Lymphocyte B

raides… DOC 10 1 Des caractères propres à l’espèce humaine et des variations entre individus. PARTIE 1 • DIVERSITÉ ET UNITÉ DES ÊTRES HUMAINS « Usage strictement réservé à l'établissement Sainte-Croix de Neuilly, autorisé jusqu'au 31/07/17 » B Des caractères héréditaires ou non héréditaires Bernard Franck Monique Génération des grands-parents Nathalie union descendance Olivier Karine Génération des parents Tom Alice Gaëlle Louise Hugo Génération des enfants DOC 2 Sur l’arbre

et leur ancêtre commun exclusif. Si l’on fait cela ici, on doit inclure dans le groupe des Poissons leur ancêtre commun, mais celui-ci est aussi celui des autres animaux présentés. Ce groupe n’a donc pas de sens d’un point de vue évolutif. 2 L’ é t a b l i s s e m e n t de relations de parenté a. On ne peut préciser les parentés que sur le partage des états évolués des caractères. Le placenta est une innovation évolutive, mais comme seule l’Otarie en possède un dans l’échantillonnage choisi, ce caractère

Epstein Barr virus (E B V) 1.Présentation du virus Epstein-Barr virus est couramment appelé la mononucléose infectieuse Le terme mononucléose est formé des racines mono (unique/ seul) et nucleus (noyau). La maladie provoque une prolifération de lymphocytes (globules blancs) à un seul noyau. http://www.mononucleose.org/ La maladie a été découverte en 1958 en Afrique par le professeur Burkitt. Elle se présente sous forme de tumeur appelée « lymphome malin africain » Grace à des tumeurs

l’immunité innée est largement répandue chez les êtres vivants, l’immunité adaptative est propre aux vertébrés. Elle s’ajoute à l’immunité innée et assure une action plus spécifique contre les molécules ou parties de molécules reconnues comme étrangères. B-Le mode d’action des anticorps : Un anticorps est constitué de 4 chaînes polypeptidiques identiques deux à deux : 2 ch lourdes et 2 chaines légères. Chaque chaine comporte une région constante identique entre anticorps et une région variable qui diffère

relative) Basophiles 0 – 0,02 (valeur relative) 0 – 0,02 (valeur relative) Monocytes 0,02 – 0,1 (valeur relative) 0,02 – 0,1 (valeur relative) Lymphocytes 0,2 – 0,5 (valeur relative) 0,2 – 0,5 (valeur relative) Lymphocytes T 60 – 80 % des lymphocytes 60 – 80 % des lymphocytes Lymphocytes B 10 – 20 % des lymphocytes 10 – 20 % des lymphocytes Plaquettes 150 – 400 × 109/L 150 – 400 × 109/L Temps de prothrombine (PT) 9 – 12 s 9 – 12 s Temps de céphaline (PTT) 25 –40 s 25 – 40 s Temps de saignement

protéine du sérum sanguin sécrétée par les lymphocytes B ( globules blancs intervenant dans l'immunité) en réaction à l'introduction d'une substance étrangère (antigène ) dans l'organisme . Immunoglobuline : protéine du sérum sanguin sécrétée par les plasmocytes ,issus des lymphocytes (globules blancs intervenant dans l'immunité cellulaire ) de type B en réaction à l'introduction dans l'organisme d'une substance étrangère (antigène ). lymphocytes : cellule du système immunitaire ,responsable

HUMAINS 4 Chapitre 1 Tous semblables et tous différents Chapitre 2 Chromosomes et information génétique Chapitre 3 Information géntique et division cellulaire Chapitre 4 L’origine de la diversité des êtres humains 5 10 14 17 • PARTIE B RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L’ORGANISME 21 Chapitre 1 L’Homme face aux micro-organismes Chapitre 2 Les défenses de l’organisme contre les micro-organismes Chapitre 3 Stimulations et perturbations du système immunitaire 22 27 32

organes. -transfert des déchets (CO2, urée) des organes vers l’extérieur. -transport des anti-corps qui protégent l’organisme. -transport des gaz (CO2, O2). -participe aux échanges (de substance et d’informations )entre organes. b-le sérum : Pour l’obtenir, il faut coaguler du sang (qqes mn). Le caillot se rétracte après qqes heures et laisse partir un liquide jaunâtre : Le sérum. -sang normal : plasma (avec fibrinogènes) et éléments figurés (libres). -sang coagulé : sérum

humaine) est transmis par voie sexuelle, par voie sanguine ou au cours de la grossesse de la mère à l'enfant. Le VIH appartient à la catégorie des rétrovirus (virus à ARN). Les cellules cibles du VIH sont principalement des cellules immunitaires : lymphocytes T4, monocytes et macrophages. Ces dernières cellules (monocytes et macrophages) jouent un rôle de véritable réservoir, notamment dans les ganglions lymphatiques. Elles possèdent des protéines membranaires, la plus importante étant CD4, auxquelles

surface de la peau ou celles qui constitue la flore « __________________ ». Cependant, malgré la présence de ces barrières naturelles, certains microbes peuvent pénétrer dans l’organisme en cas de lésion (blessure, piqûres, …). B. La réaction inflammatoire : Lorsqu’un microbe a pénétré dans l’organisme, il se produit une réaction « inflammatoire » au niveau des tissus lésés, qui se manifeste par : · une rougeur