Lyrisme Traditionnel

poème : « aime » (3 fois), « comprend »(2fois), anaphore « Pour elle seule » (v.6,7) avec répétition d’ « elle »en début de chaque vers de la seconde strophe. ; Enfin, insistance marquée sur les sonorités : « sonore »(v.10), « voix »(v.13,14) b/ Un lyrisme omniprésent la première personne du singulier se retrouve dans tout le texte. Dès le titre, « Mon rêve familier », et début du poème « Je fais »(v.1) + Présence de la première personne du singulier dans toutes les strophes, sauf la dernière ; Intervention

Lecture analytique : “Ma Bohème” mots-clé : fugue, rythme, marche, lyrisme de la nature, poésie    questions type-bac : en quoi ce poème est­il lyrique?  comment la fugue se met­elle au service de l’art de la poésie?  comment ce poème est­il une expérience sensible ?    Introduction : Natif de Charleville­Mézière, Rimbaud fait de nombreuses fugues notamment vers Paris. (  lire le voleur de feu.)  "Ma Bohème" fait partie des premières poésies rimbaldiennes. Poème au style enfantin,  dont le sty

Contemplations de Victor Hugo en 1856. Ce mouvement esthétique européen fait une place toute particulière au lyrisme et à l’effusion du moi avec un goût marqué pour la mélancolie : les poètes vont donc exprimer leur mal de vivre et leurs souffrances affectives en méditant sur la mort, sur Dieu, sur l’amour et la fuite du temps, sur la nature et sur la gloire, et au-delà de ces thèmes lyriques traditionnels sur la fonction du poète (Hugo) et sur une perception plus originale du fantastique avec Nerval, Nodier

aux Contemplations deVictor Hugo en 1856. Ce mouvement esthétique européen fait une place toute particulière au lyrisme et à l'effusion du moi avec un goût marqué pour la mélancolie :les poètes vont donc exprimer leur mal de vivre et leurs souffrances affectives en méditant sur la mort, sur Dieu, sur l'amour et la fuite du temps, sur la nature et sur la gloire, et au-delà de ces thèmes lyriques traditionnels sur la fonction du poète (Hugo) et sur une perception plus originale du fantastique avec Gérard de Nerval

exploits des héros et des dieux ; ses personnages de tragédie, s'expriment toujours en vers. Une distinction contestée Au XIXème siècle, cette distinction tend à se relativiser : les poètes rejettent, partiellement ou totalement, les règles traditionnelles de la poésie ; certains écrivent même des poèmes en prose ; les lexique populaire fait son entrée dans la poésie. Pourtant, en prose et en poésie ne sauraient être confondues, car elles font du langage usage différent. La fonctions poétique

»). 3/ Ce lyrisme est original : célébrer l’expression poétique en même temps que l’amour n’est pas neuf ; ce qui est original ici, c’est la simplicité du style et du vocabulaire à une époque où les poètes aiment charger leur texte de figures de style, de métaphores, de références mythologiques : simplicité des actions évoquées, des mots choisis, utilisation de répétitions (pourra, main,…). Mais surtout l’originalité tient au renversement des codes amoureux traditionnels tels qu’ils sont véhiculés

1000 : Il Fait l’éloge d’Elmire par l’intermédiaire d’un vocabulaire mélioratif (« splendeur » v. 973 ; adjectifs à connotation laudative : « célestes ») ; aspects traditionnels de l’éloge féminin notamment le regard. Il joue sur les sentiments pour persuader et donc séduire Elmire : il utilise le registre pathétique (v. 977) ; lyrisme appuyé du personnage : il se montre subjugué : vocabulaire de la galanterie, le prétendant se ravale au rang d’esclave ; personnification du cœur : opposition classique

Automne malade I/ Des thèmes traditionnels   1/ L'automne, un thème lyrique   Le thème de l'automne, de l'agonie de la nature n'est pas nouveau : il a été exploité par de nombreux poètes lyriques avant Apollinaire. Aussi est-ce tout naturellement qu'il s'y attache, lui qui a aimé Ronsard et qui doit tant à Verlaine. L'imminence de la mort, suggérée dès le début par les vers 1 et 2 : « Automne malade...Tu mourras », est plus bouleversante, plus pathétique que la mort elle-même.   C'est aux yeux du

moderne, E.P.L.U., Buc., 1969) considère que la poésie romantique cultive “les catégories négatives” (p. 15) comme l’amertume, la tristesse , la mélancolie. Elle se fait l’écho de cette rupture avec le monde, rupture entre le moi et la société. Le lyrisme sonde le moi absolu. L’isolement des autres frise l’anormal, le pathologique. Les “poètes maudits” de Verlaine s’esquissent dès maintenant avec cette souffrance du moi incompris qui se retire en soi-même. Cette souffrance devient fierté, orgueil

repoussant à la lecture mais doté d’une écriture périphrasée très travaillée. Une autre façon de privilégier le fond peut être l’expression des sentiments : le lyrisme. Principal apanage des poètes romantiques comme Lamartine, Musset ou de Vigny, ces derniers privilégient la spontanéité à une écriture trop travaillée, trop sculptée. La présence du « Je » et du « Moi » en réaction à une société matérialiste permettent