Madame Ferraud

me permettent aujourd’hui de remercier Messieurs les professeurs de YVES DALLERY et JEAN PAUL KIEFFER d’avoir bien voulu accepter de rapporter ce travail de thèse, Monsieur le Professeur LIONEL DUPONT d’avoir pris la direction du jury, ainsi qu’à Madame la Professeur COLETTE MERCE, Monsieur DANIEL DEJEAN, Supply Chain Integration Director chez MOTOROLA et Monsieur THIERRY PISTRE, Procurement Quality and Supply Chain chez AIRBUS d’avoir accepté d’être membre du jury de cette thèse. Enfin, avouons-le

personnages par madame pernelle, nous avons en plus de leur lien de parenté leur caractères : Mariane et Elmire sont des femmes douces, Cléante un raisonneur, Dorine une servante vive et sarcastique, Orgon et madame Pernelle admirateur de Tartuffe. La présentation de madame pernelle sur tartuffe est une éloge. Laurent le valet est aussi présenté dans cette scene par la tirade de Dorine « a lui, non plus qu’à son Laurent, […] un bon garant. ». ?la distribution de la parole : c’est madame Pernelle

point excessif ». Elle es très maternelle envers ses enfants, elle les aime de tout son cœur. Mme de Rênal est très timide face à des hommes « avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles quand elle était loin des regards des hommes » « Madame de Rênal était un de ces femmes de provinces que l’on peut très bien prendre pour des sottes pendant les quinze premier jours qu’on les voit » «elle n’avait aucune expérience de la vie » « douée d’une âme délicate et dédaigneuse » « instinct du bonheur

Pastiche : Madame Rosa Madame Rosa, il faut surtout pas la confondre avec ma mère. Ma mère, je sais même pas qui c'est et Madame Rosa se vexe quand je le lui demande. Je sais juste qu'elle fait la même chose que Madame Rosa, sauf qu'elle, elle a arrêté il y a bien longtemps, car la vie ne l'a pas épargnée et son physique l'a trahi. Monsieur Hamil, le vieux marchand de tapis du coin, disait toujours que les rides signifiaient la sagesse et alors Madame Rosa doit être très sage, car elle en a partout

lesquels Duroy étend ses connaissances et fait de nouvelles rencontres. Mme de Marelle l'accompagne dans ses premiers contacts avec le monde parisien. La troisième femme que Duroy rencontre dans ce roman est Virginie Walter, la femme de son patron. Madame Walter est une proie facile pour Bel-Ami qui entend bien s'offrir la femme du patron malgré sa réputation de femme droite qu'on ne "chasse" pas. En effet Mme. Walter est décrite comme une femme " trop grasse, belle encore, à l'âge dangereux où la

tel-00351179, version 1 - 8 Jan 2009 Remerciements tel-00351179, version 1 - 8 Jan 2009 Remerciements Remerciements Je remercie Madame Frédérique Jourjon et Monsieur Pascal Richomme pour m’avoir accueillie dans leurs laboratoires, pour avoir permis à ce travail d’avoir lieu et pour la confiance qu’ils m’ont accordée. J’adresse également mes remerciements à Madame Véronique Rahali pour avoir suivi ce projet de thèse et pour l’intérêt qu’elle a porté à mes travaux. Je la remercie aussi pour ses

Chapitre I Une partie de pêche en barque, au large du Havre, réunit Monsieur Roland, sa femme et leurs deux fils, Pierre et Jean, qui rivalisent face à la belle veuve d’un riche capitaine de vaisseau, Mme Rosémilly. Le père Roland est un homme borné, qui a laissé Paris et son commerce de joaillier pour se consacrer à sa passion de la pêche qui lui fait passer ses journées sur la mer. Sa femme, « une économe bourgeoise un peu sentimentale », est la mère idéale qui ne vit que pour l’affection qu’elle

condos : www.condoinformation.ca. Pour rejoinere professeure Ambert, ambert@yorku.ca. À propos de L’Institut L’institut vanier de la famille a été fondé en 1965 sous le patronage de Leurs excellences le Gouverneur général Georges P. vanier et madame Pauline vanier. L’institut est une organisation bénévole nationale qui se consacre à la promotion du bien-être des familles canadiennes par le biais de la recherche, de publications, de l’éducation du public et de la défense des intérêts des familles

femmes de France. La seule qui fut convaincue, ce fut Monneville, une des filles de la reine mère, et une des plus belles personnes de la cour, que Mr. le duc de Damville avait voulu épouser ; elle fut chassée et se retira dans un couvent. Source : Madame de Lafayette, Vie de la princesse d'Angleterre, éd. Hipp (M.Th.), Genève, 1967, p.39 à 42. Bibliographie générale : Bluche (F.), Louis XIV, Paris, 1986 ; Chaline (O.), Le règne de Louis XIV, Paris, 2005 ; Dessert (D.), 1661. Louis XIV prend le pouvoir

timbres!» Ici, l’utilisation de pronoms possessifs tels que « mon » « ma » « mes » ainsi que la répétition de « Rien! » met de l’emphase sur le fait qu’elle a tout perdu; ses rêves, sa maison, ses meubles et même ses ‘’amies’’. Le désespoir que vit madame Lauzon, à la toute fin, illustre bien la tragédie de cette pièce. À première vue, on pourrait dire que cette pièce relève tout autant de la comédie que de la tragédie. Cependant, si on analyse les subtilités de la pièce, par exemple le deuxième sens