Macabre

les célébrations auxquelles il participe pour communiquer avec sa fille Léopoldine en particulier. On voit également une danse macabre autour d'un gibet, ceci est une référence a la lutte de Victor Hugo contre la peine mort, aussi illustré dans Le dernier jour d’un condamné et Claude Gueux. L'esprit de l'auteur est donc fécond, mais le caricaturiste souligne le côté macabre de ses productions (c'est le romantisme noir).  En dessous, il semble y avoir un cimetière, peut-être celui de Léopoldine, sa

métaphore= Sorte de pâté chaud composé d'andouillettes, de hachis de veau. viandes associées à la mort (morts nés, ossuaires, danse macabre mortes) V34pensées mortes depuis des millénaires=hyperbole V35 ont le goût fade des mammouths gelés V36 les os viennent du cimetière Assonance en O «os» «songe» «ossuaire» V37 Il voit le festin comme une danse macabre dans sa tête V38 personnification des mets= ils crient V39 Sacre à Dieu = Évocation de la vie personnelle de Max Jacob car Juif de naissance

sur le trottoir » v.11, « dans le boudoir » v.14 parle aussi d’argent « riche » et « louis », il a du dégout pour les femmes, il les décrit comme infâme v.13 b) Sadisme : « gémir » douleur, souffrance qu’il inflige à la femme. Description assez macabre : c’est triste, sinistre, lugubre et tragique. douleur, gémir qui est la recherche de plaisir dans la souffrance c) Il ne la ménage pas tout le long du second quatrain et du second tercet lorsqu’il lui décrit ce qu’il va finir par se passer, il

La table verte de Kurt Jooss Introduction Précurseur et créateur de la Tantztheather, Kurt Jooss fonde, entre les deux guerres mondiales La table verte en 1932 sous titrée Danse macabre en 8 tableaux et 16 danseurs, oeuvre prémonitoire de la montée du nazisme et de l’établissement du 3e Reich. La Table verte (en allemand Der Grüne Tisch ), est un ballet de Kurt Jooss, représenté pour la première fois à Paris le 3 juillet 1932, au Théâtre des ChampsÉlysées. Figuration chorégraphique des préparatifs

Le problème, tout de même, c’est ce spectre inquiétant sinon satanique que campe Lagerfeld dans les phares d’une voiture qu’on devine à la métonymie d’un éclairage sur cette route nocturne au bas de la photo. Les intericonicités les plus macabres se bousculent selon les références de chacun. Gants de cuir noirs d’où semble dépasser l’ongle des pouces, veste noire, nœud pap noir et lunettes noires, l’uniforme est tout droit tiré d’un film d’horreur ou peu s’en faut : on peut y reconnaître à sa guise

sa joie car le pot est brisé et le lait symbole de vie devient alors cause du malheur de Perette et de son humiliation devant son mari évoqué au vers 26-27. Dans Le curé et le mort, l’accident est tout aussi brutal, au vers 30, mais beaucoup plus macabre, puisque le mort entraîne le curé dans sa chute. La fable se termine sur un registre humoristique mais nous devons parler ici d’humour noir. Si les structures sont comparables, nous avons deviné que les registres et les personnages étaient bien différents

message qui la réduit à un cadavre messager → ironie macabre, l'obscénité des baisers du vers.  -la strophe 2: parodie Conclusion: poème insultant, sarcastique, qui apparaît comme une parodie de poème galant.  Transition: le sentiment qui domine dans ce poème est bien moins l'amour que l'horreur. Le poème insiste avec délectation sur la description de la charogne.  II. La description horrible et morbide de la charogne.  a) Une découverte macabre qui survient de manière inattendue au milieu du v3

caractère moral (croyance en l'astrologie) et politique (régence de Marie) Lecture Annonce du Plan: I/ Une comédie... macabre 1.1) la guerre des sexes: la guerre pour le pouvoir 1.2) Les morts ont une mémoire d'éléphant II/ Un dialogue argumentatif reposant sur l'astrologie 2.1) L'influence des astres 2.2) 2 types d'argumentation I/ Une comédie... macabre La vie de l'au-delà ne change rien aux antagonismes de la vie sur Terre. La mort n'apaise donc pas les rancoeurs, ne favorise

dimension fantastique. La figure de Neptune anime la strophe suivante. La mythologie personnifie la tempête qui devient l’expression d’un sentiment : « l’ire » se retrouve dans le « courroux». La violence des éléments se voit aussi par l’étalage macabre des victimes rejetées par la marée : « gens noyés, monstres morts, vaisseaux brisés ». La splendeur du paysage enfin revenu au calme est montrée par le renversement décrivant un univers sans dessus dessous : « il semble à nos yeux qu’il s’est laissé

vie. De plus, 1'amour ressentit envers ces " vampire " et montre comme addictif par des termes macabres « Comme aux vermines la charogne » mais meurtrier en étant désigné de « poison » a deux reprise et ayant pour symbole le « glaive» (confère : poème Le Vampire). Comme si cet amour puissant sens unique envers ces femmes était voue à la mort. On retrouve aussi la mort dans le champ lexical du macabre, dans les deux poèmes cette fois ci avec « cadavre », «charogne », « squelette » et « sang ».