Machiavélisme

PB – Apparu à tous les moments de l'histoire ? État ou état ? Le mot État est d'apparition récente, XVI ème siècle utilisé pour la première fois par un juriste canoniste dans un ouvrage sur l'art de gouverner écrit par Nicolas Machiavel (Machiavélisme). Il emploie le mot État dans le sens que nous l'entendons aujourd'hui. Apparition dans un petit bout de l'Europe car d'autres formations politiques existaient comme : -l'empire romain d'Occident ?? -l'empire du Soudan (Mali) -l'empire Ottoman

aux filles (Angélina & Angélica) est scandaleux : objets de marchandage. Le paternalisme règne et le comportement du père d’Angelina est répugnant. -le N s’acharne sur les Siciliens qui jouent aux hommes d’honneur, aux héros ; il raille leur machiavélisme inculte 112, il parle de la sournoiserie des loquaces Siciliens 183. -la mafia naissante sera la tentation irrationnelle et elle ne tombera pas du ciel mais partira d’un humus déjà riche. Citez l’incroyable violence sicilienne narrée par Tc

différente la signification de l'acte d'autant plus que Lorenzo avoue avoir d'abord voulu tuer le pape Clément VII. Quand bien même l'intention serait pure, les moyens employés par Lorenzo sont condamnable. Le personnage fait preuve d'un certain machiavélisme. Il séduit des jeunes filles, avec la complicité de leur propres mères en échange d'un peu d'argent, pour le compte d'Alexandre. Il va jusqu'à offrir sa tante au duc et n'est pas loin de la corrompre elle-même. Il gagne la confiance de son cousin

littérature – Machiavel : penseur italien du XV è siècle. Il a écrit « Le Prince » oeuvre sur les meurs politiques des souverains italiens. Il est souvent présenté comme un personnage cynique dépourvu de tout sens moral et d'honnêteté, (« machiavélisme » )pour qui la fin justifie les moyens. Or, ses écrits montrent un homme politique avant tout soucieux du bien public, qui cherchait à donner à la République de Florence la force politique qui lui manquait à une période où, paradoxalement, elle

INTRODUCTION Préambule La finalité de l'État est le bonheur des citoyens et c'est vers ce but que doit tendre l'action des hommes politiques. Pourquoi le sujet va C'est dire que le machiavélisme qui veut que l'on taise la vérité au peuple n'a plus sa place être traité dans les démocraties modernes. Certains le voudraient-ils que les médias omniprésents s'empresseraient de révéler la réalité et le mensonge. Idée maîtresse Pour autant, les hommes politiques peuvent-ils dire la vérité

parisiens vis-à-vis des provinciaux, des bourgeois vis-à-vis des prolétaires, de ceux qui sont parvenus et de ceux qui veulent parvenir par-dessus tout. Balzac illustre de ce fait bien des penchants intrinsèques à la nature humaine, notamment son machiavélisme selon lequel « la fin justifie les moyens ». Balzac l’incarne en Vautrin qui illustre de son cynisme le quatrième acte de l’ouvrage qui amorce la fin : ce personnage exhorte le héros Rastignac à choisir s’il veut faire partie des dominants ou

Dans cette perspective, la magnanimité d’Auguste n’apparaîtrait alors que comme une pure stratégie politique visant à assoir un pouvoir contesté, plutôt que comme un mouvement humain de sa personne. Or, réduire le comportement d’Auguste à un machiavélisme anticipé est bien trop réducteur de l’analyse nécessaire à la bonne compréhension de la pièce. Il faut alors s’intéresser tout particulièrement au dernier Acte, car il lie étroitement la clémence de l’empereur à un bouleversement intérieur de

de la violence propre au régime tyrannique du duc, qui est en tout point excessif. Il règne dans la Florence des Médicis une atmosphère de décadence, qui est celle des valeurs humaines. Musset reprend ici tous les vices de ses contemporains  : machiavélisme, corruption, hypocrisie. Le théâtre est plus que jamais un jeu de masques. Lorenzo en porte beaucoup et constitue une véritable énigme : tiraillé entre le bien et le mal, le vice et la vertu, à la fois misanthrope et en quête de renaissance, sa

Ainsi si l’affrontement de Ruy Blas et Salluste ne se réduit pas à l’affrontement entre deux hommes, ce n’est pas parce qu’il y a une connotation religieuse, mais parce qu’il prend la valeur symbolique de la lutte de l’innoncence contre le machiavélisme, du bien contre le mal. Par conséquent, dans Ruy Blas, Hugo fait passer le thème de Faust du plan métaphysique au plan éthique. Rien d’interdit de voir aussi dans le couple Ruy Blas –Salluste, couple pureté-corruption, et cette fois la

se faire entendre lors des sessions du Conseil. Pour savoir comment on en est venu là, il faut sans doute faire la part de la naïveté des uns et de l’ambition des autres. Alors que les Etats-Unis s’isolaient dans une attitude critique, non sans machiavélisme – leur boycott du Conseil des droits de l’homme leur évitant de tester une nouvelle candidature dans un contexte politique particulièrement difficile –, les Droits fondamentaux, n° 6, janvier - décembre 2006 www.droits-fondamentaux.org