Mamelles

peut être qualifié comme un groupe différent de la société. Ici, Baudelaire s’adresse aux bohémiens comme un groupe qui ne fait pas partie de la société et il utilise le terme prophétique pour le rendre spécial. Ensuite, il utilise aussi le terme « mamelles pendantes » pour les femmes parce qu’ils sont dévêtus et n’ont pas de vêtements et pour les hommes, l’auteur écrit que les hommes vont à pied. Cela pourrait indiquer que cette tribu n’a pas d’argent. De plus, il décrit leur chariot avec le mot « blottis »

allégorie de la faiblesse → Allégorie : représentation concrète d'une idée abstraire Les personnages sont donc allégoriques et antithétiques (loup contre force) Personnifications -Le Loup : prédateur -L'Agneau : animal doux, encore à la mamelle (enfant) v. 8 et 18 : caractérisation humaine → 'plein de rage' 'bête cruelle' – Qui relève de caractères humains + caractérisation indirect de l'Agneau par ses paroles (innocence de l'enfant qui tète) → A travers le récit animalier,

violence possible « viols », « brulure », « démembrement » qui sont considérés comme un jeu à la guerre. 3) L’atteinte à l’humanité * seule derrière la feuilles a) L’humanité des victimes _ « criaient » (l.15) _ « qui … mamelle » (l.13) l’instinct maternelle b) Déshumanisation des soldats _ approximation sur les nombres de morts (l.3,4,6) _ expression qui font jeu de mots « des tas… » CONCLUSION 1 : Voltaire dénonce la guerre avec beaucoup

loin, pleure en s'essuyant les yeux à l'ourlet de son tablier. A la tête du lit un ange emplumé se penche et souffle de bons conseils à Monseigneur, qui hésite quelque peu, car à ses pieds, en effet, un diable vert, avec un bec de corbeau et des mamelles d'une mollassité dégoûtante, essaie de le fasciner par ses contorsions. La chambre est pleine de chapelets, d'encensoirs, de saints ciboires, de saints sacrements, de reliques et d'agnus Dei. Tout près du moribond, à genoux, vu de dos, au premier

une tonalité plus pathétique, les morts et les mourants sont mélangés dans le même tas (vie et mort ne font plus qu’un), l’effet d’accumulation ou la surenchère dans le malheur renforce ce registre pathétique notamment avec cet effet oxymorique : « mamelles sanglantes »de plus ce qui pourrait être de l’ironie devient simple horreur : « demi-brulé », « cervelles ». B. La religion comme facteur de guerre On peut observer, dans un second temps, que la religion est définie comme facteur

tumeur II. Terminologie médical Adéno- → Glandes/Ganglions Masto- → Sein Onco-/Carcino-/Cancéro- → Cancer Mélano- → Noir Nucléo-/Caryo- → Noyau Radio- → Rayonnement Chimio- → Chimique Sarco- → Sarcomme Mammo- → Sein/Mamelle

des conséquences de la guerre ,on parle des innocents et cet ingrédient-là ne pouvait pas être absent dans le récit de voltaire « ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leurs femmes égorgées ,qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes ; là des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros rendaient les derniers soupirs » le fait d’avoir des innocents dans la liste des victimes rend le paysage plus obscur, plus terrible. En plus dans cette

Adverbes de lieu « ici », « la » Registre pathétique : civils + verbe « crier » métaphore de la souffrance. II] Dénonciation d'une guerre barbare et inhumaine A- La barbarie de la guerre -périphrase « boucherie héroïque » -métaphore animales « mamelles sanglantes » -participes passés «  égorgées », « éventrées » -partie de corps démembrées «  bras et jambes coupés » B- Une guerre inhumaine -effacement des hommes «  les canons renversèrent » -les euphémismes «  envrion » « Une trentaine »

Dans ce poème, Baudelaire propose une allégorie des poètes reflétant un idéal. Il compare les bohémiens à des animaux avec « ses petits » vers 2 et « mamelle » vers 4. La tribu prophétique aux prunelles ardentes Hier  s’est  mise  en  route,  emportant  ses  petits Sur son dos, ou livrant à leurs fiers appétits Le trésor toujours prêt des mamelles pendantes. Les hommes vont à pied sous leurs armes luisantes Le long des chariots où les leurs sont blottis, Promenant sur le ciel des yeux appesantis

éventrées(…)besoin naturel » =) On s’attaque à la jeunesse, à la virginité - La guerre prive l’homme de sa divinité humaine - « tas de mort et de mourant » = image de l’agonie, de la souffranceb) Les paradoxes de la guerre à travers l’ironie- Vision barbare (« mamelles sanglantes» (la vie devient la mort = sang à la place du lait) / « cervelle, bras, jambes… » = volonté de rendre le passage hyperbolique) + champs lexical de la violence (« criblés de coups, sanglants… »)- Champs lexical de la destruction (« brûlé…