Man Ray Surréalisme

Man Ray, Erik Satie, 1922 Epreuve gélatino-argentique, 8,4 x 5,3 cm Dation 1994 - AM 1994-394(3792) Photo Bertrand Prévost © Man Ray Trust/ Adagp, Paris Le Discours sur rien tient à la fois du retour réflexif propre à la tradition discursive d’Occident et de la distanciation Zen à laquelle John Cage fait régulièrement référence à partir de la fin des années 1940.[10] La distanciation amusée de l’artiste vis-à-vis de la discipline qu’il exerce comme de sa propre production est un aspect constant

Man Ray est un photographe d'origine new-yorkaise qui est venu s'établir en Europe, à Paris en fait, au début des années 20. Il s'est associé aux artistes qui alors se groupaient autour de Breton et qui allaient fonder le mouvement surréaliste. Il s'agit là d'une photographie (argentique) en noir et blanc sur laquelle ont été superposées deux traces d'encre. La photographie représente le dos d'une jeune dame tandis que les taches d'encre superposées reproduisent le contour des ouvertures que l'on

Le recueil des Main libres, publié en 1937, est le fruit d’une collaboration entre le peintre, photographe et réalisateur de films Man Ray(1890-1976) et le poète Paul Eluard (1895-1952). Comme l’indique la première page de l’œuvre, avec « dessins de Man Ray illustrés par les poèmes de Paul Eluard », ce recueil renverse les relationstraditionnelles entre texte et image. Quelle signification peut-on donner aux étranges représentations du corps dans les Mains libres ? Premièrement, on peut remarquer

place importante à ces femmes qu'il a passionnément aimées. Ce n'est donc pas un hasard si Nusch est présente dans Les Mains libres : Man Ray lui rend « hommage » dans les portraits placés à la fin du recueil. On sait par ailleurs à quel point la mort de cette dernière a marqué Éluard dans sa chair et dans son œuvre. Le 19 décembre 1946, Éluard écrit ainsi à Man Ray : « Je te récrirai quand j'aurai repris conscience de la vie. » La présence de la femme s'accompagne bien souvent de la crainte de son

les impulsions destructives, satiriques et anarchiques du mouvement Dada par le culte des objets façonnés par la société de consommation. Une partie des artistes les plus influents incluait Pablo Picasso, Marcel Duchamp, Kurt Schwitters, et Man Ray, notamment.

Analyse comparée Nous analyserons de manière comparée, deux photographies :l'une est une photographie noir et blanc réalisé par Man Ray s'intitulant « Duchamp Comme Rrose Sélavy » datant de 1920.Comme le titre l'indique il s'agit d'un portrait de Duchamp déguisé en femme.L'autre photographie est une affiche réalisé par Turgault du concert pour Michel Polnaref à l'Olympia: « Polnarévolution » datant des années 70 qui à été reproduite à 6000 exemplaires dans Paris et interdite presque aussitôt

lorsqu’elle monta sur Paris. Elle adopta alors une coiffure dites au bol, elle souligna ses yeux de khôl et elle peignit ses lèvres de rouge vif. La plus grande fierté de Man Ray ? Elle fut recueillie par un peintre et sa vie en fut changée. Elle fréquenta la brasserie La Rotonde , c’est là qu’elle rencontre le photographe Man Ray pour qui elle éprouvera plus tard un véritable amour, leur liaison, qui dura huit ans, fut l’une des plus longues et des plus célèbres de Montparnasse. Lors de leur

Man Ray Biographie 1890 - 1976 • Vrai nom: Emmanuel Rudzistky • Pentre, dessinateur, cinéaste et photographe. • Américain (né à Philadelphie) Un peintre moderniste (1912 – 1921) • Il étudie l’architecture et le dessin et décide de se consacrer à la peinture. • Renonce aux techniques traditionnelles et se tourne vers des techniques d’avant-garde: - Il recourt au collage (tableau: Revolving Doors) - Il pratique la peinture au pistolet. - L’essor de la photographie le convainc que celle-ci est

notamment « l'imbrication », « l'agrégation » ou « l'amplification » comme pistes d'études. Le recueil Les Mains libres renverse les relations traditionnelles entre texte et image, en mentionnant dès la première page de l'œuvre : « dessins de Man Ray illustrés par les poèmes de Paul Éluard ». Les deux créateurs ont en effet inventé une collaboration, dans laquelle les dessins ont précédé l'écriture poétique. Derrière cette relation d'« illustration » assumée par le poète, la composition à quatre

(1/3) : UN SYMBOLE FÉMININ I. INTRODUCTION Dans les Mains libres, recueil de dessins de Man Ray, illustrés par des poèmes de Paul Eluard, le fil à coudre, et la couture en général, acquièrent une dimension particulière. Le fil et la couture apparaissent, premièrement, comme un symbole féminin : une conception qu'il convient d'aborder avec beaucoup de prudence. Rappelons qu'à l'époque où écrivaient Man Ray et Paul Eluard, le féminisme était encore loin d'être populaire, ou même pensé, et la conception