Main de justice

Dans la tenue de Napoléon quelques objets rappellent les empereurs romains, (exemple: La couronne de laurier, symbole de pouvoir impérial et l'épée de Charlemagne.), Napoléon se représente comme un roi avec tous les insignes autour de lui, La main de justice, le spectre, le globe... C’est la haute administration qui porte les regalias. Le pape n'était là que pour sacrer les regalias et la cérémonie. Ce n'est pas lui qui a couronné Bonaparte et Joséphine, Napoléon s'est sacré lui-même et sa femme

romain. L’épée est présente trois fois sur le tableau, elle est le symbole du pouvoir militaire. La couronne avec laquelle il va couronner Joséphine montre sa volonté de se placer comme le successeur de Charlemagne. La présence de la main de justice symbolise la justice royale. Le sceptre qui renvoie une nouvelle fois au sacre de l’empereur de Charlemagne, c’est le symbole du pouvoir et de l’aigle impérial. Interprétation : Qu’est-ce que je peux en dire ? Ce tableau est une œuvre de commande

David. « Louis XIV en costume de sacre » - 1701 – Rigaud Le roi est âgé de 63 ans. Tableau grandeur nature, il y a un certain réalisme du portrait. Il est entouré des insignes de la royauté : le collier de l’ordre su saint Esprit, le spectre, la main de justice et la couronne + le manteau avec les fleurs de lys. Représente les 2 corps du roi : le mortel et l’immortel. Symbolise le pouvoir absolu. « Napoléon 1er sur le trône impérial » -1806 –Ingres Reprend l’idée du portrait de Louis XIV. Mais il

empereur des Français, 1805, château de Versailles, huile sur toile, 2,25 x. 1,47 m. Commandé à Gérard en 1805 pour l'hôtel du ministre des Relations extérieures, ce tableau représentant Napoléon en "grand habillement" du Sacre (couronne, sceptre, main de justice, globe crucifère, collier de la Légion d'honneur…) a fait l'objet d'un nombre important de répliques destinées à prendre place dans l'appartement d'honneur de chaque résidence politique à l'étranger, diplomatique ou consulaire Tableau 2 : Jean

couronné par lui-même, élève la couronne qu'il s'apprête à poser sur la tête de son épouse, Joséphine. La plupart des regards convergent vers la couronne, tout comme le rayon de lumière qui vient du haut, à gauche de la scène. La pape Pie VII tend la main en signe de bénédiction mais sa présence est une contrainte, il n’a qu’un rôle de second plan alors qu’il aurait voulu lui-même procéder à la bénédiction. D’ailleurs Napoléon lui tourne le dos ! Le tableau ne reflète pas un sentiment religieux mais

souvent surnommé le peintre des rois. Ici le roi Louis XIV représentant sa force et ces différents pouvoirs. Devant un trône en étoffe bleue fleurdelysée (symbole de la loyauté) et sous un dais rouge, le roi avec ses regalia (couronne fermée, main de justice et sceptre de son grand-père Henri IV) et en habits de cour (chemise à jabot et manchettes en dentelles, hauts-de-chausses en soie, souliers à talons rouges ornés de boucles de diamants, bas de soie maintenus par des jarretières) porte le manteau

herminé orner de fleur de lys qui représente la royauté. Il porte sur sa tête une couronne de lauriers qui fait pensée à L’empereur Jules César. La France est représentés par la fleur de lys, les spectres que tiennent les grands personnages, la main de justice et le globe surmonté d’une croix. L’artiste Jaques Louis David mais en valeur Napoléon en le mettent en plein milieu du tableau avec des vêtement très colorés et en le mettant en plein dans la lumières. Ce qui est anormal dans ce tableau c’est

droite de Napoléon) se tiennent derrière pour assister au sacre. 2. Le pouvoir religieux est symbolisé par la croix tenue par l’évêque en centre même du tableau. Ensuite, la puissance du pouvoir impérial est mis en valeur par : le sceptre, la main de justice et l'orbe de pouvoir, tenu par les trois grands dignitaires de l'Empire au premier plan à gauche. 3. Dans les couleurs, il y a le pourpre des manteaux, le vert des draperies et du sol, le blanc des robes et tuniques, le noir des chapeaux et la

ecclésiastiques, nommés par Napoléon. L’empereur lui tourne le dos. Le pape est contraint d’assister à la cérémonie à cause de la signature du concordat mais il n’a qu’un rôle de second plan. D’autres objets rappellent la royauté : le spectre et la main de justice, l’épée de charlemagnes, utilisée par les rois de France. On peut apercevoir David qui c’est peint lui-même en train de peindre. La vérité historique n’est pas vraiment respectée car on peut voir la mère de napoléon au centre du tableau alors

majesté est-il toujours accompagné des attributs de la royauté et du pouvoir absolu : manteau de velours bleu profond semé de lys d’or et doublé d’hermine, sceptre d’or dans la main droite, épée incrustée de pierreries au côté gauche et grand collier de l’Ordre du Saint-Esprit sur la poitrine. À ses côtés, la main de Justice et la couronne reposent sur un coussin bleu fleurdelisé. Le rideau drapé du fond est alors de pourpre, symbole du pouvoir royal. L’effet de richesse et de foisonnement est renforcé