Macabre

| | |condition mortelle. | | | |Vision horrible de la |Dans « La ballade |Dans « Je n’ai plus que|Bossuet veut montrer|Evocation macabre du |Description macabre des camps|Memento mori, | |mort ou des morts. |des pendus » : |les os » Ronsard se |« le corps mort » de|corps mangé des vers |de la mort au ch. 69 du |transis, vanités, | | |« chair dévoré

comme un avertissement . Les poètes insistent également sur la vieillesse et la déchéance physique en multipliant les images macabres et métaphores évoquants la pourriture .Chassignet dans "Le mépris de la vie" évoque la dégradation du corps : " un corps mangé de ver" , " le centre déchiré cornant de puanteur ." C'est comme si certains poètes éprouvaient une jouissance macabre à évoquer ces images de pourriture. Corneille dans Stances a marquise insiste sur le pouvoir arbitraire du temps et rappelle

personnifications  pour les machines : le groupe nominal « machine trapue » ainsi que « la gueule rouge sombre des fours de pierres » . Il utilise le groupe nominal « des appareils de toutes les tailles pour donner une impression d’infériorité . 2/Un épisode macabre Vian fait en sorte de banaliser la vue des morts dans cette usine avec les phrases « les hommes […] gisaient à terre » , « leur jambe droite repliée formait un angle bizarre » ou encore leurs mains droites étaient sectionnées au poignet » . Sa

I. Décomposition du corps A. Une mise en scène macabre Les thèmes déroutants. Ch. Lex. - La mort : « mortel, charnier, mortuaire… - La décomposit° : « mangé de vers, pourriture, glaire, décharné, dépulpé, puanteur… ». Syntaxe : préfixe privatif « de » -> ce qui enlève. Organisat° spatiale : espace saturé par la mort & la décomposit°, plan d’ensemble : « un charnier -> un corps -> ventre -> nez -> visage… » La descript° progresse du général au particulier. - Détails anatomiques : ch. Lex. Du

passer sous la Manche - sont du voyage. Tout devait se passer de manière aérienne et décontractée, mais un événement macabre alerte leur collègue de New Scotland Yard, Radstock. Clyde-Fox, un original local, lui parle du vieux cimetière de Highgate. Des chaussures - avec des pieds dedans - font face au cimetière, 'un des cimetières romantiques les plus baroques de l'Occident', un lieu macabre, gothique, unique. Tandis que l'enquête anglaise commence, les français rentrent au pays, et se retrouvent confronté

ou sous l'apparence de squelettes hideux. En effet Le cadavre est une des figures les plus caractéristiques et récurrentes des Fleurs du Mal. On le retrouve dans de nombreux poème (et pas seulement dans la partie intitulée « La mort ») : • Danse macabre (97) (vers 20) « Tu réponds, grand squelette, à mon goût le plus cher » ; • « Une charogne » (29), Au détour d'un sentier une charogne infâme • « Une gravure fantastique » (71), « Ce spectre singulier n'a pour toute toilette,/Grotesquement campé

(B) Baudelaire a le goût de la provocation et un humour macabre :· Lecture du poème > audace provocatrice dans la description de la charogne.· Le titre > désigne le goût pour la macabre/morbide voulant créer la curiosité. · Les huit premiers quatrains : description avec

de Dieu qui apparaît dans la demi strophe. 1/ Le sort des suppliciés Villon essaye de nous mettre à l'aise dans une ballade qui est tout d'abord une chanson légère , gaie et comique mais quand on lit le poème on découvre une ballade de pendus macabre. Dans le première strophe, il évoque de la rancoeur, dès le premier vers il exprime un « nous » qui signifiait une justification humaine qui renverrait aux frères humains. Au 6ième et 7ième vers il met en place une antithèse sur un corps trop nourri

s’organise en images de plus en plus précises qui convergent à « moi ».La premier paragraphe met en place le décor. Les images sont juxtaposées, positionnées de telle sorte qu’une idée de « film », de scénario se présente avec un décor lugubre et macabre en pleine nuit, des bruits inquiétants, « féroces », ainsi que des personnages suspects. On note la présence d’une parataxe vers la fin du texte. Cette reconstruction est marquée par une syntaxe plus articulée, moins marquée par la parataxe du début

tableaux : 1) Une série de quatre Vanités macabres Que représente le squelette ? Il symbolise la mort. Que signifie la faux ? Elle est l’instrument qui fauche la vie. Nomme et dessine l’objet qui rappelle que le temps s’écoule inexorablement. Quelle est la couleur de fond des quatre tableaux ? A votre avis, pourquoi ? Le fond des quatre tableaux est noir, couleur macabre en Occident. De quoi le peintre