Macabre

Le capital de Karl Marx est nous introduit dans une adaptation en manga par le studio << Variety Artworks >>. La première de couverture nous présente une illustration macabre qui fait apparaître des tristes personnes ressemblant à des zombies dans une ville .Ils sont épuisés fatigués certains n'ont plus de visages , nous ne parvenons point à distinguer leurs traits . Les couleurs dominantes sont rouge , noir ,gris et blanc qui suggèrent d'abord la couleur du sang , la violence , la

récurrence du mot « sang »(3fois) ou de nombreuses expressions y faisant référence dans chaque strophes du poème comme « Je rougirais ta bouche et tes cheveux sanglants »v.13 qui montrent que le poète ne cesse de penser à sonéventuelle mort de façon macabre et obsessionnelle. Après avoir montré que l'auteur exprime son angoisse de la mort, de façon omniprésente, montrons qu'à tout cela s'oppose aussi l'amour. Eneffet, ce poème est une sorte de poème d'adieu, adressé à « Lou » comme le montrent l'apostrophe

et sa vénalité -> totalement inattendu et en désaccord avec la manifestation du sacré (décalage grotesque). b) Fin très spectaculaire * Effets visuels : * Figures fantastiques impressionnant le spectateur (spectre). * Images du macabre typiquement baroque. * Effets de la pyrotechnie (« tonnerre », « éclair »…). * Des voix : * Spectre (= celle d’Elvire) -> irréel. * Dom Juan. * Sganarelle....

Jean-Claude Romand, lui, est toujours vivant mais plongé dans un profond coma. Le lendemain, les gendarmes se rendent au domicile des parents de Jean-Claude, dans le Jura, pour leur annoncer la triste nouvelle. Mais ils font, là encore, une macabre découverte : Aimé et Anne-Marie Romand ainsi que leur chien ont été assassinés un peu plus tôt. Dans la BMW louée par Jean-Claude Romand, les enquêteurs tombent sur un message : "Un banal accident et une injustice peuvent provoquer la folie

personnages : on ne la voit jamais directement, on la devine. Tel un « rideau de scène », un simple coteau s’élève ainsi entre l’insouciant village du narrateur et le champ de bataille, entre la vie et la mort. Philippe Claudel fait de ce théâtre macabre l’arrière plan de son tableau de la vie provinciale. Les routes sont envahies par le fourmillement des bataillons qui montent au front, les rues de la ville vomissent un flot continu de soldats bourrés et de gueules cassées, les cliniques résonnent

alexandrins. Les rimes sont suffisantes, croiser, masculines et féminines. Le poète veut nous montrer dans son poème la montée de la crise, grâce à cette lente progression vers l’impitoyable, nous pouvons également constater la présence d’une atmosphère macabre mais aussi une sensation d’emprisonnement. Suite à une défaite prévisible, l'esprit du poète et comme consommée, c’est pour cela que nous parlons alors du point culminant de la crise et la défaite de l'esprit en proie au spleen. Ici le spleen s'exprime

passions exacerbées; mélange des registres (tragique, épique, lyrique, pathétique, comique, burlesque, ironique, humoristique); la traque du loup agit comme une catharsis qui fait prendre conscience à chacun du plaisir intense de la fascination macabre. M.V, le loup, Langlois les trois tueurs meurent avec dignité et nous émeuvent; ainsi comme dans la tragédie, le spectateur éprouve "horreur et pitié". Le choeur des vieillards évoque le choeur antique et Saucisse renvoie à la confidente de tragédie

vivants, martellement, insistance sur la nécessité de la prière pour leur salut (fait aussi partie de la forme traditionnelle de la ballade). Nécessité absolue, Villon veut convaincre son lecteur. La description réaliste, crue, violente : un tableau macabre, une représentation concrète de la mort, un avant gout de l’enfer. Susciter la pitié du lecteur. APPEL AUX SENTIMENTS : PERSUADER Pendus : confession, reconnaissance de leur faute, acceptation pathétique de leur sort. Mais aussi discours de mise

contre-modèle : il voit le choix de se remarier comme une trahison. A ses 18ans Charles Baudelaire hérite de l'immense fortune de son père. Il dilapide la fortune de son père : il devient un dandy (riche marginal). Il vivra notamment dans un appartement "macabre" : tapisserie noire, lustres gothiques, il ira même jusqu'à dormir dans un cercueil. Il est Mis en tutelle sous la demande de sa mère et de son beau père suite à ces excès démesurés -> il ne touche plus l’héritage. Il commence donc à écrire pour

récurrence du mot « sang » (3fois) ou de nombreuses expressions y faisant référence dans chaque strophes du poème comme « Je rougirais ta bouche et tes cheveux sanglants »v.13 qui montrent que le poète ne cesse de penser à son éventuelle mort de façon macabre et obsessionnelle. Après avoir montré que l'auteur exprime son angoisse de la mort, de façon omniprésente, montrons qu'à tout cela s'oppose aussi l'amour. En effet, ce poème est une sorte de poème d'adieu, adressé à « Lou » comme le montrent l'apostrophe