Malheur

sous terre enveloppés seulement d'un drap. Tournai avait déjà été le théâtre d'une très grave épidémie de peste à la fin du XIe siècle, moment où l'on institua une procession à Notre Dame, manifestation qui existe toujours. Les grandes périodes de malheurs, surtout lorsqu'il s'agit de phénomènes que l'on ne peut expliquer seulement par la volonté de Dieu, sont des moments où la foi s'exprime de manière très démonstrative.Prières, processions, messes, offrandes ... tout était bon pour supplier Dieu

est nostalgique.     Cette première partie de la période est très belle et très éloquente. c) La passion de la dernière partie:     Cette partie est plus courte, elle sert d'introduction au développement qui va suivre. Elle est sous le signe du malheur.     > 2 subordonnées introduites par "dès que..." marquent une différence de valeur de temps entre "tant que" (= la durée) et "dès que" (= cassure brusque).     > Aux principales sont juxtaposées 4 subordonnées: les 3 premières sont courtes et sèches

comporte un " j' " à l'entame. Louise Labé utilise massivement le vocabulaire affectif/modalisé, l'isotopie (champs lexical) des sentiments : vers 4 "ennuis", "joie"; vers 5 "rie", "larmoie"; vers 6 "plaisir; vers 11 "peine"; vers 13 et 14 "heur", "malheur". On remarque une rime sémantique dans ces deux derniers vers = chargée de sens. On nous décrit une expérience amoureuse totale car elle engage le corps et l'esprit. La clausule du vers 1 montre à quel point le sujet lyrique est plongé dans sa passion

montrent bien la faiblesse des amants face à la mort, ils ne peuvent plus se révolter contre. Des Grieux qui narre durant l’entièreté de l’extrait a même du mal à exprimer ses émotions tant cette épreuve a été éprouvante « n’exigez point de moi ». Son malheur est aussi exprimé en peu de mots, il ne veut pas s’attarder ou se rappeler cette épreuve « Je la perdis ». Sa description lors de l’enterrement de Manon montre aussi sa vulnérabilité dans cette situation «  si proche de ma fin ; l’affaiblissement ;

Pascal, c'est le "divertissement" des hommes entre eux qui ressort le plus dans son texte. En oppostition, dans l'extrait intitulé "solitude" des Petits poèmes en prose de Charles Baudelaire, le fait de ne pouvoir être seul est vu comme "un grand malheur". En complémentarité avec ces texte, se trouve la photographie de Alexey Tirarenko montrant que la socièté peut être comparé à de simples fantomes, et que le fait de se balader dans les rues, revient à se mouvoir dans un monde fantomatique, comme

jolies. Dans le naturalisme, on observe les effets de la nature sur les gens comme la milieu, la famille etc. Les écrivains donnaient ses oeuvres en prenant le sujet du déterminisme. Est-ce qu'on peut parler des courants littéraraires qui aiement le malheur et la saleté? Premierement, on va observer les coté obscures. Puis, on va s'interesser avec pourquoi on rencontre souvent des oeuvres obscures. Enfin, on va analyser le point de vue des écrivains a la vie. On voit que, presque dans tous les

invite tous les Thébains à se joindre au nom de la sauvegarde de la cité. Œdipe appelle d’abord Tirésias à l’aider de ses oracles ; celui-ci, craignant trop de dévoiler les malheurs qu’il entrevoit, refuse de parler. Œdipe l’y contraint, et Tirésias finit par lui indiquer qu’il est lui-même le seul responsable des malheurs de la ville. Le roi, qui ne tolère pas un tel affront, fait renvoyer le devin. Il rencontre ensuite Créon, son plus fidèle conseiller, et l’accuse de conspirer en secret contre

nos propres représentations, c’est-à-dire de nous ? I Etre heureux ne semble pas dépendre de nous. En effet, s’il ne tenait qu’à nous d’être heureux, pourquoi tout le monde ne le serait-il pas ? Comme le rappelle Platon, nul ne veut son propre malheur. Ainsi, le fait même qu’il y ait des gens malheureux prouve que le bonheur dépend de la chance, ou peut-être encore du destin ; mais dans tous les cas, certainement pas de nous. En poursuivant les buts que nous poursuivons quotidiennement, nous ne

soliloque AntoineJuste la fin du monde Le soliloque d'Antoine, sc 3 , 2ème partie Cet extrait se situe dans la deuxième partie de la pièce. Dans la scène 1, Louis présente l’action de la partie 2 de façon rétrospective : les temps du passé et du présent alternent. Dans la scène 2, la tension entre Louis et Antoine est physiquement palpable, la crise se concentrant autour du départ de Louis. La scène trois est en apparence plus apaisée. Dans cette scène, Antoine a presque exclusivement la

pessimiste de la nature humaine Frappé par le malheur de sa propre condition On note un emploi récurrent du mot dans l’extrait : il est employé sept fois. Ainsi, il évoque le : « malheur naturel de notre condition faible et mortelle et si misérable » de l’homme. Ligne 11 Contrairement à l’idée répandue qui veut que les rois soient exempts de malheur. Pascal indique que la royauté n’est pas la condition la plus heureuse. L’emploi de l’adverbe