Mahmoud Abbas

signale évidemment la Palestine et l’Israël, situés au cœur de cette bataille. Les représentants principaux de l’Israël, soit le Premier ministre Benyamin Nétanyahou et l’Israeli Occupation Forces (IOF), ainsi que ceux de la Palestine, le président Mahmoud Abbas et l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) détiennent de nombreuses raisons territoriales, économiques et politiques pour que le camp opposé soit ennemi. Israël, ne reculant devant aucune menaces verbales afin d’élargir ses terres colonisées

proposition de paix plus connue sous le nom d’initiative de Genève : Arafat l’accueillera favorablement tandis qu’il sera rejeté par Ariel Sharon. 3. Le sommet de Charm el-Cheikh de 2005 Suite à la mort de Yasser Arafat en novembre 2004, Mahmoud Abbas est nommé chef de l’OLP puis élu président de l’Autorité Palestinienne lors des élections présidentielles de 2005. Peu de temps après son élection, le nouveau président conclut des accords avec Ariel Sharon lors du sommet de Charm el-Cheikh en

de guerre israélienne : l'Iron Dome. Ils se disent à être prêts à "toute action nécessaire". Le 29 novembre 2012 marquera un pas en avant pour les deux peuples car la Palestine devient "état observateur à l'ONU". Le président palestinien, Mahmoud Abbas a dit qu'il s'agissait : je cite "de la dernière chance de sauver la solution à deux États". Jérusalem deviendra t'elle une terre seraine, ou les hostilités continueront-elles jusqu'à la destruction totale de la ville?

l'ONU. Elle n'aboutit pas, faute de soutien des pays membres du Conseil de sécurité et d’un droit de veto des Etats-Unis. Et en octobre, les Palestiniens obtiennent le statut de membre à part entière de l'Unesco.  Et enfin, le 29 novembre 2012, Mahmoud Abbas fait voter par l'Assemblée générale une résolution faisant de la Palestine un Etat observateur à l'ONU.  Accords d’Oslo, 1993

application les termes d’une feuille de route pour la paix au Proche-Orient. Cette dernière comportait un calendrier et des dates limites à respecter. La création d’un État palestinien indépendant, démocratique, viable était affirmée. En 2006, Mahmoud Abbas, successeur de Yasser Arafat, œuvre pour la création d’un État palestinien et annonce un référendum. Conclusion[Réponse à la problématique] Le conflit entre Israël et la Palestine a donc connu trois grandes phases. Au départ, un certain nombre

a la reconnaissance du rôle central de l'islam. L'Autorité palestinienne alors sous le contrôle de l'OLP a fait de l'islam et de la loi religieuse islamique la source principale de la législation de l'Etat appelé à être créé. Par ailleurs, Mahmoud Abbas, élu président de l'Autorité palestinienne en 2005, et le Fatah auquel il appartient, présente le Hamas comme dangereux et diffuse l'idée que le Hamas aurait pour ambition la (ré)islamisation des masses et laissent les Etats-Unis, l'Union européenne

l'existence d'Israël quelques années plus tard.  Le Hamas est la cible principale d'Israël aujourd'hui car il est beaucoup plus revendicatif et déterminé que l'autre mouvement palestinien, le Fatah que dirige le chef de l'Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas, seule organisation avec qui Israël accepte de débattre officiellement

d’un parti religieux à un parti politique. Cette domestication lui a conféré une importance politique majeure. Désormais, le modèle turc servira sans doute d’exemple dans la région. Par rapport à l’initiative d’adhésion de la Palestine à l’ONU, Mahmoud Abbas a-t-il toutes les cartes en main ?  Oui, et non. c’est un geste qui a le mérite de ramener la question palestinienne sur le devant de la scène et rappeler à l’Occident ses obligations à l’égard des Palestiniens. La suite est une question de rapport

coexistence d'un État palestinien et d'un État Israelien incluant les problemes liés à leurs proximité territoriales (sécurité et tracé des frontieres) ainsi que la question du controle de Jerusalem et de ses lieux saints. Le président Palestinien Mahmoud Abbas a demandé à l'ONU la reconnaissance de l'Etat Palestinien en lui octroyant le statut d'Etat observateur à l'ONU. L'obtention de ce statut serait en faveur du respect des droits civils et politiques de l'Etat palestinien sujet aux attaques de l’état

totale, sous les bombes israéliennes, ils n’ont plus d’espoir. La mort de Yasser Arafat en 2004 va enlever aux palestiniens leur chef charismatique et sera néfaste à toute initiative de paix, les palestiniens n’ont plus de leader. Le Hamas de Mahmoud Abbas, parti radical va en profiter et il est vainqueur aux élections législatives de 2006. Le peuple reproche au Fatah sont manque d’action fortes. Cette élection entraine une crainte de l’aggravation d’une situation déjà déplorable. Opération