Maîtresse

Les Femmes dans les Mémoires de Saint Simon. Anne d’Autriche, la mère adulée, Marie Mancini, le premier amour, Marie-Thérèse, la reine effacée, Louise de la Vallière, la maîtresse dévouée, Athénaïs de Montespan, la favorite resplendissante, la duchesse de Fontanges, la maîtresse oubliée, Mme de Maintenon, la maîtresse épousée, la princesse Palatine, la belle-sœur amoureuse, Adélaïde, la petite-fille qui égaya sa vieillesse, … Louis XIV a aimé chacune d’elles, et elles l’aimèrent en retour, sans

une complaisance tenace les liens secrets de la mère et de la maitresse d’où la seconde reçoit sa lumière et sa signification de la première. Il accentue ses « attraits » envers elle jusqu'à en faire une véritable icône. Une femme unique et éminente, qui domine tout le capital sentimental du poète. Elle incarne l’Amour dans l’absolue, identifié à travers le chiasme des deux premiers vers («  Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses, Ô toi, tous mes plaisirs ! Ô toi, tous mes devoirs! »), qui

mais le Comte est bien décider à faire épouser ce projet, en faisant de Suzanne sa maîtresse : outre le fait de tromper sa femme, le Comte remet également en cause ses engagements passés en voulant rétablir pour sa servante un droit de cuissage qu'il avait aboli à l'occasion de son mariage. Au début de l'acte II, où se situe le passage que nous allons étudier, nous retrouvons ainsi Suzanne exposant à sa maîtresse la situation qui s'est mise en place à l'acte I. C'est l'occasion pour le spectateur

1. Opposition des lieux 1.1 Lieux associés au bonheur : plage et boudoir 1.2 Lieu associé à la souffrance : chambre de la maîtresse 2. Opposition des types sociaux 2.1 La jeune fille de bonne famille 2.1.1 Pudeur et pureté de Berthe Lannis 2.1.2 Union légitime 2.2 La « vieille maîtresse » 2.2.1 Nom imprécis (pas de prénom) 2.2.1 Femme entretenue 2.2.3 Union illégitime 3. Opposition des

Madame de Valentinois c’est-à dire de Diane de Poitier la maîtresse du roi Henri II à sa fille qui se demande d’où vient l’attachement du roi pour une personne plus âgé que celui-ci. On peut considérer cette histoire comme une biographie de madame de Valentinois car on découvre le parcours de vie de celle-ci. En effet Madame de Chartres raconte l’ascension de celle-ci au rang de maîtresse du roi. Madame de Valentinois était la maîtresse du feu roi, puis elle fut délaissée au profit d’une nouvelle

s’inversent. À présent donc, on a Cléanthis qui joue le rôle de maîtresse et Euphrosine le rôle de servante soumise, d’où son absence de répliques le long de l’extrait. Cette permutation de rôles a été proposée par Trivelin, qui à présent juge l’imitation de Cléanthis, pour qu’Euphrosine prenne conscience de son comportement envers sa servante et pour qu’elle change de mentalité. Ceci dit, Cléanthis fait une imitation burlesque de sa maîtresse pour la faire réagir : elle la montre comme quelqu’un de superficiel

s'écrie : - Mon fils, tu manges comme un goret ! Sais-tu au moins ce qu'est un goret? - Ouais p'pa ! c'est le fils d'un cochon... Toto dit à la maîtresse: - Maîtresse, saviez-vous que les boules de Noël ont du poil? La maîtresse : - Ben non, voyons! Y a pas de poil après les boules de Noël! Toto : - Hé! Noël! Montre tes boules à la maîtresse... C'est Toto qui va à l'école, mais ce jour là, il a une tête au carré avec des bosses partout. Donc, quand il arrive à l'école, tous les autres

nouveauxnés, y compris le don de « L’invitation au voyage » (18) : il imagine un pays idéal qu’il met en parallèle avec sa maîtresse « Les vocations » (31) : quatre enfants parlent de leurs envies (destins) : la musique avec le voyage (tsiganes) ; les femmes ; le théâtre ; Dieu dans les nuages « Les projets » (24) : un homme imagine plusieurs lieux d’évasion avec sa maîtresse « Any where out of the world » (48) : le poète propose à son âme plusieurs pays où s’évader ; elle réclame un lieu « hors

personnages. En effet, on remarque que le lien entre les personnages est celui de maitre/valet, comme dans Le Mariage de Figaro (Le Comte/ Figaro) et dans Ruy Blas (Don Salluste/ Ruy Blas), maitre/servante dans Le Malade Imaginaire (Argan/Toinette) et maitresse/servante dans Les Bonnes (Claire/Solange). Il y a donc un rapport de domination entre les personnages. Le maitre a de l'autorité et du pouvoir sur son valet et essaye de l'affirmer. Dans Le Malade Imaginaire, Argan essaye de maintenir son pouvoir

populaire par le poète romain Horace (-65 - -8 avant J-C), signifie de cueillir le/ jour et de profiter du temps présent. À ce sujet, Pierre de Ronsard (1524- 1585) reflète cette expression dans son poème «À sa maitresse» (1550), du recueil Odes XVII. Cette ode, adressée à sa jeune maitresse, est tout d’abord une invitation, de première vue galante mais qui devient ensuite plus imposée, à cette dernière de venir passer du temps avec lui. D’un autre côté, ce poème est une leçon épicurienne que Ronsard