Mai 68 Politisation

« une contestation collective conduite par des individus solidaires et ayant des objectifs communs ». Mouvements sociaux = agrégation d’individus et de groupes partageant une conception L’objet du travail est donc cette question de l’agrégation. Mai 68 : les ouvriers et les étudiants ne partageaient pas du tout la même revendication. Ouvriers : mouvement opposant patronat et ouvriers. Etudiants : thématique post-matérialiste. Quand des acteurs s’engagent dans un mouvement social, ils ne savent

géographique caractérisé par l'existence de « foyers de tensions ». Ainsi la RDC, le troisième pays le plus vaste d'Afrique derrière le Soudan et l'Algérie, le plus peuplé d'Afrique Centrale et de la francophonie avec une population estimée à soixante huit (68) millions d'habitants, se distingue particulièrement par l'abondance de ses ressources naturelles qui font l'objet d'une convoitise particulière. Ainsi, le Congo Belge demeure le point de mire des investisseurs étrangers derrière lesquels se cachent

politique ? -autre acteur central: les sondages . L'opinion donnée par les sondages ne sont pas le tout de l'opinion publique .Ils sont une expression parmi tant d'autre de l'opinion publique. Ex: jamais un sondage n'a annoncé une crise, a la veille de mai 68 , les sondages disaient que tout allait bien. Cela donne un visage de l'opinion, une partie du problème. CHAPITRE 1: L'opinion publique Elle est présente dans tous les débats de société (plateau télé, internet, discussions familiales...) . Tous

l 2002/ MODAL/FAMDT/ Ce document a été r éal i sé p ar V al ér ie Ro u vi ère dan s l e cadre de s a maîtri se d’Hi st o ire cult urel le co ntemp o r ai ne. Document de travail FAMDT/MODAL 6 I - L’AVENTURE FOLK 1. GENESE DU FOLK Si en Mai 68, la jeunesse a échoué dans sa tentative de transformation radicale de la société, elle n’en a pas pour autant renoncé à ses idéaux. Les années 70 sont des années de quête, d’expérimentation, où l’on s’efforce d’inventer un nouvel art de vivre. Différentes

polices qui pourra devenir par la suite un affrontement récurrent. Ces évènement s’accentue à partir de 1981, avec les évènements de cité Eminguette avec 3ème éléments banlieue de Lyon sa médiatisation, ces émeutes deviennent médiatisés, entraine une politisation de ce problème sociale. Il apparait, envahi dans la société, apparition pb concernant les méthodes policières. Les année 90 succession d’affrontement, périodique plus ou moins intense. Le scénario tragique Est a peu près le même, le début de

   Créée à paris en 1889. Elle veut rassembler les différents partis et les différentes organisations syndicales. Organisation avec des bureaux et mettra sur pied les calendriers du mouvement ouvrier avec une fête pour les travailleurs, le 1er mai, pour dénoncer la censure de la manifestation ouvrière de Chicago. Prise de point de vue sur le pacifisme et la lutte pour les droits des travailleurs : o Réduction du temps de travail o Suffrage universel masculin Cette deuxième internationale était

épisodes tendus. L’URSS s’entoure d’abord d’un glacis protecteur. Le plan Marshall en 1947 et son refus de la part de l’Europe orientale est un autre élément. Le coup de Prague et la prise de pouvoir des communistes en 1948, le blocus de Berlin en mai 1948 et enfin la guerre de Corée, viennent entériner cette situation d’opposition aux débuts de la guerre froide. Le conflit Est-Ouest ne s’arrête pas à la mort de Staline, étant donné qu’il s’agit d’un conflit essentiellement idéologique ; il était

épisodes tendus. L’URSS s’entoure d’abord d’un glacis protecteur. Le plan Marshall en 1947 et son refus de la part de l’Europe orientale est un autre élément. Le coup de Prague et la prise de pouvoir des communistes en 1948, le blocus de Berlin en mai 1948 et enfin la guerre de Corée, viennent entériner cette situation d’opposition aux débuts de la guerre froide. Le conflit Est-Ouest ne s’arrête pas à la mort de Staline, étant donné qu’il s’agit d’un conflit essentiellement idéologique ; il était

étapespréliminaires l . L i r ea t t e n t i v e m e l encta so u l e sc a s . . . . . . . . . . . . . . . . . .....59 ........................59 . . . . . . . . . . . . . . . . . .5. 9. . . . ............ 60 ...........................61 c) Les élémentsthéoriques 68 Section2. Exemplesde caspratiquesen Introductionen droit et en Droit constitutionnel.......... Manuelstrictementréservéaux étudiantsdu Centre de Formation Juridique. Toutereproduction,mêmepartielle,estinterdite. 3 Code barre d’identification LA

Falaize, Mémoires et histoire à l’école de la République, coll. « débats d’école », Armand Colin, 2007. 7 L. Corbel, B. Falaize, « L’enseignement de l’histoire et des mémoires douloureuses du XXème siècle, Revue française de pédagogie, INRP, avril-mai-juin 2004 ; B. Falaize, « Esquisse d’une histoire de l’enseignement des génocides à l’école », in : L. De Cock et E. Picard, La fabrique scolaire de l’histoire, Agone, Marseille, 2009 8 B. Falaize, P. Mériaux, Le génocide arménien à l’école, Rapport