Lyrisme Traditionnel

de poèmes Commentaire Ces poèmes, que Hugo fit paraître à Paris et à Bruxelles et dont la composition commença dès 1834 et s’étala sur près de vingt ans, sont, selon la préface, les «mémoires d’une âme». Ils assument la remémoration, traditionnelle dans le lyrisme («une destinée est écrite là, jour après jour»), de l’enfance, de l’amour pour Juliette Drouet, et, surtout, de la mort de Léopoldine. Cet événement sépare les deux volumes qui forment un diptyque : “Autrefois”, “Aujourd’hui”, composés

éléments du décor. Ceux-ci, personnifiés, métamorphosés, animés révèlent les sentiments confus du poète. Dans cet univers réaliste mais à la frontière du rêve, Apollinaire va essayer de revivre. Si le thème abordé et la structure du poème sont traditionnels, la manière dont Apollinaire va exprimer ses états d’âme est par contre nouvelle. Il va en effet placer son récit dans un cadre urbain, décrit avec des termes simples du réel (le soleil, les cours, les tramways, les cafés…) Cela va surprendre

contribue à la clarté du texte. On voit donc un travail réel sur l’énonciation qui accentue la force de persuasion mais aussi sur un plan plus poétique contribue à la musicalité du texte. 2) Les thèmes d’inspiration a) Les thèmes traditionnels d’une poésie lyrique Le premier tercet développe l’image d’un poète plutôt romantique. La thématique amoureuse est dominante avec des connotations sensuelles voire charnelles. La thématique sentimentale se développe à travers une série de métaphores

1877). Dans Les Contemplations, la mort de Léopoldine inspire à Hugo des réminiscences heureuses, mais aussi le désespoir. À la veille du quatrième anniversaire de l'accident, Hugo compose ces trois strophes d'une simplicité harmonieuse et d'un lyrisme touchant. Avec une détermination qui n'exclut ni l'émotion ni l'imagination, il décrit par avance le cheminement qui le conduira auprès de son enfant bien-aimé. Mais par la magie des images, des rythmes et par le charme du langage poétique, ce voyage

vivant. Il pratique quatre grandes formes : l’ode, le sonnet, l’hymne, le discours. Ses premières œuvres sont marquées par l’imitation des poètes antiques et italiens, mais son imagination et sa sensibilité prennent le dessus pour les imprégner d’un lyrisme personnel. Il fait l’éloge de la beauté physique et de la perfection morale de quelques personnages féminins, devenus célèbres grâce à la puissance évocatrice de ses images : Cassandre, Marie, Hélène. Recueils lyriques principaux : Odes (1550-1552)

deux strophes de cinq vers. Les rimes sont rares. On a des vers octosyllabiques. Les figures de style sont plutôt des métaphores, mais on a aussi la répétition de ‘’Au’’ et ‘’Des’’.Dans le troisième texte de René-Guy Cadou on a plus des strophes traditionnelle ce texte n’est pas comme les autres textes qu’on a vu jusqu'à maintenant. Donc ici il y a cinq quatrains. Comme dans le dernier texte ici aussi on ne trouve pas des rimes. Les vers sont des alexandrins. La forme poétique du dernier texte de Jean

des orgues de Barbarie qui «sanglotent» - Avec «Les fleurs.. penchent» on peut voir que même les fleurs sont atteintes de la tristesse comme le poète . - Ch lexical de la tristesse et de la douleur : «Triste» «sanglotent» «endoloris» B) Le lyrisme amoureux - On a énonciation personnelle « moi » = évocation de sentiment intime, et l’apostrophe sans doute à Annie Playden « toi toi que j’ai tant aimée ». - Ch lexical de l’amour : « amour, aimée, cœur, mal aimé, romance». - L'énumération des

lancée aussi à lui-même, lui qui ne peut plus bouger par manque de souffle. 4. Une complainte tragique ? On retrouve bien sûr dans ce texte la tonalité lyrique, voire tragique propre au genre. Pour autant, Laforgue renouvelle la tradition. Le lyrisme s’accompagne d’un humour noir dans lequel le poète semble se malmener sciemment, luttant avec cette dernière arme qu’est l’humour grinçant face à son sort tragique. II. Une relation ténue entre paysages extérieur et intérieur. 1. Un paysage.

La poésie lyrique aborde généralement des émotions et des sentiments liés à l’existence : les thèmes récurrents sont l’amour, la mort, la nature, etc. Le poète évoque alors ce qu’il ressent, mais aussi ce que peuvent ressentir tous les hommes. Le lyrisme exprime toujours une émotion, un bouleversement de la sensibilité. L’élégie Le poème élégiaque est un sous-genre de la poésie lyrique. Dans l’Antiquité, il s’agit d’un poème lyrique qui alterne des hexamètres et des pentamètres et qui exprime souvent

imprégner d’un lyrisme personnel. Il fait l’éloge de la beauté physique et de la perfection morale de quelques personnages féminins, devenus célèbres grâce à la puissance évocatrice de ses images : Cassandre, Marie, Hélène. Recueils lyriques principaux : Odes (1550-1552), les Amours de Cassandre (1552), Les Amours de Marie (1555), Sonnets pour Hélène (1578). Le poète Joachim du Bellay (1522-1560), auteur du manifeste Défense et Illustration de la langue française, fait preuve d’un lyrisme profond et