Macabre

place des jambes, il est amputé des deux bras. Son jeu est posé sur la table, plus précisément sur un pupitre. Il se sert de sa bouche pour jouer. Il n'a qu'une moitié de crane ou l'on peut distinguer un couple de danseurs, c'est une danse macabre. Danse macabre : Danse lente et noble qui mêle morts et vivants -Le joueur de droite a une main articulé et une prothèse métallique qui remplace sa mâchoire. Il porte la croix de fer, il s’agit d’une décoration militaire allemande qui était considérée comme

“spleen”Intro :“Spleen” est un poème de Charles Baudelaire apparut dans le recueil Les Fleurs du mal publié en 1857. C’est un poème construit sur cinq quatrains en alexandrins. Il est le dernier des quatre « spleen » de la section « spleen et idéal » et le plus macabre d’entre eux. En effet, Baudelaire nous y exprime son ressenti face aux jours de pluies. Le spleen correspond chez Baudelaire à l’ennuie et au dégout de la vie, il exprime par ce spleen son rejet par la société et son mal à y vivre. Après avoir été

sans nom ni prénom. D’ailleurs le titre Personnes rapporte a cet aspect anonyme. Les ombres des visiteurs sont projetées sur le mur formant des troupes de silhouettes sombres glissant, dansant sur les caisses de biscuits tels une danse macabre. [pic] Danse macabre de Guyot Marchant 1486 Une fois le mur passé, le visiteur pénètre au cœur de la nef de verre du Grand Palais, à  l’intérieur de l’œuvre où un vacarme saisissant se fait précisément entendre. Ce sont des enregistrements de battements de

bon ceci? à quoi bon cela? C'est le véritable esprit de spleen.» Dans ce poème, s’exprimant à la première personne, il fait un bilan désespérant de son existence, se montre succombant sous le poids de souvenirs pénibles, de visions étranges et macabres, se sentant accablé par Ie perpétuel ennui des jours qui s'accumulent et où l'âme s'enlise interminablement, en un rythme d'une lenteur mortelle. Formé d’alexandrins à rimes suivies, le texte n'est pas régulièrement disposé en véritables strophes

d'une inhumation. 3 Grands axes : - Scène réaliste Eloge paradoxal & ironique Satire sociale EXEMPLES DE PLANS DETAILLES : 1 – Description d'un cérémonie religieuse A.portraits hauts en couleurs B.humour macabre 2 – Satire de la bourgeoisie A.Impassibilité marmoréenne de l'humoriste B.Romantisme noir | 1 – Scène réaliste A.choix d'une inhumation B.accumulation d'objets/gens C.détails prosaïques 2 – Éloge paradoxal A.gaieté contre toute attente

ce poème, le poète a exprimé la déchéance humaine à travers un décor macabre, triste et angoissant. Il s’agit d’abord d’une maladie physique qui se transforme plus tard à une sorte d’angoisse morale et l'homme est condamné à rester dans cet état. ; cela se montre progressivement et à la fin c’est le sentiment de la mort qui se voit. Les images baudelairiennes sont fortes et constantes, soit comparaisons, soit métaphores macabres, qui font de ce spleen une angoisse oppressante et destructrice. Il

droite de la scène principale (ce qui a surement pour but de nous indiquer ce qu’il se passe à l’intérieur de ce dernier), un homme la regarde symbolisant l'immoralité et la débauche de la ville. Une impression générale d’agitation chaotique et macabre se dégage de cette foule devenue folle, les tailles disparates des individus cette sensation, ils semblent courir tête baissé vers leur propre mort, vers l’autodestruction. D’ailleurs dans le coin supérieur gauche, en arrière plan l’artiste semble

transforme-t-il l’immonde en objet poétique ? Après avoir montré comment, de la strophe 1 à 4 une promenade amoureuse aboutit en une macabre découverte, nous verrons dans les 3 dernieres strophes du poemes comment la comparaison de la femme aimée à la charogne permet à Baudelaire de mieux révéler les pouvoirs de la poésie. I. Une promenade amoureuse qui aboutit à une macabre découverte Analyse de la 1ere strophe ● le poète s’adresse à la personne aimée → apostrophe “mon âme" (lexique amoureux) référence

vide de sens dans tous les cas. Montrer la guerre, vue par les Humaniste me semble donc inévitable et nécessaire à cette étude. Bataille de Pavie - Musée de Naples La mort La Danse macabre est un élément, le plus achevé, du XIVe au XVIe siècle. Par cette sarabande qui mêle morts et vivants, la Danse macabre souligne la vanité des distinctions sociales, dont se moquait le destin, fauchant le pape comme le pauvre prêtre, l'empereur comme le lansquenet. Cette forme d'expression est le résultat

permet de voir une scène d’horreur. Plusieurs facteurs de cet extrait, un extrait qui balance dans l’imaginaire nous montre cette scène. Une très importante est la présence constante d’éléments macabres digne d’une scène d’horreur, de noirceur, de solitude. En faisant le champ lexical de ce qui est macabre et fantastique on retrouve les mots : étrange curiosité, énorme toile d’araignée, tout épaissie par la poussière, tendue à l’angle de la muraille, lugubres souvenirs, coupé, horrible fou, frisson