Macabre

amène le lecteur à ressentir des émotions comme le suspense, la peur. Elle crée une atmosphère dans laquelle on est immergé, notre pensée est influencée par nos émotions, par exemple dans le poème « Effet de nuit » de Paul Verlaine, une atmosphère macabre est construite avec un champ lexical de la mort et de la guerre : « pendus », « fer de herse », « déchiquette », « prisonniers », « horreur ». Ainsi, la transmission des idées du poète se fait grâce aux émotions qu’il nous fait ressentir dans son

me causèrent d’abord l’illusion de la vie. Le dépendre n’était pas une besogne aussi facile que vous le pouvez croire. Il était déjà fort roide, et j’avais une répugnance inexplicable à le faire brusquement tomber sur le sol ». (1) Et les détails macabres se poursuivent avec une narration rigoureuse et une description tout aussi détaillée. En fait, la réticence que l’on éprouve à dire de ce passage qu’il est poétique ne s’explique pas uniquement par la présence Henri de Toulouse-Lautrec. Le Pendu

sinistre s’accorde-t-elle avec cet idéal et la présence de l’être humain ? il convient d’abord d’évoquer les caractéristiques de cette représentation macabre, il faudra ensuite expliciter la leçon de vie qui se dégage du poème, un dernier temps enfin sera destiné à s’interroger sur la question de l’amour dans le poème. I- Une représentation macabre * A/ L’effet de surprise * Le titre : surprenant/inattendu * Valeur du passé simple : « nous vîmes » => exprime la découverte *

vers18 de "L'Espoir ". L'espoir peut être associé à l'élévation et l'angoisse au Spleen, les 2 valeurs de Baudelaire. De plus, le dernier est une sorte d'enterrement macabre qui pourrait être le sien. En effet, son concept des synesthésies : " Les parfums, les couleurs et les sons se répondent "est ici totalement mis à l'écart. Ce macabre enterrement est sans parfums, sans couleur de par le côté sombre, et sans " tambours ni musique ". Seuls subsistent les bruits de " cloches en furie ", mais qui connotent

réduite aux barreaux de celui ci qui sont formés par la pluie. Dehors on ne peut plus rien voir = accentuation de la réduction de l'espace. -B décrit la montée progressive du spleen par un rétrécissement progressif de l'espace. -Chp lex du macabre : « noir », « triste », « humide », « chauve souris » + oxymore « jour noir » = impression d'un climat malsain et inquiétant, reflet du désespoir qui envahit le poète. -Impression de poids liée à l'adj « lourd » et au verbe « peser ». Impression

Boltanski et le narrative art. Christian Boltanski né le 6 septembre 1944 à Paris (XX° siècle) est issu d'une famille juive. La plupart de ces œuvres sont en majeure partie de grands formats représentant des personnages dans des circonstances macabres ou bien encore des scènes d'histoire. Il a été marqué par le génocide qu'on subi les juifs pendant la guerre 39-45. Ses thèmes récurrents sont la mémoire, l’inconscient, l’enfance et la mort. Christian Boltanski est membre du Narrative Art. Ce

Les joueurs ont une part de fierté, d'héroïsme devant leurs blessures. Le joueur de droite porte d’ailleurs sa Croix de Fer. Les corps ressemblent à des marionnettes, à des pantins mécaniques. Le Skat rassemble trois joueurs, telle une association macabre comme celle d’une danse qui s’inscrit sur la prothèse crânienne du joueur placé au centre de l’œuvre et sur laquelle on distingue deux corps dansant. Ici les trois joueurs nous montrent leurs jeux. S’ils semblent avoir les cartes en main, le contenu

bougies, fruits, jeune filles avec un miroir. Ne met pas toute ton énergie dans les biens terrestres puisqu'ils sont destinés à périr. Met ton espérance en Dieu). 3ème: L'obsession de la mort. Récurant dans toute l'œuvre de Cohen. L'inspiration macabre qui est omniprésente va s'apparenter à une vanité. Présence de la pourriture des corps. On a la vision d'une beauté vouée à s'altérer; on a pas une vision pétrarquienne (dans ses poèmes les femmes humaines glissent vers une désincarnassion ,vers la

scène d'horreur proche de celles des films modernes. Au XIVe siècle, à l'occasion de la forte mortalité engendrée par la grande épidémie de peste de 1348, cette figure populaire du revenant fut récupérée par la peinture dans le cadre des danses macabres et des nombreuses illustrations du Dit des trois morts et des trois vifs (légende racontant la rencontre inopinée de trois jeunes seigneurs avec trois morts-vivants plus ou moins putréfiés)12. À l'origine, il s'agissait d'inciter les gens, par le

dort dans la nature mais finalement il parait mort. 4) Lecture du poème 5) La méthode d’explication Méthode synthétique composé de trois axes 1. La nature 2. L’homme, description d’un personnage 3. Aspects contradictoires, découverte macabre 6) Explication détaillée 1. La nature La nature est omniprésente dans le poème, elle occupe intégralement le premier quatrain et nous la retrouvons jusque dans le dernier tercet. Elle se caractérise par une impression de vie et de bonheur qui