Maïs doux

l’inspiration dégagent un charme magique. * Prdt final qql chse de secret, intime et équilibré, rempli de grâce et de sensualité Image métaphorique L’auteur entrain de créer en plein art « ces doux plaisirs […] [que] les muses me donnaient,[…] en liberté […] je les menais danser aux rayons de la lune »   * « Doux plaisirs » l’art, les chefs d’œuvres * «  Les muses » l’inspiration, l’amour de la poésie * « liberté » Pouvoir infini * «  Rayons de la lune » à la lumière ou sommet

parler d’un air si doux.- et qui venait de pleurer.- l’esprit un peu romanesque de Mme de Rênal eut d’abord l’idée que ce pouvait être une jeune fille déguisée, qui venait demander quelque grâce à M. le maire.|- quand elle aperçut près de la porte d’entrée la figure d’un jeune paysan presque encore enfant, extrêmement pâle. Il était en chemise bien blanche, et avait sous le bras une veste fort propre de ratine violette. Le teint de ce petit paysan était si blanc, ses yeux si doux, que. Elle eut pitié

et l’aspect terrifiant du Torrent. Harmonie initiative. Le texte va imiter le fracas du Torrent. Insistance sur le bruit avec la reprise d’un synonyme « bruit » et « fracas ». Allitération en « r ». 4 vers pour la Rivière. « Image d’un sommeil doux » métaphore. Champ lexical douceur, sécurité. La rime en –ile assonance en i calme. Le fabuliste travaille son texte pour nous donner une première image des cours d’eau. Les 2 hémistiches créent une opposition entre le Torrent et la Rivière (v17)

position  cadeau le moins important, « humble présent » Une démarche d’imploration Position du poète : « à vos pieds » Impératif : « ne le déchirez pas » « souffrez » « laissez »  supplie, implore Subjonctif : « qu’à vos yeux […] l’humble présent soit doux » « que ma fatigue […] // Rêve » « et que je dorme un peu »  exprime un souhait = incertitude du pardon La femme aimée a toute puissance sur lui Rôle de la nature et de la femme dans la réconciliation attendue Nature réconfortante... Poète va dans

nuit tombait; l'oiseau dormait dans l'ombre épaisse. Le printemps embaumait, moins que votre jeunesse; Les astres rayonnaient, moins que votre regard. Moi, je parlais tout bas. C'est l'heure solennelle Où l'âme aime à chanter son hymne le plus doux. Voyant la nuit si pure, et vous voyant si belle, J'ai dit aux astres d'or: Versez le ciel sur elle! Et j'ai dit à vos yeux: Versez l'amour sur nous!                Victor Hugo (1802-1885), Les Contemplations ( Edward Robert Hugues (1851-1914)

la vague impitoyable ? Tout ce que nous voyons ou paraissons, n’est-il qu’un rêve dans un rêve ? Un rêve dans un rêve, Edgar Allan Poe J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans.Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans,De vers, de billets doux, de procès, de romances,Avec de lourds cheveux roulés dans des quittances,Cache moins de secrets que mon triste cerveau.C’est une pyramide, un immense caveau,Qui contient plus de morts que la fosse commune.— Je suis un cimetière abhorré de la lune

dans la préparation. Mettre la préparation dans les empreintes à mini-muffins. Enfournez 10 minutes.Laissez reposer 5 minutes et démouler Glaçage au chocolat  -50 grs de beurre -100 grs de chocolat noir 1) Faire fondre le beurre à feu très doux puis retirer le de feu. A l’aide d’une cuillère à soupe, éliminez toute la mousse qui surnage. Récupérer ensuite le beurre fondu, sans prendre le petit lait qui se trouve au fond (plus épais). 2) Faire fondre le chocolat dans un bain-marie juste tiède

Muse ! et j’étais ton féal ;Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou.— Petit Poucet rêveur, j’égrenais dans ma courseDes rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse ;— Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou. Et je les écoutais, assis au bord des routes,Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttesDe rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,Comme des lyres, je tirais les élastiquesDe mes

chamboulé. Tes mimiques et ton rire un peu idiot qui rigole à tout ce qu'on lui raconte, ton esprit d'enfant encore présent. Ton sourire niais toujours sur tes lèvres, ta voix au son si mélodieux. Tu étais tel une berceuse pour mon propre bien être. Doux, apaisant, calmant. À tes côtés j'étais un peu bête, un peu perdue, un peu gamine. Un sourire au lèvre un peu naïvement. Tu provoquait ce que personne n'a jamais su faire. J'aurai tellement aimé changé ta vie comme tu as changé la mienne. J'aurai juste

compagne. Hélas ! Dans ces forêts qui peut se plaire encor ? Flore même à présent déserte la campagne Et loin de nos bergers l'amour a pris l'essor. Doris vers ce coteau précipitait sa fuite, Lorsque de ses attraits je me suis séparé : Doux zéphyr ! si tu sors du séjour qu'elle habite, Viens ! que je sente au moins l'air qu'elle a respiré. Quel arbre, en ce moment, lui prête son ombrage ? Quel gazon s'embellit sous ses pieds caressants ? Quelle onde fortunée a reçu son image