Macbeth

destin peut être représenté sous plusieurs formes : -En personnage, présent ou absent des planches comme dans Macbeth ou il est représenté par « les trois sorcières » ou dans Phèdre de Racine ou dans celle-ci le destin n’est pas incarner au sens propre ; néanmoins Vénus et Neptune sont évoqués et invoqués par les personnages. -Sous forme de symbole comme le poignard ensanglanté dans Macbeth qui l’encourage à accomplir son forfait mais en même temps le mets en garde. Questionnaire : 1. Quelle

politique communiste) (Dès les derniers vers des quatrains, Baudelaire annonce le thème des tercets : l’éloge d’une esthétique plus classique. II – L’éloge d’une esthétique plus classique 1) Champ lexical positif, figures de style « Lady Macbeth » : terme anglais de noblesse. (Shakespeare > époque baroque). Représentation féminine du crime, beauté physique, destin tragique >> originalité de Baudelaire. « âme puissante au crime » : c’est le côté psychologique qui est important. Puissante

l’œuvre. Nous pouvons également relever une référence à Shakespeare, notamment à Lady Macbeth. En effet, le somnambulisme présumé de Claire rappelle celui de Lady Macbeth, hantée par la culpabilité de son crime. Même si ce n’est pas le cas de Claire, même si on comprend bien qu’elle n’est pas vraiment somnambule, elle est habitée par une indicible folie, celle qui habitait également Lady Macbeth. De plus, Lady Macbeth était une mère assassine ou du moins présumée assassine. C’est aussi ce que représente

représente le Père Ubu comme un tyran cruel comme l’attestent les substantifs « affreux sagouin » et « abominable ». La tragédie permet une dénonciation des abus de pouvoirs et de la cruauté de nombreux de ses représentants. Par exemple, dans Macbeth de Shakespeare, Macbeth après avoir usurpé le trône, devient un tyran abominable et sanguinaire qui tombe au fur et à mesure dans la paranoïa et la folie. A l’instar de la tragédie, la comédie permet aussi une dénonciation du pouvoir. Bien qu’elle ait pour

[pic] Victor Hugo « L’Enfant » O horror ! horror ! horror ! SHAKESPEARE, Macbeth. Les Turcs ont passé là : tout est ruine et deuil. Chio, l’île des vins, n’est plus qu’un sombre écueil, Chio, qu’ombrageaient les charmilles, Chio, qui dans les flots reflétaient ses grands bois, Ses coteaux, ses palais, et le soir quelquefois Un chœur dansant de jeunes filles. Tout est désert : mais non, seul près des murs noircis, Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis Courbait

considérée comme une collaboration avec John Fletcher. Les Deux Nobles Cousins : la pièce fut publiée en édition quarto en 1654 ; John Fletcher et William Shakespeare en sont les co-auteurs, et collaborèrent pour la moitié du texte chacun. Macbeth : Thomas Middleton a composé une révision de la tragédie en 1615, incorporant des séquences musicales additionnelles. Mesure pour mesure : la comédie a probablement subi une légère révision par Thomas Middleton, à un certain stade de sa composition

les plus connues sont La Cantatrice chauve (1950), La Leçon (1951) Les Chaises (1952) ou bien encore Rhinocéros (1959). Il entra, en 1970, à l’Académie française. De ses œuvres, on peut aussi compter Macbett (1972). Macbett est une reprise du Macbeth de Shakespeare (1606). Cette pièce reprend certains aspects de celle-ci. Il s’agit ici d’une parodie sérieuse, qui ne se moque pas de la tragédie de l’original de Shakespeare, mais en radicalise le pessimisme en écartant la possibilité d’une restauration

conteste l'ordre social B) Le théâtre étranger - le théâtre espagnol : Calderon, La vie est un songe, 1635 - le théâtre allemand : Schiller, La conjuration de Fiesque, 1782 Goethe - le théâtre anglais : Shakespeare (fin XVIe - D. XVIIe): Hamlet, Macbeth, Brutus sont repris pour Lorenzaccio pour, respectivement, les doutes, les remords, le tyrannicide. Musset ne le cache pas : «je voudrais être Schiller ou Shakespeare. C) Le drame bourgeois 1- Diderot a écrit et théorisé des drames bourgeois

cruauté enfantine, symbole de la cupidité des hiérarchies politiques, l’absurdité de vouloir toujours tout, farce du Moyen Âge accumulation des caractéristiques anti-héroïnes : lâcheté, médiocrité -mère Ubu : perfide manipulatrice, Inspirée par lady Macbeth, pousse Ubu à suivre ses idées, vole les trésors du père Ubu, l’apparaît comme spectre -Hamm : vieux aveugle et paralysé, confus, sauvageon, insiste d’être positionné au milieu de la chambre avec son fauteuil à roulettes -Clov : fils adoptif de

rhétorique , l’histoire de l’Angleterre ou encore la logique qui correspond aux mathématiques d’aujourd’hui. Dès 1592 , il jouit d’une certaine renommé en tant qu’acteur et auteur dramatique. Shakespeare a écrit de nombreuses pièces de théâtres comme Macbeth et Roméo et Juliette entre autres, appartenant au genre élizabethain et baroque. Le genre élizabethain s’est développé sous Elizabeth 1ère et continua de perdurer avec ces successeurs Jacques 1er et Charles 1er ,ce genre s’inspire du mystère médiéval