

« spécifique » (adaptative) des Vertébrés qui reconnaît les pathogènes. I. Historique de l’immunologie 2 A. Naissance et premiers pas de l’immunologie 2 B. Les premières théories en immunologie 3 1.Théorie cellulaire de l’immunité 3 2.Théorie humorale de l’immunité 3 II. Les composants du système immunitaire 4 A. Les barrières 4 B. Les cellules du système immunitaire 4 1.L’hématopoïèse 4 2.Lignée myéloïde 5 3.Lignée lymphoïde 6 4.Communications entre les cellules du SI 6

injecte le micro-organisme atténué au lot A. L’injection plus tard du micro-organisme pathogène à ce même lot se traduit par la survie de tous les individus. En revanche, les moutons qui n’ont pas été en contact avec le micro-organisme atténué (lot B) meurent tous lorsqu’ils rencontrent le micro-organisme pathogène. Les moutons ont été protégés par le micro-organisme atténué car ils ont produit des anticorps contre le bacille du charbon. Le micro-organisme atténué et le micro-organisme pathogène

sciencedirect.com journal homepage: http://france.elsevier.com/direct/REAURG/ MISE AU POINT Comment est réalisé un typage HLA ? How is HLA typing performed? V. Moalic a,b a Laboratoire de génétique moléculaire et d’histocompatibilité, hôpital Morvan, CHU de Brest, 2, avenue Foch, 29200 Brest, France b Inserm U613, 29200 Brest, France Disponible sur Internet le 3 avril 2008 MOTS CLÉS Histocompatibilité ; Typage HLA ; Polymorphisme ; Nomenclature HLA KEYWORDS Histocompatibility;

complément au niveau de la zone infectée. Ceci augmente la perméabilité des réseaux sanguins à proximité. Les phagocytes peuvent alors effectuer la diapédèse, c'est-àdire qu'ils traversent la membrane du vaisseau sanguin. Ils sont ensuite attirés par les B. Mécanismes de l'immunité naturelle Production de molécules de complément Augmentation de la perméabilité Sang Diapédèse Chimiotactisme Easy PDF Creator is professional software to create PDF. If you wish to remove this line, buy it now.

ses constituants (vaccins inactivés), ou de toxines auxquelles on a fait perdre leur pouvoir pathogène en conservant leur pouvoir antigénique (vaccins inactivés). • La mémoire immunologique est la capacité des cellules immunologiques, soit les lymphocytes B ou T, qui ont déjà été en contact avec un antigène, de reconnaître celui-ci et de réagir de façon accélérée et plus marquée à un nouveau contact avec lui par une réponse secondaire ou anamnestique (par exemple, après l’injection d’une dose de rappel)

LAFDIL Fouad pour sa disponibilité et le suivi apporté à mon stage. » RESUME Les lymphomes non hodgkiniens (LNH) sont des proliférations malignes de cellules issues des lignées lymphocytaires B, T ou NK. Ils s’expriment par le développement de tumeurs au sein du tissu lymphoïde et peuvent s’accompagner d’une phase circulante dans le sang périphérique. Ces lymphomes sont incurables dans la plupart des cas, surtout en ce qui concerne les lymphomes

l’immunodéficience humaine) est transmis par voie sexuelle, sanguine ou au cours de la grossesse par la mère à son enfant - le VIH appartient à la catégorie des rétrovirus (virus à ARN) - les cellules cibles du VIH sont des cellules du système immunitaire : lymphocytes T4, monocytes et macrophages - les cellules cibles possèdent un récepteur membranaire (CD4) auquel se fixe le virus par l’intermédiaire d’une protéine de son enveloppe (gp120), ce qui lui permet de pénétrer dans la cellule hôte (primo-infection)

secondaires : les amygdales, les végétations, les ganglions lymphatiques, et les plaques de Peyer (au niveau de l’intestin) * dans les circulations lymphatique et sanguine. - Les cellules immunitaires sont de différents types : lymphocytes T, B, macrophages (dont polynucléaires). - Le système immunitaire possède une « mémoire » : lorsqu’il rencontre un élément étranger (qui fait intrusion dans l’organisme), il est capable d’apprendre à le reconnaître, de garder cette capacité de reconnaissance