Lysis Platon

Dans cette fable dédiée à l’avarice, Jean de la Fontaine fait apparaître un personnage victime de son argent et démodé. Il utilise de nombreux mots archaïques (« déduit » pour plaisir, « chevance » pour fortune,..) qui l’étaient déjà à son époque pour insister sur l’homme qui, préoccupé par ses économies, ne fait pas attention au temps qui passe. Il utilise plusieurs techniques pour montrer que le thésauriseur quoiqu’il fasse ne pense qu’à ses épargnes. Ainsi, une première énonciation (« qu’il allât

Hommes par le biais des paraboles de la Bible (sacrée), c'est un apologue. Donc par syllogisme, la fable est porteuse de vérité et mérite la même considération • Le recours à l'argument de vérité : référence à Platon qui donne plus de poids à sa thèse (épopée – estimée pour Platon) • Comme les genres nobles, elle : - amène sagesse et vertu (lg 9, 10, 24) - simple à comprendre (lg 4) - adaptée à l'esprit des enfants (lg18) 2) Persuader : •Trois questions de rhétorique •Répétition de

1. Pour Platon, la politique se définit comme étant l’art de gouverner. Et sa conception du pouvoir se nomme la sophocratie. Selon Aristote, la politique a pour but de gouverner en fonction du bonheur de la population, donc « c’est le gouvernement de la cité en vue du mieux-être de chacun » . Machiavel pense que les gens ne se soucient pas des bonnes choses que le gouverneur a faite pour eux, seulement des mauvaises. Selon lui, lorsqu’on gouverne, on doit « récompenser la vertu, flatter le

Hannah Arendt revient sur l’allégorie de la caverne de Platon, on dit aussi un paradigme c'est-à-dire un exemple fictif forgé par Platon de toute pièce avec beaucoup de clauses d’invraisemblance (Repas ? Lieux ?) Il y a des exemples qu’il a récupérés de la culture grecque. (Tonneau percé qui se vide au fur et à mesure qu’on le remplit). Il le reprend pour le penser philosophiquement. Il y a un discrédit sur la diversité des opinions chez Platon. On doit tenir compte de la diversité. C’est la diversité

sketchs, les émissions, les séries télés sont là. 4. Le rire contre l’esprit du sérieux. EX : La photo la plus célèbre du plus célèbre des savants du XXe siècle, Einstein tirant la langue, ou encore un cliché de Cohn Bendit en 68 face au CRS. Platon voulait chasser les comiques car ils ne sont pas sérieux, et se moque de l’esprit du sérieux, de tout ce qui est grave, ou respectable. Mais le rire introduit du jeu dans les relations humaines, dans nos sociétés policées, c’est une fenêtre ouverte

hypostasier l'inhumain et à le neutraliser dans quelques figures caricaturales de " monstres " (le sadique, le tueur en série etc …). Mais il est trop schématique d'en déduire que la part d'inhumain est tout entière accaparée par quelques réprouvés. Platon disait par exemple que l'unique différence entre un homme honnête et un criminel, c'est que le premier se contente de rêver ce que l'autre fait en réalité. L'inhumain n'est pas ce qui est hors de nous, mais bien ce qui est en nous : il n'est pas apparu

et des collectivités, qui vise explicitement à loger les personnes à revenus modestes moyennant un loyer compatible avec leurs ressources. Chapitre I : Au commencement (de l’habitat social)… était l’utopie I) La société idéale de Platon à Proudhon Platon a été le premier philosophe à concevoir la cité idéale. C’est un sujet qui a été la préoccupation de nombreux philosophes. Le but est de construire une société faite d’ordre, de cohésion sociale, d’harmonie et de stabilité (= objectif aussi

des controverses. Les réflexions de penseurs et de philosophes au cours des siècles constituent autant d'écoles différentes. Il existe différents critères de la vérité : - La vérité comme participation à l’idée : L’homme doit s’efforcer, suivant Platon, de se défaire des opinions, illusions et désirs déréglés qui l’empechent d’apercevoir la vérité, but ultime de la vie humaine. L’allégorie (Expression dont le sens doit être deviné sous le sens littéral, sorte de métaphore.) de la caverne (La REPUBLIQUE

les jours). L’impuissance se lit aussi dans l’esclavage où peut nous tenir la passion, désir excessif et déraisonnable. L’impuissance se lit encore dans le tiraillement causé par la multiplicité sauvage et anarchique de nos désirs. C’est pourquoi Platon compare les désirs à une hydre, monstre à mille têtes (République, IX, 588 e). Mais la puissance se lit dans l’intensification de l'existence que procure le désir. « La conquête du superflu donne une excitation spirituelle plus grande que la conquête

de manque, que nous ne désirons plus. Le désir semble donc être par essence ce qui ne peut se satisfaire de la réalité. Ici, vous pouviez penser aux analyses de Platon dans le Gorgias lorsqu’il compare le désir au tonneau percé des Danaïdes, toujours plein, toujours vide et impossible à remplir. Autre référence possible ; toujours Platon dans le Banquet lorsqu’il en retrace l’origine à travers le récit mythique de la naissance dErosfils de Pénia (pauvreté) et de Poros, son père, richesse. Entre dénuement