Mandchoukouo

règles du droit international sinon il connaît lui même une violation des règles internationales. Cette doctrine a été mis en œuvre dans le cadre de la SDN qui a adopté une résolution dans laquelle elle a invité ses membres a reconnaître l’Etat de Mandchoukouo, Etat crée par la force par le Japon. De même en 1983, le conseil de sécurité des NU a adopté une résolution aux Etats de ne pas reconnaître d’autres Etats chypriote que la République de Chypre. La reconnaissance peut prendre diverses formes. On

accélérant la reddition du Japon et la fin du conflit mondial. Les communistes chinois ne bénéficient pas d'une aide très active de la part des Soviétiques, mais ils gagnent de précieuses bases d'opération dans le Nord-est de la Mandchourie (ex-Mandchoukouo) et s'emparent des armes des Japonais335. Le Nord de la Corée est occupé par les Soviétiques, tandis que les Américains occupent le Sud336. En Indochine française où l'Armée impériale japonaise stationnait à sa guise, Nguyên Aï Quoc alias Hô Chi

la guerre, le Japon contrôle encore son territoire national (à l’époque : Japon, Corée et Formose), la partie orientale de la Chine, l’Indochine, la plus grande partie de l’Indonésie, sans oublier les territoires de ses alliés (protectorat du Mandchoukouo et Siam). 8. L’avancée des Alliés en Europe et en Asie montre que la guerre se déroule sur terre. Les débarquements en Afrique du Nord et en Europe, l’existence de convois vers Mourmansk, la reprise des îles dans le Pacifique indiquent des

prééminence sur la Corée. Notons aussi qu’en 1914, l’Empire du Japon avait gagné la guerre contre l’Allemagne et avait récupéré les possessions allemandes du Pacifique. En 1931, le nord de la Chine est envahi par le Japon et devient en 1932 le Mandchoukouo, État indépendant sous protectorat japonais. Comme l’Italie, le Japon quitte aussi la Société des Nations en 1933 et occupe le nord-est de la Chine en 1937. C’est la seconde guerre sino-japonaise. En 1939, grâce à l’intervention de l’Union soviétique

affronter le Japon de l’ère Taisho. D’une certaine manière le rapport JaponCorée dans les années 1920 n’est pas très éloigné de la diplomatie énergétique de la Chine aujourd’hui c’est-à-dire maintenir un dictateur fantoche (hier l’empereur du Mandchoukouo aujourd’hui le président du Soudan) pour s’assurer des ressources jugées cruciales au développement économique (hier les plaines fertiles de Corée et de Mandchourie, aujourd’hui le pétrole). La débâcle de la politique étrangère de l’ « ascension