Madame Bovary La Laideur

vernies, sa cravate, ses moyens de transport récents). Or, explique Baudelaire à travers un raisonnement d’une logique imparable, « puisque tous les siècles ont eu leur beauté, nous avons inévitablement la nôtre. » Il n’y a aucune raison que la laideur (prétendue) d’aujourd’hui ne devienne pas la beauté de demain. En réalité, c’est par paresse intellectuelle que l’homme dénie à son temps la beauté qu’il contient : « car, note Baudelaire, il est beaucoup plus commode de déclarer que tout est absolument

personnage avec une autre diction, presque opposée : est choqué, étonné. Voix ironique et voix subjective et généralement naïve… ‘elle n’est point jolie, elle n’a point de rouge’. Noir : vérité âpre ‘la vérité, l’âtre vérité’ ; rouge : cacher la laideur naturelle des femmes. & gros monsieur qui dit des insultes :OOO Polysémie poétique : un seul locuteur et plusieurs énoncés. Inverse, donc. 10 novembre 2011 Diction poétique VS langage romanesque. Polysémie : multiplication des possibilités

Jean-Joachim Goriot, ce « Christ de la paternité16 », ou du bagnard reconverti en policier, Vautrin. Il a influencé directement des auteurs comme Gustave Flaubert dont le roman L'Éducation sentimentale est directement inspiré du Lys dans la vallée, et Madame Bovary de La Femme de trente ans17. Le cycle romanesque de La Comédie humaine et le principe des personnages reparaissant ont également influencé de nombreux auteurs de son siècle et du siècle suivant, notamment Émile Zola pour le cycle des Rougon-Macquart

faire". La première réponse se situe dans le mystère du mal qui heurte de plein fouet le romancier catholique. L’adresse liminaire nous indique aussi combien Mauriac est habité par son personnage. À la manière d’un Flaubert qui s’exclamait « Madame Bovary, c’est moi », Mauriac s’adresse à sa part féminine et interpelle Thérèse : « Thérèse, beaucoup diront que tu n’existes pas. Mais je sais que tu existes, moi qui depuis des années, t’épie et souvent t’arrête au passage, te démasque ». Suivent deux

nous essayons de reconnaître la réalité d’une civilisation étrangère à la nôtre. Et ce n’est certainement pas un hasard si c’est ce même Flaubert qui, après avoir échoué dans sa tentative de représenter la réalité des « mœurs de province » dans « Madame Bovary », écrivit le « Dictionnaire des idées reçues ». Dans ce célèbre opuscule qui devait être publié à la fin de « Bouvard et Pécuchet », Flaubert se penche sur le système des stéréotypes qui dirigent notre perception de la réalité.[v] Que nous parlions

Héloïse B/ … au libertinage 1° L’autre face des choses : l’amour dans l’œuvre épistolaire de Laclos 2° Sade ou l’amour maléfique V ) L’amour au siècle du romantisme A/ L’amour réaliste 1° Mme Bovary : le chef d’œuvre du roman réaliste 2° L’éducation sentimentale : le réalisme moral B/ L’amour au naturel VI ) Qu’en est-il de l’amour dans la littérature de notre siècle ? A/ Vision surréaliste de l’amour B/

qu'il ne s'amuse pas comme ceux de son âge, donc parce qu'il est différent et qu'il est rejeté, le jeune Sartre se réfugie dans ses jeux imaginaires. L’écrivain témoigne du bonheur qu’il éprouvait à ces jeux, cependant, la prise de conscience de sa laideur et de sa différence fut douloureuse pour le petit Jean-Paul. Au lycée, il connaît enfin une véritable amitié avec Paul Nizan. Partageant leurs découvertes littéraires, ils se soutiennent mutuellement dans leur projet de carrière d'écrivain. Ils découvrent

| |- Hugo, « J’aime l’araignée », Les Contemplations, |Commentaire : Lautréamont, « Le Pou », Les Chants de Maldoror, chant II,9 | |Livre III, « Les luttes et les rêves », XXVII |Dissertation : La laideur peut-elle être une source d’inspiration pour un poète | |- Lautréamont, « Le Pou », Les Chants de Maldoror, |au même titre que la beauté ? | |chant II,9

comédies de Molière La poésie avec Boileau qui écrit « L'art poétique » (1671) Les fabulistes et les moralistes avec La Fontaine (Livre 1 à 6 : 1668) La Rochefoucauld avec Les Maximes en 1665 Les Caractères de La Bruyères 1688-1696 Madame de Sevignet et le genre du roman épistolaire L'art de l'oral avec Bossuet et ses raisons funèbres Louis XIV était un mécène, un protecteur des arts et des Lettres. Il attribue des fonctions aux écrivains pour qu'ils aient une pension, une manière

personnages qui inspire de l’horreur au lecteur : comme le spectateur d’une tragédie classique, le lecteur du roman de Zola ne peut que se réjouir de ne pas être confronté à de pareils tourments ; c’est la dimension cathartique du récit. De plus, la laideur des cadavres et l’image finale de Mme Raquin les contemplant suscitent à la fois le dégoût et l’effroi du lecteur. 25 Thérèse Raquin Groupements de textes III. Une condamnation morale a. Les remords de Thérèse et de Laurent apparaissent clairement