Madame Bovary Scène Paradoxale

romanesques dans leur diversité et leur multiplicité. Le roman est un genre qui voit le jour au XVIème siècle et se détache du reste des genres littéraires car il s’agit d’un récit plus ou moins long, en prose, autrement dit d’une narration mettant en scène plusieurs personnages confrontés à une intrigue ; personnages dont la psychologie est exposée tout au long du roman. Lorsqu'un auteur écrit un livre, il accorde beaucoup d'importance à la création de ses personnages. Il leur donne une personnalité

de « Le duc de Nevers, dont le vie était glorieuse… », à «… il levait les yeux jusqu’à elle » -Tome I, ♦ page 18, de « Le lendemain qu’elle fut arrivée… », à «… il alla le soir chez Madame, sœur du roi » -Tome I, ♦ pages 30 à 31, de « Elle passa tout le jour des fiançailles… », à « … il ne put admirer que Madame de Clèves » -Tome III, pages 101 à 102, de « Eh bien, monsieur, lui répondit-elle… », à «…pour avouer cette vérité que pour entreprendre de la cache » -Tome IV, pages 152 à 155, de « Je

cherche à fixer des « tableaux cliniques » des symptômes qu'elle tient pour « donnés à voir ». Plus que toute autre affection psychiatrique, l'hystérie s'offre au regard, jusqu'à le solliciter à outrance. Là où elle s'expose, elle s'exhibe, devient scène, théâtre, spectacle, à commencer par son propre corps. On se souvient des fameuses expérimentations de la Salpêtrière orchestrées par J.-M. Charcot qui consistent à provoquer les crises hystériques devant un parterre de spectateurs. Le succès de ce

romans-fleuves (aussi bien les romans précieux que les romans comiques) ont des intrigues souvent enchâssées et entremêlées, typiques du baroque. 3. Les héros parfaits du roman classique. Le chef d’œuvre du roman classique est la Princesse de Clèves de madame de la Fayette (1678). A l’opposé des romans baroques, l’intrigue y est dépouillée, et vraisemblable, réduite à une seule ligne narrative : il y a une unité d’action qu’on ne trouvait pas jusque là dans le roman. Les portraits du Duc de Nemours et

mains », « grand seigneur méchant homme ». (Scène 1) C’est alors qu’entre en scène Dom Juan, qui confie à son valet qu’intéressé par la seule conquête, il ne peut s’attacher à aucune femme (inconstance de l’amour) et que, tels les grands conquérants, il rêve de succès sans cesse renouvelés. Lassé de Done Elvire, il envisage désormais une nouvelle « entreprise amoureuse » ; il s’agit d’enlever une femme au cours d’une promenade en mer avec son fiancé. (Scène 2) Done Elvire apparaît, en colère et attristée

la notion de naturalisme dans la littérature.   Degans : C’est un militaire français posté en Algérie. Il est capitaine et Thérèse est le fruit de sa liaison avec une femme algérienne. Il la confie à sa soeur, Madame Raquin. Il se fait tuer quelque temps plus tard, en Afrique.   Madame Raquin : Soeur de Degans, elle s’occupe de Thérèse. Souhaitant vivre à Paris, elle ouvre une boutique dans la capitale, vers le Pont-Neuf. Elle va devenir paralysée et muette.   Thérèse : Mariée à son cousin Camille

tête ; son père, un gros cultivateur, le destinait à la magistrature – et, voulant déjà paraître sérieux, il portait sa barbe taillée en collier. »Regimbart : prosopographie et éthopée mêlée : le portrait réaliste peint un homme de la société, met en scène son caractère, etc., sans autre but que de montrer la réalité, le vrai – pas de jugement, le point de vue interne de F. est gommé.le portrait des ouvrières de M. Arnoux : p.307.Pellerin p.91 / portrait réaliste de l'artiste peintre, Flaubert montre

 Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.                           Ma bohème, Rimbaud 3. le développement : une explication linéaire ou méthodique (avec des parties) • je repère :                • qui parle dans le texte?, qui voit la scène?                • les temps des verbes                • la structure logique du texte (mots de liaisons, de coordinations)                • les champs lexicaux et sémantiques                • les figures de style employées • j'explique l'effet produit

pragmatiques), il m'a paru utile de le mettre à la disposition de ceux que cela pourrait intéresser. A bien des égards ce texte est insatisfaisant. C'est pourquoi j'ai écrit une nouvelle synthèse, plus vaste : Le discours littéraire. Paratopie et scène d'énonciation (Paris, Armand Colin, 2004). V AVANT-PROPOS Lier une oeuvre à ce qui l'a rendue possible, penser son apparition en un temps et un lieu déterminés est une tâche aussi vieille que l'étude de la littérature. Mais

Tout p ou r réuss BAC Romain Gary (Émile Ajar) Édition de Domenica Brassel Depuis 1975, date de la parution de La Vie devant soi, la profonde humanité et la truculence de Madame Rosa et de Momo ne cessent d’émouvoir les lecteurs. Lisez ce roman. Vous y découvrirez des personnages hauts en couleur et profondément humains, la belle histoire d’un jeune garçon arabe et d’une vieille dame juive, une écriture d’une grande inventivité et le dernier mot de Momo : « il faut aimer ». ISBN 978-2-7011-5264-6