Macbeth

évolue vers un visage humain. Parfois, en commettant certains actes extrêmes, il devient même un anti-héros. Afin d’illustrer cet argument, il semble que Macbeth (1603) représente la figure d’anti-héros par excellence. Dans l’acte I, celui-ci est considéré comme un héros grâce à sa bravoure au combat. Or, il va graduellement perdre son statut. Macbeth se fait influencer par des forces surnaturelles, ce qui le poussera à commettre des actes criminels. Finalement, rongé par la folie et le désespoir, il

celui-ci sera compris comme une substance transcendante, voire surnaturelle, échappant à la liberté humaine, par opposition donc à l’idée de mal moral, et notamment dans Macbeth, où le mal paraît exister dans le monde de manière autonome, comme un pur principe externe et surnaturel de destruction auquel les hommes, à commencer par Macbeth lui-même, seraient soumis. Le mal physique réside donc dans la souffrance corporelle, infligée ou subie. Il tient à ma temporalité (je suis soumis au changement)

théâtre se rapproche du cinéma c'est la représentation du monde c)Le rôle des comédiens Éteins-toi, éteins-toi, court flambeau : la vie n'est qu'une ombre qui marche ; elle ressemble à un comédien qui se pavane et s'agite sur un théâtre une heure. Macbeth  [ Shakespeare ]  II)La fonction du théâtre a)Instruire Antonin Artaud: « L’action du théâtre comme celle de la peste est bienfaisante, car poussant les hommes à se voir tels qu’ils sont, elle fait tomber le masque, elle découvre le mensonge

le bouffon, Othello le jaloux, Macbeth le criminel etc. Son œuvre peut être divisée en trois parties correspondant plus ou moins aux périodes de sa vie : - Jusque 1600 : une première période heureuse où il écrit la plupart de ses comédies historiques et lyriques (Romeo and Juliet ; A Midsummer Night’s Dream ; Henry V) - Jusque 1607 : une seconde période plutôt sombre et tragique qui se manifeste à travers ses tragédies les plus noires (Hamlet ; King Lear ; MacBeth) - La dernière est une période

élisabéthain se jouait habituellement sans décor, tout est suggéré, le seul texte est important. On observe aussi un mélange des genres, des scènes comiques au milieu d'une tragédie, pour relâcher la tension.en seconde, nous avons dû lire Hamlet, Othello, Macbeth  qui sont des chefs d'oeuvres, et pour ne pas garder  que le côté tragique du grand Will je te conseille une ou deux comédies comme al Nuit des Rois qui est une bouffonerie sympathique...        3. Le théâtre baroque Shakespeare est un baroque précoce

Shakespeare est probablement le plus grand écrivain de tous les temps. Peu sont les personnes qui n’ont jamais entendu parler de ce grand écrivain qui a écrit de vrais chef-d’œuvre tels que « Macbeth », «Othello » ou encore « Roméo et Juliette ». Composant aussi bien des tragédies comme par exemple «Macbeth » que des comédies, entre autres, «Le Marchand de Venise », Shakespeare est encore de nos jours considéré comme un auteur à la capacité d’inspirer et de convaincre bon nombre d’artistes de notre

condition humaine1. Mais mal subi et mal commis sont liés, ne serait-ce que parce que la souffrance subie par les uns est généralement le résultat d’un mal commis par d’autres : la femme et les enfants de Macduff subissent les effets du mal exercé par Macbeth, M. Numance meurt parce qu’il subit le chantage de Firmin. Dans ce sens, le mal physique découle du mal moral. Dire « le mal », c’est donc en réalité penser sous une catégorie unique une diversité de réalités, qu’il faut examiner avec circonspection

aux spectres dans l’extrait 1 et 2 ? 1. Pour moi le texte le plus facile à mettre en scène est « MACBETH », car le texte à était écrit au XVIIe siècle, à cette époque il n’y avait pas beaucoup d’effet spéciaux. Il n’y à que quatre personnages qui parlent, et huit figurant. Et on n’a besoin que de quelque accessoire. 2. Dans l’extrait 1 les spectres rappel le passait de Macbeth. dans l’extrait 2 le spectre à un rôle de faucheuse, qui vient récupéré les âmes. Invention : Le fantôme

Guern 1 Bibliographie 1/ Œuvres au programme Sophocle, Oedipe roi, traduit par Victor-Henri Debidour, en Livre de Poche classique. Racine, Phèdre, classiques Larousse. (Toute autre édition de la pièce est valable) Shakespeare, Macbeth. Edition bilingue. Traduit par Pierre Jean Jouve, en GF Flammarion, 1993. 2/ Ouvrages généraux sur la tragédie Jacqueline de Romilly, La tragédie grecque, Quadrige, PUF, 1970. Pierre Grimal, Le théâtre antique, Que Sais-je?, PUF, 1978.

CHORÉGRAPHIQUE LIBREMENT INSPIRÉE DE MACBETH DE WILLIAM SHAKESPEARE CHORÉGRAPHE FRÉDÉRIC WERLÉ Compagnie IRITIS Avec Catherine Lenne (Lady Macbeth), Frédéric Werlé (Macbeth) Dramaturgie Yvan Chevalier Lumière Pierre Montessuit DURÉE 45 MN Merci à Michel Rouillon, Catherine De Guirchitch, Valérie Kula, Josiane Touzain, Martine Mocoeur, Eloïse Deschemin et Hélène Werlé. Lady Macbeth et Macbeth se retrouvent sur scène et tentent autant de jouer la pièce de théâtre Macbeth que de comprendre cette œuvre