Macédonien

334, après l'avènement au trône de son élève, Aristote revient à Athènes, où il fonde une école (le lycée) qui va rapidement faire concurrence à l'Académie. En 323, la mort d'Alexandre va compromettre pour un temps le Lycée, car le parti anti-macédonien relève la tête. On intente à Aristote un procès d'"impiété" analogue à celui qui avait fait mourir Socrate. Aristote se hâte de fuir et se réfugie à Chalcis où il meurt un an plus tard. Son temps : Socrate a été condamné à mort en

attire les plus grands poètes, savants, artistes du monde grec stimulant des arts et des artisanats de grande qualité. La venue de Zeuxis en Macédoine, à la fin du Ve siècle avant J.-C., est fondamentale. Elle marque un tournant dans la peinture macédonienne en influençant un grand nombre d’artistes, qui mettront en oeuvre les techniques du maître au cours des siècles suivants (c.f. les mosaïques figurées des maisons de Pella, datant de la fin du IVe s) : les couleurs ne sont plus appliqués en aplats

Alexandrie est ouverte sur la Méditerranée. C’est une création ex nihilo dans la mesure où il y avait à sa place un simple village de bouviers et de pêcheurs qui fut dénommé Rhacôtis, ce fut peut être aussi un poste de douane avant l’arrivée des greco-macédoniens. Cette création ex nihilo est tout à fait rare ce qui donne à la ville un caractère original de sa fondation. Si on exclue le konnai de l’époque (villas) on ne compte que comme ville nouvelle uniquement Alexandrie pour le territoire égyptien.

qui nous soient parvenus. Ses doxographes lui sont postérieurs de quelques siècles (Denys d’Halicarnasse, Diogène Laërce...). Sa biographie n’est donc connue que dans les grandes lignes.[1] Son époque est marquée par le renouveau de l’empire macédonien et le déclin de l’influence de la démocratie athénienne. Aristote est né en -384 en Macédoine, à Stagire (d'où son surnom : le Stagirite), ville de Chalcidique. Stagire se trouve près de l'actuelle Stavro, proche du mont Athos. Son père, Nicomaque

Le partage de Babylone : juin 323. Deux successeurs possibles : l’enfant de Roxane ou Arrhidée. L’armée d’Alexandre se divise sur cette idée : la cavalerie et l’élite des compagnons d’Alexandre se prononce plutôt pour l’enfant, l’infanterie macédonienne hostile à la politique d’association avec les iraniens, est favorable à Arrhidée. Un compromis : si l’enfant est un garçon, il devra régner conjointement avec Arrhidée (Philippe III). Roxane donne naissance à un garçon Alexandre IV. Mais les deux

»« son dessein de conduire l’armée vers la haute Asie. »« Par cette vision la divinité laissait entendre apparemment que la puissance macédonienne allait briller d’un vif éclat et Alexandre se rendre maitre de l’Asie. »Encore combat contre les perses et Darios. « La victoire d’Alexandre fut éclatante et elle coûta plus de cent dix mille hommes aux ennemis. »· Toujours pas de prise de Darios·

décisions qu’il avait prises lui-même » (l.8 à 9) b) Une réunion au sommet : mise en place d’une nouvelle administration (l.1 à 7) Description de Tite-Live des personnes présentes : 10 principaux citoyens de chaque ville Consul Foule de Macédonien Licteur : escorte de magistrat possédant l’imperium Héraut => Paul Emile Conseil réunie à Amphipolis (région des Edoniens Macédoine orientale), territoire gagné par Persée. Décision du consul + celui de Paul Emile = division du royaume

en -346. la direction de l’Académie est alors confiée à Speusippe, le neveu de platon. Aristote, qui ne l’estime guère, décide de se rendre à la cour du roi Hermias, sur l’île de Lesbos, en Ionie. Ce départ est également justifié par le sentiment anti-macédonien croissant chez les Athéniens. Aristote s’installe rapidement dans le port d’Assos et fonde une école où il enseigne les sciences et la philosophie. Les cinq années que passe Aristote dans l’île de Lesbos sont consacrées en grande partie à l’étude

et fonde un gymnase en honneur à Apollon Lycien, d’où « Lycée ».Lycée dont la doctrine s’oppose pour une part à celle enseignée par Platon. A la mort d’Alexandre le Grand, il fuit avec son fils car son éducation est trop imprégnée de la culture macédonienne. Il meurt en –322. Aristote perpétue la recherche de Socrate, qui cherche à connaître les qualités de l’homme par la philosophie. Il cherche ce qu’est le bien, ce que l’homme peut atteindre par ses actes. Aristote distingue : -les vertus intellectuelles

C'est ainsi qu'un triumvirat se forme avec Cratère, Antipater et Perdiccas. Les satrapies sont partagées entre les diadoques, les généraux d'Alexandre, qui sont tous macédoniens, à l'exception d'Eumène de Cardia. Mais les ambitions personnelles des diadoques vont mener à des luttes. Paradoxalement, ce sont les Gréco-macédoniens, et non les peuples conquis, qui provoquent ces tensions. Les cités grecques se soulèvent pour retrouver leur liberté. Elles forment une alliance et remportent des succès