Manie

son caractère, ses manies, avec énormément de détails comme le montrent certaines phrases ou certains mots de la page 42 et 43 : «son corps était vert, le bout de ses ailes rose, son front bleu, et sa gorge dorée» (ligne 1à2); «il avait la fatigante manie de mordre son bâton» (ligne3); «s’arrachaient les plumes» (ligne 3); «Éparpillaient les ordures» (ligne4); «Répandait l’eau de sa baignoire» (ligne4); «on le comparait à une dinde, à une buche» (ligne11); «Étrange obstination de Loulou, ne parlant

mental. 2. Les paradigmes de la psychiatrie : Georges Lanteri-Laura → 3 grands paradigmes de la psychiatrie française selon l’auteur : 1. L’aliénation mentale (fin XVIIIe-fin XIXe siècle). C’est l’unique affection. Pinel : aliénation mentale = manie, mélancolie, démence et idiotisme. Esquirol : monomanie avec actions bizarres et impérieuses, craintes, inquiétudes et appréhensions => effets sur la personnalité du sujet. 2. Les maladies mentales (1854-1926). Falret : Sujet aux prises avec même

Conclusion : B et P sont des marionnettes entre les mains du narrateur, des personnages de farce 2)La cristallisation amoureuse est parodiée : ils se regardent (« ils se considérèrent ») au même moment, càd après avoir constaté que l’un avait la même manie que l’autre d’inscrire son nom dans son chapeau… et le coup de foudre est immédiat de part et d’autre : « L’aspect aimable de B charma de suite P » // « L’air sérieux de P frappa B » : « charmer » appartient au vocabulaire de la rencontre amoureuse

Selon le manuel, les critères suivants sont également nécessaires Âge au moins égal à 18 ans Il y a trace de désordres comportementaux remontant à avant l’âge de 15 ans La fréquence du comportement antisocial n’est pas limitée à des épisodes de manie (voir Trouble bipolaire) ou de schizophrénie (voir Schizophrénie) Signes précurseurs chez l’enfant Le trouble de personnalité antisociale ne peut être diagnostiqué avant l’âge adulte. Cependant, il existe trois signes précurseurs qui peuvent être

deviennent complexes comme des personnes. Sont-ils négatifs ? Ils ne sont, en tout cas, pas attirants. Ils ne sont pas vertueux, ils ont des défauts , ils sont souvent antipathiques. Ils ont peu de vertus, ils peuvent développer à l'extrême un vice ou une manie, ils peuvent être avares, cupides, arrivistes, âpres au gain, médisants, racornis, jaloux, envieux ou simplement bêtes. Le plus souvent leur apparence physique en dit long sur leur psychologie. Ils ressemblent à ce qu'ils sont. Ils ne sont pas complètement

sorte de malédiction, elle est liée au génie, dans la mesure où l’idéal ne cesse de se dérober Hölderlin, Nerval. La science médicale analyse et classe les symptômes de l’aliénation (Pinel, Esquirol, Dr Blanche). La mélancolie est classée comme une manie : se caractérise par un délire, une tristesse immense, un abattement jusqu’au dégoût en vertu d’une cyclothymie notoire (Esquirol). Etat tantôt d’abattement et de surexcitation nerveuse. Esquirol veut substituer à la mélancolie le terme de lypémanie

émotions, manque d'énergie, perte de plaisir, difficultés à nouer des relations intimes, se concentrer...). psychose maniaco-dépressive/bipolaire : Accès maniaque et mélancolique. Débute souvent entre 25 et 50 ans. Souvent signal avant chaque manie (flash, vision...). En période maniaque, il y a une exaltation de l'humeur, des idées, de la motricité, peu de sommeil, amaigrissement... En période mélancolique, c'est la dépression interne, la tristesse, la paralysie, recherche de mort... paranoïa

significatifs impulsivité et concentration 10 à 15 % évolution encore plus négative (psychiatrie, addiction, suicide…) 7) Diagnostic et évaluation psychologique 7.1 Les entretiens cliniques semi-structurés Pour éviter de confondre hyperactivité avec manie infantile, il est indispensable de poser les questions destinées à l’exploration des symptômes d’hyperactivité et des symptômes maniaques. Il existe plusieurs références dont l’interview schedule of children and adolescents et le Kiddie-SADS. 7.2

sommeil, grande fatigue, baisse de l’estime de soi, sentiment de culpabilité et parfois même pensées suicidaires. Les troubles bipolaires, autrefois appelés «maniacodépressivité», sont caractérisés par une alternance de phases de l’humeur appelées manie et hypomanie, entrecoupées de période de stabilité. La phase maniaque se traduit par une humeur hautement accrue, que l’on pourrait qualifier de «joyeuse», voire excessive. L’individu maniaque agit de façon démesurée et présente une volubilité accrue

symptômes, - réinstaurer temporairement, poso antérieure antidépresseur, - puis assurer un sevrage du ttt encore plus progressif. LES TROUBLES BIPOLAIRES * Trouble récurrent de l’humeur alternant : PMD * phases énergie et activités (manie ou hypomanie) * phases humeur (dépression) * avec des intervalles libres plus ou moins longs. * Epidémio : prévalence 1 % dans pop générale. * Etiologie : facteurs génétiques, biologiques, endocriniens et psychologiques..