Madame De Sévigné

Corneille et Racine ont influencé cet auteur, qui a écrit un roman sur l’amour. Madame de Lafayette ; elle a écrit son roman qui s’appelle « La Princesse de Clèves. » La influence de Corneille est avec la héroïne, Madame de Clèves. Elle reste fidèle à son mari quand il est mort. Pour un héros de Corneille, le droit est toujours plus importante que la passion. 9. Quel auteur a maîtrisé le genre épistolaire ? Madame de Sévigné ; Elle a écrit beaucoup de lettres à sa fille. 10. Qui a écrit : « Je pense

La Fable «  Le curé et le mort » est inspirée d'un fait divers relaté dans deux lettres de Madame de Sévigné ; La fontaine exploite ce fait divers en étoffant son récit de circonstances qui vont lui donner une tonalité et une signification nouvelle. On peut d'ailleurs avancer l'idée qu'il se livre à une sorte de détournement de sens, puisque rien n'indique que la personnalité du curé réel corresponde à celle qui est décrite dans la Fable. La gaieté fait son apparition dès le vers 3, avec l'adverbe

dramaturge Racine dont les pièces expriment quasiment toutes, cette fatalité et ce rigorisme, le peintre Philippe de Champaigne, qui a peint un portrait de Jansenius, Lemaître de Sacy (qui traduisit la Bible pour la première fois en français). Madame de Sévigné admirait les Provinciales, qu’elle trouvait « divines ». Cette déviance catholique s’est répandue rapidement parmi les peuples français et européens qui y voyaient un esprit de fronde contre l’ordre établi. Après la Révolution, elle a continué

ce qui fut le cas de Racine avec la fameuse Marquise, Thérèse Du Parc, morte mystérieusement en 1668, puis avec la Champmeslé , créatrice du rôle de Junie dans Britannicus, inoubliable interprète de Bérénice, d’Iphigénie et de Phèdre, et dont madame de Sévigné dira qu’elle est « plus merveilleuse bonne comédienne que j’aie jamais connue » (11 janvier 1672). Autre hypothèse, plus sérieuse, la conversion au Jansénisme. En rejoignant les Messieurs de Port-Royal, Racine ne peut qu’épouser leurs convictions

→ 1651 participe à la Fronde (la 1ère Mazarinade lui est attribuée) et publication de la 1ère partie du Roman comique. → 1652 épouse Françoise d’Aubigné, petite-fille du poète et future Madame de Maintenon. Il la sauve ainsi de la misère et du couvent. → 1654 Scudéry, Ménage, Ninon de Lenclos, Madame de Sévigné fréquentent le couple. → 1657 Parution de la 2ème partie du Roman comique. → 1660 meurt en laissant le Roman comique inachevé. Laisse aussi une œuvre théâtrale importante (Jodelet ou le

partie La Princesse de Clèves Préparation de la lecture analytique (notes dans le désordre). Attention, la lecture analytique commence plus loin. I : Biographie de Madame de La Fayette : Sa naissance (fille), sa condition (grande aristocrate, dame d'honneur de la reine), ne laissaient pas présager de l'importance de l'oeuvre que Madame de Lafayette allait écrire. Elle a su tourner, contourner les multiples obstacles à l'écriture : son éducation, assez poussé pour une femme de son rang, mais non

non plus d’autorité paternelle. La femme a donc autant de pouvoir autoritaire que son mari. En 1984, celle-ci obtint le droit de gérer les biens de sa famille. Certaines femmes se sont particulièrement distinguées en littérature, telle Madame la Marquise de Sévigné, au XVIIème siècle, ou encore la Comtesse de Ségur au XIXème siècle, puis d’autres exemples de femmes exceptionnelles comme l’extraordinaire Marie Curie au XIXème siècle qui obtint deux prix Nobel de physique. Ces femmes avec d’autres

ils ont parfois exprimé sur elle des jugements réducteurs. Shelton, par exemple, considère que le roman n’est qu’une camelote (a trash) tout juste bonne à offrir aux valets et à leurs maîtresses. Cet avis n’est cependant pas unanime. Racine, Madame de Sévigné avouent prendre un vif plaisir à la lecture des aventures du chevalier. Toutefois, ce dont ils s’entretiennent à bâtons rompus le plus souvent dans leur correspondance, c’est de l’amusement qu’elles leur procurent. Seul Saint-Evremond s’exprime

et l’esthétique classique dont Mme de Lafayette est l’une des illustres représentantes. Intellectuelle indépendante réputée pour sa finesse et son esprit, elle tient salon et s’entoure des brillants esprits de son temps : La Rochefoucauld, Mme de Sévigné et Perrault. Intime des grands du royaume, elle est appréciée du jeune Louis XIV pour son talent même si elle ne peut reconnaître la paternité (maternité ?) de ses œuvres (La Princesse de Monpensier, Zaïde) sans déroger à son rang. Si La Princesse

genres, les dramaturges classiques distinguent soigneusement la tragédie et la comédie. D'autres genres se développent, liés à la religion, comme les sermons (Bossuet) ou à la vie mondaine, comme les maximes (La Ro-chefoucauld), les lettres (Madame de Sévigné) ou le roman classique (La Princesse de Clèves). LA LANGUE CLASSIQUE Le souci de l'élégance et de l'équilibre domine. Les classiques préfèrent les figures d'atténuation. L'alexandrin, souvent coupé à l'hémistiche devient le vers privilégié