Macédonien

Alexandre. Celui-ci réprime aussitôt la révolte violemment : s'il épargne Athènes, il rase Thèbes, sauf les temples et la maison de Pindare. Les conquêtes d'Alexandre En 335 av. J.-C., Alexandre devient le commandant en chef de la coalition gréco-macédonienne. Pour lui donner un but commun, il entreprend l'attaque de l'Empire perse, ennemi principal des Grecs. Il veut continuer l'œuvre de son père qui avait envoyé une armée combattre dans l'Empire perse, armée qui y était en difficulté. Élevé dans la

différence du reste de la Grèce à cette époque, le pays n’est pas organisé en cités indépendantes comme Spartes et Athènes - pour citer les plus célèbres- mais en royaume. Les Grecques de ces cités pouvaient d’ailleurs considérer de ce fait les Macédoniens comme des barbares. Homère appelle la Macédoine Emathie, pour lui cette région est le « pays des barbares et des dieux ».Alexandre III est né le 21 juillet 356 av. J.-C. à Pella, capitale de la Macédoine antique, située dans l’actuelle Grèce. Il

reconnu et fier de moi. J’avais l’impression que mon père me volait un peu de ma part de gloire. Enfin, ma 1ère bataille c’était celle de Chéronée en aout -338, j’avais 18 ans et je contrôlais la cavalerie. J’ai pu voir la formation militaire Macédonienne, La Phalange sur le chant de bataille, celle-ci ressemblait à un porc-épic si on la regardait de côté et elle était efficace puisqu’elle faisait reculer nos ennemis grâce aux longues lances de 6m pointées vers l’avant. La bataille était contre

lorsqu'il se fit logographe. En 351, il entra dans la vie politique en défendant les démocrates bannis de Rhodes. À partir de cette année, il s'efforce de combattre le pouvoir de Philippe II de Macédoine. Démosthène fut chef du parti démocratique anti-macédonien avec Hypéride. Il dû s'exiler lui-même, car il ne pouvait payer une amende d'or d'Harpale lieutenant d'Alexandre, traitre à son souverain (325). Il s'enfuit devant les assassins d'Antipatros, Démosthène se réfugia dans le temple de Poséidon à Calaurie

le sanctuaire ne pensait que des envahisseurs puissent prendre ce sanctuaire, celui-ci étant sous la protection du puissant dieu, Apollon. A] Les monuments, symboles d’un sanctuaire civique et amphictyonique protégé par des peuples grecs, les Macédoniens et les Etoliens, à l’époque classique Le sanctuaire de Delphes avait donc aussi un rôle politique puisqu'il contenait les monuments où avaient lieu les conseils de la cité de Delphes. Le bouleutérion de Delphes, long édifice archaïque, qui était

de Zeus. Comme Alexandre avant eux, les Ptolémées sont convaincus d’être d’ascendance divine. 2) Ou des souverains hellénistiques ? Ptolémée Ier Sôter est conscient du fait qu’il ne règne pas sur un peuple uniquement composé de Grecs et de Macédoniens, il y a également une part non négligeable de sujets égyptiens. Si l’idée de fusion des peuples voulue par Alexandre n’a pas été reprise par Ptolémée, il continue néanmoins à se poser comme le défenseur des cultes et des traditions indigènes ; il

entré dans Athènes en 338 av. J.-C. Son vrai nom est Alexandre III. Il fut toute suite ébahi par les richesses de cette cité. C’était une région plus riche que celle d’où il vient, la Macédoine. Par contre, certains Athéniens considéraient les Macédoniens comme leurs pires ennemis, car ils étaient cruels et parce que leur chef, Démosthène, ne se faisait pas aimer par ceux-ci. Donc, Alexandre et des gens qui étaient unis avec son père décidèrent de demander un traité de paix. Alexandre Le grand serait

peuplement mixte gréco-barbare, qui possèdait ses propres institutions civiques, et qui a connu son apogée avec Philippe II et Alexandre le Grand. Archélaos, roi de -413 à -399, fait de Pella sa capitale. Archélaos contribue fortement à l'essor de l'état macédonien, non seulement sur le plan politique, mais aussi culturel, accueillant à sa cour de nombreux artistes grecs, et économique, en développant des routes de commerce, mais qui seront aussi importantes pour les mouvements militaires. Philippe II de

déjà défendue en 380 par l'orateur Isocrate ; (Isocrate, Panégyrique d'Athènes) une garnison macédonienne était déjà en place à Abydos, sur la côte asiatique. Mais Philippe fut assassiné (336) avant d'avoir pu réaliser ses projets. Dès son avènement, Alexandre proclame sa volonté de poursuivre l'oeuvre de son père. Cependant il doit d'abord réprimer les tentatives d'opposition dans la noblesse macédonienne, chez les peuples voisins (ARRIEN, Anabase d'Alexandre) comme en Grèce même, par des exécutions

et de Méthone des colonies macédoniennes. Cela provoque le mécontentement des cités de Grèce Continentale notamment de Thèbes et d’Athènes qui vont combattre la Macédoine cela va commencer en 340 av J-C où les grecs vont faire reculer les macédoniens à Périnthe et à Byzance ; mais en 338 une contre offensive est lancé par l’armée macédonienne commandée par Philippe II et son fils Alexandre dans la plaine de Chéronée. Cette bataille s’acheva sur une victoire macédonienne, qui traita sévèrement la cité