Mahmoud Abbas

Face-à-face sans tabou entre Emmanuel Navon, membre de la droite israélienne, et Ghassan Khatib, porte-parole de l'Autorité palestinienne. Le Point.fr : Comment expliquez-vous le jusqu'au-boutisme de Mahmoud Abbas à l'ONU ? Emmanuel Navon ( Israël ) : Abbas ne veut pas négocier. Il fait preuve d'un culot incroyable lorsqu'il se plaint de l'absence de dialogue, alors qu'il boycotte depuis deux ans et demi les pourparlers ( négociations ) avec Israël. C'est une histoire comparable à celle de l'enfant

putatif[2]. Cet Etat est revendiqué par le peuple des palestiniens. Dans le cadre du conflit, les frontières et la capitale de cet Etat font l’objet de nombreux débats. A ce jour, l’Etat de Palestine est reconnu par 94 pays membres de l’ONU sur 192. Mahmoud Abbas en est son 3ème président depuis le 1er janvier 2005. Il est également le Secrétaire général de l’organisation de libération de la Palestine. Salam Fayyad est ministre des finances depuis le 17 mars 2007, il est désigné Premier ministre le 15 juins

plus attractif. En dessous du titre « Le Fatah mobilise sur les terres du Hamas », un intertitre concis : « GAZA Le parti de Mahmoud Abbas a manifesté vendredi. ». Le titre nous répond aux questions : Quoi ? Mobilisation ; Qui ? Le Fatah ; Où ? Sur les terres du Hamas. L’intertitre quant à lui reprécise et complète les lacunes des 5W d’Hemingway : Qui ? Le parti de Mahmoud Abbas ; Où ? Gaza ; Quoi ? Manifestation ; Quand ? Vendredi. C’est la légende de la photographie qui répond à la question : Comment

contraint de nommer Mahmoud Abbas comme chef de gouvernement, à la suite de pressions américaines et israéliennes. Du côté israélien, la construction du mur se prolonge. Le gouvernement hébreu a approuvé la construction de 68 km autour de Jérusalem et de 430 km de barrières au sud d’Hébron. L’UE, l’Assemblée générale de l’ONU et la Cour internationale de Justice (CIJ) condamnent la construction du mur6. A la suite de la mort de Yasser Arafat le 11 novembre 2004, Mahmoud Abbas prend la tête

à ses parents dont elle supporte mal les questions et la présence, s’en va chez son amie Efrat, parle avec elle de son compagnon avec qui elle veut faire l’amour, demande à ce dernier de lui poser un piercing. Ils s’embrassent. Gazaman – Naïm (Mahmoud Shalaby) © TS Productions, 2011 Des jeunes comme tous les autres L’échange de courriels explique l’impatience autant que le besoin de secret de Tal. Dans son cybercafé, Gazaman est aussi inquiet qu’elle ; il craint d’être repéré et dénoncé aux

l’échecs des accords de Camp Davis(1978). Mars 2002 Opération « Rempart » : Construction d’un mur de séparation en la Cisjordanie et Israël pour lutter contre le terrorisme palestiniens. 11 novembre 2004 A la suite de la mort d’Arafat Mahmoud Abbas devient le premier ministre de L’autorité palestinienne. 2006-2007 Ariel Sharon tombe dans le coma il est remplacé par Ehud Olmert. Les opérations « punition adéquate » et « pluie d’été » au Liban sur la bande de Gaza ont été orchestrées

contraint de nommer Mahmoud Abbas comme chef de gouvernement, à la suite de pressions américaines et israéliennes. Du côté israélien, la construction du mur se prolonge. Le gouvernement hébreu a approuvé la construction de 68 km autour de Jérusalem et de 430 km de barrières au sud d’Hébron. L’UE, l’Assemblée générale de l’ONU et la Cour internationale de Justice (CIJ) condamnent la construction du mur6. A la suite de la mort de Yasser Arafat le 11 novembre 2004, Mahmoud Abbas prend la tête de

américain, Colin Powell a tenté de jouer un rôle de médiateur entre les deux. □ Conférence d’Annapolis (2007) : Bush invite les représentants du monde pour tenter de mettre fin au problème israélo-palestinien en présence de Ehud Olmert et Mahmoud Abbas. Cependant, cette conférence est vue comme un moyen pour le président américain d’augmenter sa cote de popularité au plus bas notamment à cause des deux guerres qu’il mène (Irak et Afghanistan). L’image des Etats-Unis en tant que médiateur en est

semble impuissante même si elle a initié des négociations indirectes entre israéliens et palestiniens. Ce processus risque d’être vain puisque Israel a assumé ces provocations et ne fait aucune concession. L’Autorité palestinienne dirigée par Mahmoud Abbas dénonce ces décisions. VI. 2 B. La victoire du Hamas à Gaza et les opérations militaires israéliennes (2009, 2012). A Gaza, le mouvement islamiste radical du Hamas, proche du Hezbollah libanais soutenu par l’Iran, a gagné les élections

l'Assemblée générale des Nations unies de "revenir l'année prochaine avec un accord qui amènera un nouvel Etat membre aux Nations unies, un Etat palestinien indépendant et souverain, qui vive en paix avec Israël". Ce moment est venu. Le président Mahmoud Abbas a entamé une tournée afin d'obtenir la reconnaissance de l'Etat de Palestine. En Israël même, des personnalités, pour la plupart issues du Mossad, du Shin Bet, de l'armée et du monde des affaires, ont rendu publique une "Initiative de paix israélienne"