Maître-chien

Montesquieu, La Fontaine, Voltaire et Denis Diderot exposent dans leurs textes respectifs, L'esprit des Lois (1748) Livre XI, chapitre 3, Fables « Le Loup et le chien » (1668), article « liberté de penser » (1764) du dictionnaire philosophique et La Religieuse (1796), des situations dans lesquelles l’individu ou le groupe exprime ou défend sa liberté. Cependant la notion de liberté n’est pas considérée sous le même angle dans les quatres textes. Après avoir examiné ce que les auteurs comprennent

« Le Loup et Le Chien » est parmi les fables les plus connues de Jean de La Fontaine . Cette fable présente deux modes de vies opposés , celui du loup qui est libre et celui du chien le serviteur de son maître . Tout d'abord Jean de La Fontaine utilise des animaux pour corriger les défauts humains . Dans cette fable il y a une présence de dialogue , de tirets et de guillemets et bien évidement des verbes de paroles en incise au v.13-21,v.22-29 puis aux v.33 à 40 « dit le chien » , ce qui veut

est bonne créature. Il allait par pays accompagné du Chien, Gravement, sans songer à rien, Tous deux suivis d'un commun maître. Ce maître s'endormit : l'Ane se mit à paître : Il était alors dans un pré, Dont l'herbe était fort à son gré. Point de chardons pourtant ; il s'en passa pour l'heure : Il ne faut pas toujours être si délicat ; Et faute de servir ce plat Rarement un festin demeure. Notre Baudet s'en sut enfin Passer pour cette fois. Le Chien mourant de faim Lui dit : Cher compagnon, baisse-toi

L'ÂNE ET LE CHIEN Il se faut entraider, c'est la loi de nature : L'Âne un jour pourtant s'en moqua : Et ne sais comme il y manqua ; Car il est bonne créature. Il allait par pays accompagné du Chien, Gravement, sans songer à rien, Tous deux suivis d'un commun maître. Ce maître s'endormit : l'Âne se mit à paître : Il était alors dans un pré, Dont l'herbe était fort à son gré. Point de chardons

L'âne et le chien Il se faut entre aider, c'est la loi de nature : L'Ane un jour pourtant s'en moqua : Et ne sais comme il y manqua ; Car il est bonne créature. Il allait par pays accompagné du Chien, Gravement, sans songer à rien, Tous deux suivis d'un commun maître. Ce maître s'endormit : l'Ane se mit à paître : Il était alors dans un pré, Dont l'herbe était fort à son gré. Point de chardons pourtant ; il s'en passa pour l'heure : Il ne faut pas toujours être si délicat ; Et faute de servir

« Le Loup et le Chien », - Le chien est attaché et dépendant du maître pour sa nourriture et son affection. Il appartient au monde des domestiques, de la servitude. Il incarne les cours serviles qui obéissent aveuglement au Roi pour obtenir des faveurs. - Le chien est vaniteux, a des préjugés donnant deux conseils au loup « quittez le bois » ; « suivez-moi », suivis de leurs conséquences. Le travail du chien est minimisé par l’énumération de 3 verbes à l’infinitif : donner la chasse, flatter

renseignements du chien. Nom : Far West Age : 4 ans Sexe : M Race : Berger Australien Validité des vaccinations : OK Origines du chien: élevage, les trésors du Mont Ventoux Adoption : à 5 mois à l’élevage. Aspect général du chien : excellent Origine de l’entretien comportemental : Far West a déjà mordu des enfants (à l’origine des enfants l’ont embêté et contraint à leur obéir), puis un voisin, et mord de temps en temps ET (iti), la chienne Berger Australien qui vit avec lui. Cette chienne a été acquise

une morale, ici il s’agit comme souvent dans les fables d’un récit fictif où la Fontaine utilise des animaux pour corriger les défauts humains. Chaque récit inspire une morale. Le loup et le chien présente 2 modes de vie opposés, celui du loup qui est libre et celui du chien qui est au service de son maître, reprenant ainsi 1 thématique identique à celle des anciens (l’opposition entre l’esclavage et la liberté) I- L’art du récit La fable est dynamique (que des actions) et théâtrale car elle

vision des Corses, en l’enrichissant par des effets stylistiques. Relevez la phrase (p. 181, 3e paragraphe) qui résume sa perception du tempérament corse et correspond à la description qu’il en a faite dans « Le bonheur ». (p. 174) Depuis que son maitre n’était plus la, elle hurlait souvent ainsi, comme si elle l’eût appelé, comme si son âme de bête, inconsolable, eût aussi gardé le souvenir que rien nefface. (p.181) c) Interprétation Pourquoi l’auteur fait-il référence à la Corse, au lieu de dire

ses sujets .Ainsi a travers le personnage du chien il condamne l’attitude des nobles qui acceptait tout pour rester au service d leur maitre, en opposition nous retrouverons le loup qui symbolise la liberté dans toute sa puissance, les deux personnage sont a la fois proche et tellement opposés Le loup est sauvage au chien ce qui nous fait penser donc a l’opposition de la liberté a la servitude. Analysons donc les deux protagonistes ;  Le chien : physiquement, il est présenté comme fort