Maladie de Parkinson

détruisent, sélectivement, les cellules tumorales." (Le Monde) Mais, comme exemple de questions qui se posent sur les risques des nanotechnologies, que deviendront les nanomédicaments dans notre organisme, après y avoir guéri (ou pas) telle ou telle maladie ? (Le Nouvel Obs Hebdo) L'immense champ de recherche des nanotechnologies, qui inclut d'autres types d'applications médicales, pose plusieurs questions éthiques : des informations pourraient être recueillies sur la personne à partir de nanoproduits

"/game/alliance?action=forum&town_id=189349&forum[action]=post_quote&forum[thread_id]=232993&forum[page]=3&forum[post_id]=2582041" Un mec demande a son pote: - Tu préfères avoir la maladie d'Alzheimer ou de Parkinson? Son pote lui répond : - Je sais pas, tu préfères quoi toi ? Et il lui dit : - Moi je préfère Parkinson, parce qu'il vaut mieux renverser une goutte de Ricard que d'oublier de le boire... Un chasseur expérimenté rentre chez lui d'une semaine de chasse intensive dans la savane africaine

les maladies de Parkinson et d'Alzheimer… «Des études épidémiologiques et une ou deux études rétrospectives montrent que les patients atteints de la maladie d'Alzheimer ont consommé moins de caféine que les autres. D'autres études montrent qu'elle ralentit le déclin cognitif, explique le neurobiologiste David Blum (Inserm U837, Lille). Testée sur des animaux, la caféine diminue la concentration des plaques amyloïdes ou encore elle modifie les protéines Tau, caractéris­tiques de la maladie d'Alzheimer

problématiques liées au vieillissement; ■ Différencier ce qu’est le vieillissement normal du vieillissement pathologique, les changements physiologiques et effets du vieillissement sur l’organisme et les démences associées comme la maladie d’Alzheimer et le Parkinson; ■ Comprendre l’importance des activités physiques adaptées et l’alimentation saine dans le processus de la longévité humaine et la vieillesse réussie; ■ Développer les compétences nécessaires pour l’intervention et la recherche dans

soignantes et infirmières contrairement aux maisons de retraite) V. Maladies A. Démence de type Alzheimer 1.Définition : La maladie d'Alzheimer est une maladie neurodégénérative (perte progressive de neurones) incurable du tissu cérébral qui entraîne la perte progressive et irréversible des fonctions mentales et notamment de la mémoire. C'est la forme la plus fréquente de démence chez l'homme. Deux formes de la maladie d'Alzheimer sont séparées : la forme familiale, plus précoce, d'origine

région parisienne. La résidence voit le jour en 1987 ( création d’une maison de retraite médicalisé) d »une capacité de 40 personnes. Elle accueille toutes les personnes, dépendants, autonomes, semi-autonomes, atteintes de la maladie d'alzheimer, Parkinson; sclérose en plaques. Cette maison retraite de 1987 à 1990 suivra un projet d’extension 97 lits. Le rachat de la résidence fut effectué en décembre 2004 par un groupe privé. Composition de l’équipe. 1 Directrice 2 Secrétaires

présenter les stratégies thérapeutiques actuelles concernant la MA et les autres formes de démences, en se référant aux autorisations de mise sur le marché (AMM) et aux avis d'experts en l'absence de consensus. I- Traitement médicamenteux de la maladie d'Alzheimer On distingue les traitements 'spécifiques' des troubles cognitifs de la MA et les traitements symptomatiques des troubles comportementaux et de l'humeur. I-1. Traitement 'spécifiques'. L'"hypothèse cholinergique" a permis le développement

se déroule au sein d’une EHPAD médicalisée. L’établissement accueille 86 résidents, dont 4 en hébergement temporaire. Présentation du public : La population est de 86 ans en moyenne, avec différentes pathologies telles que Alzheimer, Parkinson, et d’autres qui ne sont pas diagnostiquées. Mes observations : Lors de mon 1er atelier mémoire, j’ai pris la parole au début de la séance pour me présenter à eux, car étant nouvelle ils ne savaient rien de moi. Je me suis présentée professionnellement

personnes âgées à leur domicile en tant qu’auxiliaire de vie. Les personnes que j’ai prises en charge présentaient une perte d’autonomie dans la gestion des besoins quotidiens. Certains avaient développé des pathologies graves neurologiques (maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer) d’autres présentaient des séquelles d’accidents vasculaires cérébraux.La plus part des personnes âgées dont je me suis occupée souffraient de troubles articulaires, d’arthrose par exemple.J’ai aussi rencontrés des personnes

quantité est limitée grâce à un système anti-radicaux libres. Cependant, avec la vieillesse ou la maladie, l'équilibre peut être rompu et on observe un dérèglement au niveau de la destruction des radicaux libres. De cette oxydation provient l'altération de l'ADN et le vieillissement cellulaire qui est à la base de certaines maladies comme le cancer ou la maladie d'Alzheimer ou la maladie de Parkinson. On distingue plusieurs espèces de radicaux libres : Le radical superoxyde 02 : c'est le plus courrant