Mamadou Tandja

Lissouba, Eduardo Dos Santos, Edouard Balladur, Philippe Jaffré, Roland Dumas, Bernard Kouchner, Laurent Gbagbo, Vincent Bolloré, Francis Bouygues, Félix Houphouët-Boigny, Nicolas Sarkozy, Dominique de Villepin, Jean-Marie Bockel, Alain Joyandet , Mamadou Tandja et Ali Bongo.

Istanbul capitale culturelle de l'europe.- 27 janvier : Sri Lanka election Mahinda Rajapakse- 7 février : Ukraine, election du président Viktor ianoukovytch- 12 févier : Jo 2010 Vancouver.- 18 février : Niger, coup d'état de Salou Djibo renversant Mamadou Tandja- 1 mars : Uruguay, José Mujica président- 10 avril : Crash et mort de Lech Kaczynski- 11 avril : Paris Roubaix victoire du Suisse Cancellara- 14 avril : séisme en Chine 1900 morts- 15 avril : éruption de l' Eyjafjöll- 20 avril : explosion de Deepwater

dissolution de l’Assemblée Nationale, un référendum pour une modification de la constitution, une annulation du référendum par la Cour Constitutionnelle, et enfin une dissolution de la cour constitutionnelle. Peu de temps avant le coup d’Etat, Mamadou TANDJA menaçait de se rapprocher de l’Iran et de la Chine, et notamment de vendre aux iraniens son uranium brut. Ce sont là autant de motifs qui conduisent au mécontentement de la population et à leur adhésion au coup d’Etat. Toutefois, cette solution

la recherche de la paix 2005 au président sénégalais Abdoulaye Wade. La cérémonie s’est déroulée en présence de plusieurs chefs d’État : Jacques Chirac (France), Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (Guinée équatoriale), Olusegun Obasanjo (Nigeria), Mamadou Tandja(Niger), Marc Ravalomanana (Madagascar), Amadou Toumani Touré (Mali), João Bernardo Vieira(Guinée-Bissau), Jakaya Kikwete (Tanzanie). D’autres personnalités politiques étaient également présentes, notamment Abdou Diouf, Secrétaire général de l’Organisation

toujours en fonction, Omar Bongo, chef du Gabon de 1967 à 2009, son fils Ali Ben Bongo Odimba, le Togolais Faure Gnassingbé, en fonction depuis 2005, le Tchadien Idriss Déby Itno, le Congolas Paul Biya, le Béninois Thoas Boni Yayi, le Nigérien Mamadou Tandja, le Congolais Denis Sassou Nguesso, le Centrafricain François Bozizé. La France n'est pas en reste : ses agents néocoloniaux sont souvent franc-maçons, à l'instar de l'ancien ministre de la Coopération Christian Nucci et de Guy Penne, conseiller

mandat de 5 ans renouvelables. Elle contrôlait l'action du gouvernement (art.70), mais ne pouvait le renverser, elle ne lui faisait que de simples recommandations (art.79), ce qui annonce la parenté d'inspiration avec la 6ème République de Monsieur Tandja Mamadou. La constitutionnalisation d'une deuxième chambre aux côtés de l'Assemblée nationale jetait les bases du bicaméralisme au Niger. Mais cette deuxième chambre n'a jamais était installée, tout comme elle ne le fut sous la 6ème République qui avait

de Cotonou doivent « poursuivent une politique active, globale et intégrée de consolidation de la paix et de prévention et de règlement des conflits dans le cadre du partenariat »[12]. Ce ne fut pas le cas du Niger en 2009 lorsque le président Mamadou Tandja mit au point un projet pour allonger son règne. L’Union européenne menaça le Niger de couper les vivres, car son projet allait à l’encontre de l’Accord de Cotonou[13]. Conclusion Pour conclure, l’ensemble de l’aide apportée aux pays d’Afrique

populations colonisées, quand elle existait, était sommaire et se composait, de fait, de dirigeants coutumiers existants ou désignés. Quelques rares élites arrivèrent à émerger – tels Nelson Mandela en Afrique du Sud et Léopold Sédar Senghor ainsi que Mamadou Dia au Sénégal, HouphouetBoigny en Côte d’Ivoire qui sera même ministre dans plusieurs gouvernements de la IVème République française – mais en quantité trop restreinte pour former des dirigeants vraiment éclairés en nombre suffisant. Quant aux classes

en place est désormais bannie et, à des degrés divers, la dictature devient la règle.   Même des pays phares comme le Sénégal succombent à la tentation du raidissement. En 1962, Léopold Sedar Senghor fait ainsi emprisonner son Premier ministre Mamadou Dia pour tentative de coup d’Etat. En 1974, le poète-président sera néanmoins le seul de ses pairs d’Afrique francophone à accepter une ouverture limitée, avec notamment l’autorisation du Parti démocratique sénégalais d’Abdoulaye Wade.   Années

CHAPITRE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE 1.1 Description La DEPE (Dantchiao Electrical Power Engineering) est une société anonyme à responsabilité limitée unipersonnelle (SARL.U) dont le siège est à Niamey au village de la Francophonie rue Tandja Mamadou. Elle fut créée en 2011 avec un capital de 1 million de F CFA (1520 EUROS) ; elle est composée de 12 agents permanents dont 6 sont à Niamey et 6 à Arlit. Elle a à son sommet le Directeur général qui est aussi ingénieur en électricité, il est