Malines

évidentes. Exemple : les vérités mathématiques ou les principes logiques (comme le principe de non-contradiction) : au moment où je les pense, claires et distinctes, ces idées m'apparaissent comme ne pouvant être autres qu'elles ne sont, et même le malin génie que j'imagine n'y change rien (cf. Méditations, III, § 4). L'enchaînement logique de deux idées n'est lui-même saisi comme valable qu'à travers une intuition qui en perçoit l'évidence. L'évidence est décidément centrale, qui découvre aussi la

questionnement de la verite pour pouvoir la comprendre et chercher d'autres verites. Le doute cartésien montre qu'il faut douter pour ne plus douter afin atteindrela vérité. Dans la première Méditation métaphysique, Descartes avance la fiction d'un "malin génie", ce qui lui permet de se persuader que tout est faux. Descartes propose deux plans d'attaque dansle doute cartésien. Dans un premier temps, le doute hyperbolique, on n'établi pas de lien entre des choses certainement fausses et d'autres

manifeste la liberté de l’esprit tant qu’il peu se débarrasser de tous les opinions et préjugés qui l’habitent. Il s’agit donc d’une entreprise de destruction nécessité par une volonté de vérité. Il fera l’hypothèse fictionnelle de l’existence d’un « malin génie » qui cherche constamment à le tromper. Remettant tout en doute, Descartes ce rend compte dans son Discours de la méthode que la pensée est consciente d’elle-même et en arrive à une proposition qu’il ne peut pas nier « je pense donc je suis

sur la réalité. Même si ces choses font imaginaire, la nature corporelle de ces choses est surement vraie. Les disciplines comme l'arithmétique et la géométrie ne peuvent donc qu'être vraies. Pourtant, René Descartes a dans l'esprit qu'il existe un malin génie, un Dieu qui l'aurait créé tel qu'il est et qui le tromperait a chaque instant. C'est après être contraint d'avouer que tout ce qu'il croyait réel est peut-être faux qu'il réalise que ses réflexions existent et qu’il doit donc exister lui aussi :

D’où : je vais employer toute mon énergie à me tromper moi-même, en feignant que toutes ces opinions sont fausses. Sans raisons naturelles ou métaphysiques. Je vais me placer face aux opinions comme si j’avais des raisons de douter = la fiction du malin génie (l.156) destinée à rendre le doute effectif --> doute naturel, doute métaphysique, doute ? , ou hyperbolique, fait de la subjectivité pensante.

l'inconscience total face a la gravité de leurs actes , cela démontre bien leurs états d'esprit durant tout le livre . Si le livre n'aurait pas de titre , je proposerais ? -Le trio crapuleux ; Pour leur idées malfaisantes , pour leurs complicités et le malin plaisir qu'il ont a tuer les hommes que séduit Valérie. Ils sont fière de leurs coups et inséparable. Autoportrait d'un personnage : -Je m'appelle Valérie. J'ai 18 ans à l'époque des faits, je prend des cours d'esthéticienne et travaille dans

très bon et qui est la souveraine source de vérité, mais qu'un certain mauvais génie, non moins rusé et trompeur que puissant, a employé toute son industrie à me tromper »  Avancer l'existence probable d'un dieu trompeur et d'un malin génie, constituent un doute hyperbolique ce qui amène Descartes à douter même dans les vérités mathématiques rationnelles. De ce fait le doute cartésien est un doute totale, méthodique et constructive. Mais construire la connaissance rationnelle

doute hyperbolique est une de ceux la. Le doute hyperbolique consiste à douter à l’excès. C’est-à-dire que chaque chose existante et que les gens prennent pour acquises et à en douter pour s’assurer de la certitude. Descartes donne l’exemple d’un malin génie, qui s’amuserait à crée des illusions pour tromper tout le monde, ce qui les pousserait à suspendre leurs jugements pour pouvoir éclaircir la véracité des choses. Il explique que si nous pouvons douter d’une chose, elle n’est pas un fondement

une longue tirade faites de remontrances, Dom Juan se permet de répondre par une réplique très pauvre en contenu n’ayant aucun rapport avec ce qui vient d’être dit : « Monsieur, si vous étiez assis, vous en seriez mieux pour parler. » De plus, le malin plaisir qu’il éprouve à se jouer des deux paysannes auxquelles il a promit le mariage montre bien son attitude immature et provocante. Les rapports de Dom Juan avec les personnages de la pièce sont toujours assez tendus, le plaçant donc seul face

philosophe peut qu’être bonne, car il faut avoir conscience de son existence afin de pouvoir se connaître. En plus, Descartes sait que Dieu est bon et qu’on ne peut s’en méfier donc, celui-ci ne peut pas nous tromper. Or, il donne le rôle au malin génie. Il dit que ce malin génie nous trompe et c’est pour cela qu’on doit soupçonner tout ce qui n’est pas justifié d’un fait véritable. Tout ce qui n’est pas justifié représente les connaissances des autres choses, et non de soi-même. Cette certitude soit «je