Madame Se Meurt Madame Est Morte

dans la même ignorance. au lundi dans son établissement. Adriane fit à l’instant connaissance avec le boudschnik comme avec un homme qui pouvait lui être utile à l’occasion, et, quand les invités se mirent à table, il se plaça près de lui. M. et madame Schultz et leur fille, mademoiselle Lotken1, jeune personne de dixsept ans, aidèrent la cuisinière à servir le dîner, dans lequel, comme boisson, la bière jouait le principal rôle. Yourko mangeait pour quatre, et buvait à l’avenant. Adriane ne le

rentre.)    LÉONOR  Madame, chaque jour même désir vous presse ;  Et dans son entretien je vous vois chaque jour  Demander en quel point se trouve son amour.    L'INFANTE  Ce n'est pas sans sujet : je l'ai presque forcée  À recevoir les traits dont son âme est blessée.  Elle aime don Rodrigue, et le tient de ma main,  Et par moi don Rodrigue a vaincu son dédain ;  Ainsi de ces amants ayant formé les chaînes,  Je dois prendre intérêt à voir finir leurs peines.    LÉONOR  Madame, toutefois parmi leurs

de la part de l’auteur. Ce poème évoque les souvenirs et les sentiments qu’éprouve Alfred de Musset après que son amante l’ait oublié évoquant ce qu’ils ont vécu. Les thèmes de ce poème sont l’amour, le temps qui passe O ciel ! je vous revois, madame, De tous les amours de mon âme Vous le plus tendre et le premier. Vous souvient-il de notre histoire ? Moi, j’en ai gardé la mémoire : C’était, je crois, l’été dernier. Ah ! marquise, quand on y pense, Ce temps qu’en folie on dépense, Comme

|pages |Citations | |I |Au printemps 1650, Mme de Sainte Colombe meurt. Son mari reste inconsolable. Il compose à cette occasion Le Tombeau des regrets. |9 |« Au printemps 1650, Madame de Sainte Colombre | | |M.de Sainte Colombe a deux filles et vit dans une maison qui donne sur la Bièvre. Il enseigne la viole. Monsieur de Bures, enseigne |

Phèdre (Racine), Didot, 1854 Esther  ► Jean Racine Œuvres de Jean Racine, précédées des Mémoires sur sa vie, par Louis Racine Didot , 1854 (p. 241-261). Phèdre PHÈDRE, TRAGÉDIE. — 1677. PRÉFACE. Voici encore une t ragédie dont le sujet est pris d’Euripide. Quoique j’aie suivi une route un peu différente de celle de cet auteur pour la conduite de l’act ion, je n’ai pas laissé d’enrichir ma pièce de tout ce qui m’a paru le plus éclatant dans la sienne. Quand je ne lui devrais que la seule idée

ce que vous voulez? - Le beau jeune homme! ici l'on peut se retourner pour le voir, dit un masque en qui les habitués du bal reconnaissaient une femme comme il faut. - Vous ne vous le rappelez pas? lui répondit l'homme qui lui donnait le bras, madame du Châtelet vous l'a cependant présenté… - Quoi! c'est ce fils d'apothicaire de qui elle s'était amourachée, qui s'est fait journaliste, l'amant de mademoiselle Coralie? - Je le croyais tombé trop bas pour jamais pouvoir se remonter, et je ne

Chapitre 8 Fantine qui voulait se rendre a Montreuil sur Mer emprunta la diligence. A l'intérieur elle y trouva une femme : Mme Thénardier et ses deux petites filles : Eponine ( 3ans) et Azelma (18 moi). Les deux femmes discutèrent et Fantine demanda a madame Thénardier si elle pouvait garder se petite fille Cosette. Les 2 femmes descendirent de la diligence pour se rendre a l'auberge des Thénardier et ces derniers acceptèrent de garder Cosette mais ils mirent des conditions. Fantine partit donc soulager

Candide ou l’Optimisme – Résumés Chapitre premier Candide vit dans un château avec le baron de Thunder-ten-tronckh, Madame la baronne, leur fille Cunégonde et le précepteur. Candide est très innocent et aperçoit la vie dans le château. Il croit tout ce que le précepteur lui dit, aussi sa théorie qu’ils habitent dans le mieux monde. Un jour Candide et Cunégonde font d’amour, après Cunégonde avait observé le précepteur le faire avec la femme de chambre et voulait aussi l’essayer. Les parents se

entendre Ce murmure d'amour élevé sur ses pas. À l'austère devoir, pieusement fidèle, Elle dira, lisant ces vers tout remplis d'elle "Quelle est donc cette femme ?" et ne comprendra pas.     Mes heures perdues Felix Arvers (1883) Ma morte vivante Dans mon chagrin, rien n’est en mouvement J’attends, personne ne viendra Ni de jour, ni de nuit Ni jamais plus de ce qui fut moi-même Mes yeux se sont séparés de tes yeux Ils perdent leur confiance, ils perdent leur lumière Ma bouche

âme, Ce qu'est venu m'offrir l'hommage de sa flamme. ARMANDE 110 Mais à l'offre des vœux d'un amant dépité, Trouvez-vous, je vous prie, entière sûreté? Croyez-vous pour vos yeux sa passion bien forte, Et qu'en son cœur pour moi toute flamme soit morte? HENRIETTE Il me le dit, ma sœur, et pour moi je le croi. ARMANDE 115 Ne soyez pas, ma sœur, d'une si bonne foi, Et croyez, quand il dit qu'il me quitte et vous aime, Qu'il n'y songe pas bien, et se trompe lui-même. HENRIETTE Je ne sais; mais