Malédiction

amoureuse de son beau-fils, Hippolyte que Thésée a eu avec Antiope, la reine des Amazones, elle est repoussée par celui-ci. Par vengeance, elle accuse le jeune homme d'avoir cherché à la violenter. Furieux, Thésée implore aussitôt sur son fils la malédiction de Poséidon, qui lui doit trois vœux. Poséidon emballe les chevaux du jeune homme qui périt écrasé par son char. Accablée de remords, Phèdre se suicide et Thésée apprend trop tard la vérité. 4) La pièce s‘ouvre in medias res: Hippolyte, fils

pour son mari qu'elle trahit déjà dans son coeur et son amour impossible pour Hippolyte. Le rythme ternaire au vers 5 « je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue », souligne sa passion pour Hippolyte. Le trouble l'envahit lorsqu'elle comprend que la malédiction de Vénus s'acharne encore sur elle à tel point qu'elle n'ose plus « nommer le dieu à qui elle offre tout », v 20. En effet, au delà de Vénus, c'est Hippolyte qu'elle vénère et son amour caché devient peu à peu primordial et obsessionnel dans sa

Le mythe eschatologique raconte la fin de l’univers. Les Atrides : Les Atrides sont les descendants d’Atrée dans la mythologie grecque, qui est le roi de Mycènes. On désigne les Atrides comme une famille maudite, on parle de la malédiction des Atrides. La malédiction de la famille des Atrides commence par le châtiment de Tantale ayant donné son fils Pélops à manger aux Dieux. Tantale fut condamné aux enfers avec soif et faim éternelles. Son fils quand a lui fut ressuscité par les Dieux. Devenu

d’Hugo. À côté de celui-ci se trouvait la dépouille intacte de la jeune fille, morte de peur. Ainsi, dans le comté de Devon, une légende s’est bâtie sur la malédiction des Baskerville. Sir Charles était un honnête homme, mais il était l’un des descendants d’Hugo. En vivant dans le fameux manoir des Baskerville, sa vie a pris fin et la malédiction familiale ne cesse depuis de croître. L’enquête n’a abouti sur rien de concret, et les habitants locaux pensent que les forces surnaturelles expliquent

Antigone de Sophocle est une pièce caractérisée par la destination des Labdacides, famille tourmentée par une malédiction divine. La pièce relate l’histoire d’une jeune fille d’origine incestueuse qui s’oppose aux lois de l’état en accordant à son frère Polynice des rites funéraires. Cette transgression de la loi va engendrer quatre scènes d’affrontement entre Antigone et sa sœur Ismène, entre Créon le roi et Antigone, entre Hémon le fils du roi et le roi même et finalement entre Tirésias le devin

car, Est-il dit «  toute chose retourne à sa source » Le mal dont ils étaient chargés n’étant pas épuisé, ce mal se retournera contre leurs auteurs et achèvera de les détruire. L’auteur d’une mauvaise pensée, d’un mauvais souhait ou d’une malédiction est donc atteint à la fois par l’oiseau noir de son ennemi et par son propre oiseau noir lorsque celui-ci revient vers lui. La même chose se produit avec les oiseaux blancs. Si nous n’émettons que de bonnes pensées envers notre ennemi alors

avec Néron : elle retrouve sa dignité et sa domination, et semble avoir gagné... mais l'acte se termine par le triomphe de Narcisse (IV, 2) * Acte V : elle est sans cesse présente, se croit d'abord victorieuse mais assiste à sa déroute. Malédiction assez vaine à son fils : elle signe en réalité son arrêt de mort. Son dernier mot : faux espoirs, et constat d'échec. Conclusion Agrippine est un personnage dont la monstruosité vaut bien celle de Néron, mais qui se trouve, par calcul, dans le

1. Pourquoi, au tout début du livre, le docteur Mortimer a peur pour Henry, le dernier des Baskerville qui arrive dans l’ancien manoir ? Il a peur que la « malédiction » (le fait que chaque membre de la famille soit mort de mort violente) ne se continue sur une nouvelle génération (p. 28) 2. A qui est envoyée la lettre anonyme du début du livre et quel était le but poursuivi par la personne qui l’a envoyée. la lettre s’adresse à Sir Henry, et il s’agit de le « tenir loin de la lande, car un

termine un cycle pour la famille des Atrides, pour en faire recommencer un nouveau. Puis La déchéance chaotique d’Argos apparait, révélant une Electre ambiguë. Tout d’abord, Giraudoux fait éclater la vérité. Ce qui marque une courte coupure dans la malédiction des Atrides. Electre, dont le nom signifie « à l’éclat de lumière »est personnage principal du texte une telle signification en dis beaucoup sur les intentions de celle -ci. L’éclat de la vérité est notamment illustrée par une métaphore traduisant

l'interprétation de la funeste prédiction de l'oracle a pu être faussée. La répétition du nom "ciel"v.3 avec l'adjectif "juste" renforce l'argument de Clytemnestre qui persuade alors à son mari que le destin de l'innocente Iphigénie ne peut être une malédiction causée par les dieux. De plus, Clytemnestre attire la pitié car elle semble impuissante face à l'injustice que subit sa fille. En effet, alors que Iphigénie est caractérisée par "l'innocence" v.4 et par le nom "victime" v.9, Clytemnestre accuse