Maman Est Ce Que Ta Chambre Te Plait

que vous passerez de bonnes vacances et amusez vous ! Et oubliez pas de nous donner des nouvelles aussi.Moi et Maeva : Oui maman, passez un bon voyage !Maman : On reviendra te chercher toi et ton frère une semaine avant la rentrée. D'ailleurs il est où votre frère qu'on lui disent au revoir quand même !Maeva : Il directement parti regarder la télé je crois.Moi : Nicolaaas ?Maman : Mais ça va pas de crier comme ça ?Nicolas arriva.Moi : Bah au moins il a entendu.Maman : Bon allez nous on y va sinon on

doucement la tête face à l'ordre de  mon père et commençai ​ à récolter le millet. Une  céréale  délicieuse,  quoique  peu  goutteuse,  que maman transformait  en  bouilli.  Je  coupa  les  tiges  à  la  base  et  je  les regroupa  en  fagots  sur  un  drap.  Je  secouai  ma  récolte  pour  que  les   grains,  tel  de   petites  billes,  s'accumulent  au  fond  du  drap.  Je  les  amenai  à  maman.  Dans  quelques heures, je pourrai goûter à cette merveille.    Mes  cinq  frères  jouaient  dehors.  Je  ne  pouvais 

Raconte moi, Bruno ! Comment t'es-tu amochi de cette façon ? Bruno. - On jouait et puis, je suis tombé...Aîe ! Doucement s'il-te-plaît. Véronique. - Comment ? Tombé ? Je n'en crois pas un mot mon cher ! Dis-moi tout de suite qui a osé te frapper ! Dis-le moi tout de suite Bruno ! Personne n'a le droit de te faire ça ! Allons, parle ! Aurais-tu avalé ta langue ? Bruno. - Maman, c'était un accident, je t'assure... Véronique. - (coupant la parole à Bruno) Oh, mon pauvre garçon, mon fils bien-aimé ! Tu

manques ! Je levais les yeux au ciel, riant. - Je crois que tu as des problèmes d’audition, jamais je n’ai dit de telles choses ! Elle rigola avant de dire : - J’en conclue qu’il a dit non ? Je souris. - Bravo ! Bon aller, je vais dans ma chambre ! Une fois en haut, je m’allongeais sur mon lit et fermais les yeux, nous avions repris les cours hier et nous avions déjà cinq contrôles de prévus pour la semaine prochaine, j’en avais déjà marre, de plus, ma mère n’arrêtait pas de m’appeler pour

surtout à ma meilleure amie Briony, et mon (ex) petit copain Thomas ( oui ex car on a décidé de terminé notre relation avant que je parte ) . L’avion commence à décoller je prends quelques photos avant de quitter New-York. Maman : Brook arrête de prendre des photos s’il te plait. Papa : Laisse là faire se quelle veut un peu. Entre mes parents c’est tendu en ce moment. Ils s’engueulent pour un rien, je pense que c’est par rapport au voyage, le stress. J’allume alors mon IPhone et commence à mettre

Vincent ? Où est Françoise ? Qu'est-ce que vous faites ici ? Je cherche une jeune fille (il montre la photo)... : Où est-il ? Où est-elle ? : Bonjour Madame. Bonjour Mademoiselle. : Pour aller à Paris, à l'hôtel Concorde-Lafayette s'il vous plaît. Il y a un autocar d'Air France dehors. : Merci. Vincent aperçoit Françoise qui monte dans le car, mais le car démarre. D'ORLY À PARIS.. DANS L'AUTOCAR Un jeune homme à Françoise : Où allez-vous ? Françoise : À l'Hôtel Concorde- Lafayette.

manques tous les jours. Prologue Maman ! Maman ! Maman dort par terre. Ça fait longtemps qu’elle dort. Je lui brosse les cheveux parce qu’elle aime ça. Elle ne se réveille pas. Je la secoue. Maman ! J’ai mal au ventre. J’ai faim. J’ai soif. Dans la cuisine, je traîne une chaise jusqu’à l’évier et je bois. Je mouille mon chandail bleu. Maman dort encore. Maman, réveille-toi ! Elle ne bouge pas. Elle est froide. Je prends mon doudou et je couvre maman, et je m’allonge à côté d’elle sur la

manques tous les jours Prologue Maman ! Maman ! Maman dort par terre. Ça fait longtemps qu’elle dort. Je lui brosse les cheveux parce qu’elle aime ça. Elle ne se réveille pas. Je la secoue. Maman ! J’ai mal au ventre. J’ai faim. J’ai soif. Dans la cuisine, je traîne une chaise jusqu’à l’évier et je bois. Je mouille mon chandail bleu. Maman dort encore. Maman, réveille-toi ! Elle ne bouge pas. Elle est froide. Je prends mon doudou et je couvre maman, et je m’allonge à côté d’elle sur la

Chapitre 1« C'était une femme douce, au cœur chaleureux et une bonne mère. Malheureusement, sa maladie l'a assombrie ces dernières années et a fini par nous l'éloigner complètement. Avec quel soin le prêtre dit cela ! pense Joachim. dans leur messe funèbre. Les prêtres sont très doués pour cela. Ils pèsent leurs paroles, continuent à errer du bon côté du défunt et guérissent tout ce qui n'allait pas avec des mots vagues et onctueux. "maladie" sonne en effet beaucoup mieux que "elle bu » ou « son

rassure-toi Martine, le virus de la surdité n’existe pas encore, donc pas de danger que je l’attrape… Ce n’est pas parce que ta mère est là que… (S’apercevant que la mamie dort dans le fauteuil, il tape sur le seau à glace, puis d’une voix forte)S’il vous plait, contrôle des billets, contrôle des billets. (La mamie continue de dormir.) PIERRE- (la secouant) Montparnasse, Montparnasse ! Le train arrive à destination… MARTINE- Pierre ! Voyons ! Cesse de la taquiner ainsi ! Tu n’es pas gentil ! MAMIE-