Macabre

spectacle est donc dénoncé : il faut trouver des boucs émissaires. III les armes au service de la dénonciation 1 l’humour noir Pour dénoncer la cruauté des inquisiteurs, Voltaire utilise l’humour noir (un humour qui fait sourire par des détails macabres) L’atrocité du crime est présente dans la phrases «  le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu en grande cérémonie » On remarque le contraste entre l’expression familière culinaire à petit feu et la pompe mise en relief par l’expression

de la poésie moderne. Inspiré par sa propre expérience de mauvais garçon il exprime la dimension tragique de la condition humaine. Il explore aussi la fuite du temps et l’obsession avec la mort, en utilisant le comique, le tragique et le réalisme macabre. VILLON « François de Montcorbier » 1) Biographie -Né en 1432 à Paris et décédé à Paris après 1463. -Orphelin de père, est accueilli par Guillaume de Villon (chanoine d’une église de Paris) - Il poursuit des études au Quartier

origines de la beauté (§1 à3)I. Il en propose une vision macabre et séduisante (§4 et 5)III. Baudelaire célèbre cette beauté envoûtante (§6 et 7)Conclusion :- vision originale beauté- // monstrueux/mort + séduction/fascination 2- Une charogne, Spleen et Idéal , Baudelaire Problématique : En quoi ce texte consiste-il en une provocation poétique ?Plan :I. La mise en scène d'une découverte macabre (§1 à 4)II. Lorsque le laid se transforme en œuvre d'art (§5

des termes d’exagération : « infâme » (vers 3), « si forte » (vers 15), « horrible » (vers 38). On remarque aussi l’enjambement au vers 19 « De larves » qui souligne ce terme et le dégoût qu’il provoque. En mettant l’accent sur la description macabre de la charogne, Baudelaire créé un contraste avec le cadre esthétique. En effet, le premier verbe du poème est « Rappelez-vous » (vers 1), on s’attend alors à l’évocation de souvenirs plutôt lyriques compte tenu du fait qu’il s’adresse à la femme

pendant ses crimes celui lui procure un bien fou jusqu'au jour ou celle a qui il c'est attaché lui fait tellement oublié cette situation macabre qu'il ne peut la tué mais son passée le rattrape et sa folie lui fait faire des erreurs énorme il ne tiens plus ses propre réglé il tue , massacre , il change sa façon de tué , il emmène ses victimes dans des lieux macabre , sombre et brute sa folie le déborde tellement qu'il se perd totalement il finira par se suicidé dans la maison abandonné de ses grand

qu’à « avez » répond « en aura ». Un deuxième argument est construit sur une représentation mentale du spectacle des pendus : « vous nous voyez ci attachés cinq, six ». Le poète essaie de nous impliquer dans un spectacle dont la tristesse et le macabre se traduisent par une allitération dus son [s]. L’exagération de Villon, de décrire le moment de la mort le plus lugubre possible frappe le lecteur. Les corps pendus sont sur le point d’être détruits en étant obligés de supporter une souffrance inhumaine

mais aussi fascinante sert ici à illustrer la condition humaine, prisonnière du destin. L’action se déroule en 194x dans la ville d’Oran qui est touchée par la peste. Problématique : Quelle est la visée de cette présentation macabre ? I. Une présentation ayant une visée macabre a. Omniprésence des morts b. Les Oranais en sursit c. Les morts sont égaux aux vivants II. L'espoir qui renaît a. De nouveaux rituels b. La violation des règles mises en place c. L'utilisation du conditionnel

Mortel, pense quel est dessous la couverture » Jean-Baptiste ChassignetJean-Baptiste Chassignet (1570? - 1635?)Le Mépris de la vie et consolation contre la mort.Mortel pense quel est dessous la couverture D'un charnier mortuaire un corps mangé de vers, Décharné, dénervé, où les os découverts, Dépoulpés, dénoués, délaissent leur jointure : Ici l'une des mains tombe de pourriture, Les yeux d'autre côté détournés à l'envers Se distillent en glaire, et les muscles divers Servent aux vers goulus d'ordinaire

tradition, avant d’étudier la tonalité sarcastique dans le poème. A première lecture, le lecteur a effectivement le sentiment que le jeune Rimbaud imite son illustre prédécesseur François Villon. En témoigne la reprise du thème de la danse macabre, comme dans la « Ballade des Pendus ». Ce dernier est tout de suite évoqué dans le premier quatrain d’octosyllabes du poème : « Au gibet noir, manchot aimable, / Dansent, dansent les paladins, » (vers 1 et 2). L’attention du lecteur est également

Justification de la guerre par diverses considérations. 4 : Minimisation du caractère meurtrier de la guerre. II : Un discours en réalité accusateur. 1 : Une succession de clins d'oeil ironiques qui créent un décalage. 2 : La représentation macabre et pathétique des victimes ( cf : réalisme ) : guerre horrible et absurde. 3 : Satire de la lâcheté de Candide et des Philosophes / Satire des pouvoirs politiques et religieux. I : 1 – NB : l'épique est un registre caractérisé par l'amplification