Madame Socrate

Question : Pour ou contre la décision de Socrate ? Introduction : S.A : Socrate est condamné à l’empoisonnement. La veille de son exécution, son ami Criton lui propose de l’aider à s’évader. Malgré les tentatives de son ami, celui-ci rétracte son offre. S.P : Cet épilogue nous invite à répondre à la question qui suit : pour ou contre la décision de Socrate ? S.D : Ceux et celles qui la défendent maintiennent qu’elle a permis de préserver la crédibilité de Socrate alors que les opposants affirment que

Raphaël dans ce tableau marque son admiration pour l'antiquité par une réprésentation de plusieurs personnages importants de domaines variés. Il veut rendre hommage aux philosophes de l'Antiquité on reconnait Aristote, Héraclite, ¨Platon, Diogène, Socrate et Epicure mais aussi le mathématicien Pythagore, les astronomes Zoroastre, Xenofon et Ptolémée à l'art militaire avec Alexandre Le Grand ou encore avec des statuts Raphaêl mélange Antiquité et Renaissance, notamment par la présence d'Héraclite représentait

Rappel de logique : Transformation inessentielle non-événement : Socrate a une fourmi sur le Bras. Evénement : Socrate boit la Ciguë. Transformation du sujet. Ce qui fait la différence dans cet accident qui vient altérer le sujet c’est qu’il marque une rupture temporelle et substantielle. : il y a un Socrate avant la ciguë et il n’y a plus de Socrate après. Toutefois l’événement reste contingent : Ce n’est pas l’essence de Socrate de boire la ciguë. L’événement est donc l’accident contingent

Peut-on désobéir aux lois ? D'après Socrate, il doit tout aux lois, que ce soit sa vie, l'éducation et tout le reste, donc, il ne faudrait pas les détourner. Mais pourtant, toutes les lois ne sont pas justes c'est pour cela que l'on pourrait vouloir y désobéir pour ne pas avoir à souffrir de certaines des contraintes qu'elles engendrent. Par conséquent, la loi perdrait son caractère originel, surtout que se passerait-il si chacun jouait de son libre arbitre pour déjouer les lois instaurées

1/ Oui car celui qui se contraint ne peut être heureux Dans le Gorgias de Platon, Socrate se rend chez Calliclès pour entendre Gorgias.Calliclès et Gorgias sont des sophistes, ils se prétendent sages. La philosophie de Socrate s'est construite contre les sophistes parce qu'ils enseignaient la rhétorique et faisaient payer leur enseignement très cher.Dans un régime démocratique il devient indispensable d'apprendre à parler pour convaincre les autres; les sophistes sont nés avec la démocratie.

Le Phédon est une œuvre écrite par Platon qui raconte la mort de Socrate. On y apprend que Socrate a été condamné à boire son poison létal. Le dialogue se tient le dernier jour de Socrate. Il est la suite directe de l’Apologie de Socrate et du Criton. Quelques amis ont été autorisés à rendre visite à Socrate dans sa cellule avant qu'il n'avale le poison, suite à sa condamnation à mort. Une discussion s'engage alors sur la mort, et l'attitude qu'il convient d'adopter face à celle-ci, puis sur la

on parle il faut adopter le crible de Socrate(9) 4)conclusion: la vérité n'est pas toujours bonne à dire -ça dépend des circonstances: en cas de maladie pour sauver des vies pour épargner quelqu'un mieux vaux mentir MAIS quand les mensonges créent des tensions, l'honnêteté est la meilleure solution: divorce des parents problème personnel problème professionnel quand on parle il faut appliquer le crible de Socrate sources -http://philovive.fr/

continuellement son être manquant ne se prépare-t-il pas aux pires souffrances ? De plus, la quête du désir est infinie. En effet, Dans le Gorgias, Platon met en scène un dialogue entre Socrate et Calliclès. La question est de savoir s’il est possible de satisfaire tous ses désirs sans limite pour être heureux. Selon Socrate, chercher toujours un objet de satisfaction à son désir, c’est se préparer aux pires souffrances. En effet, une fois un désir satisfait, l’homme cherche immédiatement à en satisfaire

rouges attribuée au peintre Codrus, vers 430 av. J.-C.) 4 L’enseignement des sophistes 5 Les éphèbes au service de la cité Protagoras est un sophiste, maître chargé d’enseigner la rhétorique, c’est-à-dire l’art de la parole. Il expose à Socrate son programme d’enseignement : « Protagoras : Celui qui vient me trouver n’aura pas à craindre ce que lui aurait fait subir la fréquentation de quelqu’autre sophiste ; car les autres maltraitent les jeunes. Contre leur gré, ils les abreuvent de savoirs

reste d'ailleurs que des fragments, sont encore à mi-chemin de la poésie et de la métaphysique, ce qui permet à ces penseurs d'exprimer, sans crainte de représailles, leur vision grandiose de la Nature. En revanche, avec le procès et la mort de Socrate, en 399 av. J.-C., les rapports entre la philosophie, d'une part, et le pouvoir politique et religieux, d'autre part, se sont établis, dès le début, sous le signe d'une concurrence ouverte ou d'une rivalité en profondeur et, en tout cas, d'une tension