Madame de La Fayette

artificiel et conventionnel reflétant les manières de vivre de l'aristocratie. Exemple: le roman bourgeois d’Antoine furetière (1666) et le roman comique de Paul scarron ( 1651-1657) appartiennent au roman précieux . Des œuvres fondatrices: madame de la Fayette inaugure avec la princesse de clèves une forme nouvelle appelé a un grand succès , les personnages sont toujours idéalisés mais évoluent dans le contexte historique de la cour des Valois auXVIe siècle et côtoient des personnages réels ,les

–---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette a publié cette œuvre en 1678 sous le règne de Louis XIV. C'est une femme de lettres française, cette œuvre porte le nom de « la princesse de Clèves » est fondateur du roman moderne car c’est la première fois que l’héroïne possède une épaisseur psychologique

Madame de Lafayette : La princesse de Clèves  Page 71-72.  La rencontre au bal : « Mme de Clèves avait ouï… il ne put que admirer Mme de Clèves. »     Introduction :   Ce roman a été écrit au 17e siècle classicisme par Madame de La Fayette. La scène se passe au 16e siècle à la cour d'Henry II. C'est un des premiers romans psychologiques : qui nous montre l'histoire de Mlle de Chartres, qui a rencontré le Prince de Clèves qui tombe éperdument amoureux d'elle mais cette dernière ne l'aime pas. Ils

INCIPIT : La princesse de Clèves de Madame de la Fayette ╚> roman éponyme 1) Le siècle : XVIIe s Siècle du règne de Louis XIV => ordre, grandeur, rigueur Théâtre classique (les 3 règles) => classicisme (puis préciosité) ╚ > baroque (puis libertinage) Molière ; Racine ; Corneille Fin XVIe–XVIIe | XVIIe | XVIIe | XVIIe-XVIIIe | Baroque | Classicisme | Préciosité | Libertinage | ▪ Superflue, folie, excés▪ liberté

Madame de Lafayette (1634-1693) 1634 Naissance à Paris, le 18 mars 1634, de Marie-Madeleine Pioche de La Vergne qui deviendra Madame de La Fayette. Son père est de petite noblesse (écuyer). Sa mère, fille d'un médecin du roi est au service de Mme de Combalet, nièce du cardinal de Richelieu. 1658 Naissance, en Auvergne, de Louis, fils de Marie-Madeleine de La Fayette. 1659 Mort de la mère de Mme de La Fayette Naissance à Paris, d'Armand, le second fils de Marie-Madeleine de La Fayette Mme de La

Quel est l'idéal féminin présenté au travers de ces trois extraits ? Commentaire Intro: Madame de La fayette, née dans une famille de petite noblesse en 1634 et morte en 1693, est élevée dans un milieu qui gravite dans l'entourage du cardinal de Richelieu,d'intellectuels et de mathématiciens. Devenue Demoiselle d'honneur de la reine Anne d'Autriche à 16 ans, elle observe les intrigues de la Cour. Elle écrit nouvelles et romans qui ne sont pas publiés sous son nom, car il n'est

lorsqu'il écrira Madame Bovary en 1857. Il commence sans enthousiasme ni assiduité de classiques études de droit à Paris mais, atteint d'une maladie nerveuse aux environs de l'année 1844, il doit les interrompre prématurément ce qui lui donne l'occasion de se consacrer exclusivement à la littérature. Il s'adonne alors à des œuvrés se classant entre romantisme et réalisme telles que: L'Éducation sentimentale (1869) ou même Bouvard et Pécuchet (1881), inachevé. -> Mme de la Fayette: Marie-Madeleine

Analyse linéaire texte 1 : le portrait de Mile de Chartres. - Madame de la fayette est né le 18 mars 1634 et elle est élevée au milieu d’intellectuels, de critiques littéraires et de mathématiciens, elle est vite réputée pour sa finesse de son esprit- le passage est la première scène de rencontre avec le prince de Clèves, due au hasard au cours de laquelle la princesse n’avait pas été touchée. - Dans la dizaine de pages qui précèdent le passage, Mme de Lafayette a fait revivre en l'embellissant

la figure d’exagération qui fait de ce « voyeur » un amant hors du commun ! On dirait que madame de La Fayette s’emploie à magnifier une curiosité indiscrète, pour ne pas dire malsaine ! - Cependant, monsieur de Nemours n’a aucun scrupule à « espionner » madame de Clèves mais il craint de se montrer, même si il en éprouve une vive envie : « Il trouva qu’il y avait eu de la folie, non pas à venir voir Madame de Clèves sans en être vu, mais à penser de s’en faire voir. » - En effet, quand il fait

la figure d’exagération qui fait de ce « voyeur » un amant hors du commun ! On dirait que madame de La Fayette s’emploie à magnifier une curiosité indiscrète, pour ne pas dire malsaine ! - Cependant, monsieur de Nemours n’a aucun scrupule à « espionner » madame de Clèves mais il craint de se montrer, même si il en éprouve une vive envie : « Il trouva qu’il y avait eu de la folie, non pas à venir voir Madame de Clèves sans en être vu, mais à penser de s’en faire voir. » - En effet, quand il fait