Macabre

respectent pas. Encore moins si ces victimes sont des animaux! Prenons le temps de nous préoccuper d’autrui et d’arrêter de se lamenter sur notre propre nombril. Des taureaux sont non seulement mit à mort, mais cela fait parti d’un spectacle! Voilà la macabre danse de la Corrida! Plusieurs chanteurs ont fait vibrer leurs voix pour cette cause mais nous allons retenir un certain Cabrel. Tout d’abord l’auteur de la pièce sera introduit, suivi de la création de la chanson elle-même, puis l’analyse des paroles

dit. L’exagération de la situation proposée permet de dire ce que la prose n’aurait pas permis. La même chose sans les strophes, sans les vers, aurait eu un tout autre effet, perdant ainsi la drôlerie qui rend possible toutes les allusions macabres. Ce macabre reste léger ici alors qu’en prose, le sujet aurait été sans doute de « mauvais goût ». Un deuxième paragraphe pouvait montrer un personnage modeste. La simplicité est recherchée. Voir toutes les formes négatives, les restrictions comme aux

Jason nous permet de le confirmer. Ces mots nous montrent une haine marquée à l’égard de Jason. Médée est d’ailleurs prête à tout pour se venger de son ancien époux. On apprend ainsi à la l.1 qu’il y a déjà eu « deux morts » dans cette macabre affaire de vengeance dont « Créuse », la nouvelle épouse de Jason. Cette information nous ait dévoilée aux l.3 et 4 lorsque Médée se demande « des bras de mon perfide arracher une femme, est-ce pour assouvir les fureurs de mon âme ? ». Ainsi, « une

gueules-cassées sont rafistolés , recollés avec des prothèses ou des machines : ce sont des bêtes de foire . Le jeu de cartes est tourné vers nous : les jeux sont faits . Les personnages dansant gravés sur le crâne du personnage du milieu évoquent une danse macabre , un souvenir . Lumière : C'est une lumière en clair/obscur . La mort est présente dans la scène on observe dans la lampe un crane la représentant . | L'INTERPRETATION ( le connoté ) Les mutilations renvoient bien sûr à la violence subie

en particulier, d’une ode de ce poète, son homonyme, que Gautier devait honorer quelques années plus tard dans l’un des articles qu’il écrivait pour la France littéraire6 . Le poème en question a comme titre Cauchemar, et appartient au courant macabre et visionnaire que le romantisme exploita, surtout à ses débuts, et qui inspira également à Gautier des œuvres plus vastes et plus connues comme Albertus et La comédie de la Mort. Voici le texte: Avec ses nerfs rompus, une main écorchée, Qui marche

tempéré par l'horreur : le "beau corps gras" du modèle s'avère être un cadavre et les fleurs-femmes du pacha s'épanouissent sous l'œil mort d'un esclave. Plus qu'un constat, c'est une mauvaise surprise savamment orchestrée par l'écriture. Ces tableaux macabres ne sont lisibles entièrement qu'au tout dernier mot des deux passages. On pense que la vision positive et opulente du modèle s'oppose classiquement à la sécheresse du prêteur sur gage lorsque on découvre soudain que cette opposition attendue n'était

l’aspect macabre· Par l’usage du verbe d’action « ouvrait » et par la personnification – « ouvrait d’une façon nonchalante et cynique » la comparant à une personne dépravée en train de se mouvoir. · Par le substantif « Exhalaisons » qui sont les gaz qui s’échappent de la charogne, qui lui donne sans doute un mouvement. Rajoute aussi une dimension olfactive répugnante à ce tableau2ème strophe = charogne > posture associant l’érotique (exhibe ses entrailles comme une femme son sexe) + le macabre Strophe

Présentation Repérage iconographique: le tableau est composé de quatre parties. Panneau de gauche: on y voit des soldats partant au front, dans un nuage de brouillard. Le ciel est rouge, comme en feu. Panneau du milieu: la scène est extrêmement macabre. Elle représente un soldat avec un masque à gaz au milieu de cadavre pourrissant, une tranchée ravagée. Le paysage à l'horizon est désolé, vide. Panneau de droite: il y a un soldat entièrement blanc, dont le visage est teinté d'horreur. Il porte

Justification de la guerre par diverses considrations. 4 : Minimisation du caractre meurtrier de la guerre. II : Un discours en ralit accusateur. 1 : Une succession de clins d'oeil ironiques qui crent un dcalage. 2 : La reprsentation macabre et pathtique des victimes ( cf : ralisme ) : guerre horrible et absurde. 3 : Satire de la lchet de Candide et des Philosophes / Satire des pouvoirs politiques et religieux. I : 1 NB : l'pique est un registre caractris par l'amplification

V1-3 la métaphore suivante : Le poète exprime son enfermement dans un espace clos et restreint. Sous Arg1.2.   Émile Nelligan évoque la présence des corbeaux étant associés à la mort et à la tristesse pour créer une ambiance macabre et funeste. L’hyperbole crée un effet d’intensité dans les vers suivantes :« J’ai cru voir sur mon cœur un essaim de corbeaux » V1 amplifie la présence et l’action des corbeaux sur son corps. La mort vient de l’extérieur est présentée