Mahmoud Abbas

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en vue du rétablissement d’un dialogue politique entre Israéliens et Palestiniens. La mort de Yasser Arafat en 2005, son remplacement par Mahmoud Abbas fait un instant espérer le retour du dialogue, d’autant que l’administration Bush qui a mis fin à tout dialogue politique avec Arafat, s’empresse d’annoncer qu’elle considère Abbas comme un interlocuteur valable. Mais la situation ne s’améliore guère sur le terrain et le gouvernement israélien se dirige vers une politique de séparation

création d'un État palestinien en 2005.   37 Le soutien obstiné de Bush à Ariel Sharon et son refus de converser avec une direction palestinienne dirigée par Yasser Arafat a néanmoins amené les palestiniens à se tourner vers un chef modéré, Mahmoud Abbas, à la mort du rais à l'automne 2004. En janvier 2005, les négociations ont alors repris dans un nouveau contexte entre palestiniens et israéliens, appuyés par les américains. 6- La seconde Intifada Intifada palestinienne déclenchée le 29 septembre

Jérusalem ». 14 août : approbation par le gouvernement israélien du tracé du Mur, resté secret. Il sera composé en grande partie de barrières électroniques. 2005 Après la mort de Yasser Arafat, relance du processus de paix par Ariel Sharon et Mahmoud Abbas (Abou Mazen), nouveau président de l'Autorité palestinienne. Ce dernier, élu sur un programme visant à la fin de la violence, établit une trêve avec Israël qui semble respectée par des mouvements terroristes palestiniens, sauf par le Hamas et le

préalables s’ils veulent un résultat durable, et a appelé les deux parties à avoir le courage et la détermination d’aller à la poursuite de la paix. Dans son allocution du 21 mars, à Ramallah, en compagnie du président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, M. Obama a déclaré que le peuple palestinien méritait d’avoir son propre État qui leur offrirait dignité, sécurité, possibilités et « un avenir plein d’espoir » pour ses enfants. Source : http://iipdigital.usembassy.gov/st/french/article/2013/03/20130321144599

septembre, les tours jumelles tombent et cela marque la scission des Etats-Unis avec les arabes, pointés du doigt, … En 2006, le Hamas l’emporte aux élections législatives. En 2009 cependant, un cessez-le-feu voit le jour sur le territoire de Gaza. Mahmoud Abbas, président de l’Autorité Palestinienne depuis Janvier 2005 et secrétaire général de l’Organisation de Libération de la Palestine, a déposé le 23 septembre 2011 la candidature d’adhésion de l’Etat Palestinien à l’ONU. Suite à cette demande, 6 pays

représailles et de la revanche s’est poursuivi et le processus de paix s’est enlisé. E) Conférence d’Annapolis A lieu ensuite le 27 Novembre 2007 aux États-Unis dans le Maryland, la conférence d'Annapolis. Elle regroupe le Président Palestinien Mahmoud Abbas et le premier ministre Ehoud Olmert assisté par George W. Bush. Cette conférence est une suite de l'application de la Feuille de Route, l'objectif est d'aboutir à la création de l'Etat Palestinien avant fin 2008. Les Israéliens et les Palestiniens

explique les attentats revendiqués par Al-Quaïda à Madrid le 11 mars 2004 (200 morts). 2. La division des Palestiniens Le 11 Novembre 2004, Yasser Arafat meurt. En janvier 2005, il est remplacé à la tête de l'autorité palestinienne par Mahmoud Abbas qui appartient lui aussi au Fatah. Les rencontres avec le premier ministre israélien Ariel Sharon n'aboutissent à aucune mesure concréte si ce n'est au mois d'août le désengagement israélien de Gaza. Le manque d'avancée pousse les palestiniens

Hamas, tentent à nouveau mercredi au Caire d'aplanir leurs différends, alors qu'Israël s'est doté d'un nouveau gouvernement de droite.Le Fatah du président Mahmoud Abbas et le Hamas sont en conflit depuis que ce dernier a violemment pris le contrôle de la bande de Gaza en juin 2007, mettant en déroute les services de sécurité fidèles à M. Abbas. Ce coup de force est survenu après 18 mois de coexistence houleuse au sein de l'Autorité palestinienne entre le Fatah et le Hamas, parti majoritaire au Parlement

is no doubt that the current situation is resulting in thousands of lost lives and the loss of millions of dollars through lost productivity. The newly elected Palestinian leader Mahmoud Abbas and Israeli Prime Minister Ariel Sharon recently held yet another round of peace talks known as the Sharm al-Sheikh Summit. Abbas has argued that diplomacy and talks are a better solution than violence as a means to end the Israeli occupation of the West Bank and Gaza Strip. The latest round of peace talks has