Mansarde

droit // Clerc chez un avoué, puis chez un notaire. Connaissance des palais de justice et de ce milieu qu’il utilisera plus tard, et qu’il considère comme des postes d’observation de la société privilégiés 1819 : obtention du bac. Installé dans une mansarde, composition de sa 1ère œuvre, une tragédie, Cromwell → échec. Ecriture de nombreux récits d’aventure, sous divers pseudos, mais sans succès. 1826/1828 : tentatives diverses pour faire fortune, comme éditeur, imprimeur, puis fondeur de caractères

toutes ses formes 1. Dénuement matériel ❖ Hugo décrit d'abord avec une grande précision le lieu sordide dans lequel va se jouer le drame de la déchéance de Fantine. Le décor est hideux comme le montre ce champ lexical : « cellule », « mansarde [...] sous le toit », « galetas »... Les accessoires et le mobilier révèlent la misère de l'occupante: elle a un matelas pour « lit », « une loque » comme « couverture », une « chaise dépaillée » : le terme « loque »est péjoratif et le préfixe «

mental de celles qui le hantent : appartement empoisonné, appartement de messes noires, appartement qui figure l'âme des Bonnes ; La chambre de Madame est le décor réel. Les Bonnes y sont déplacées. *Lieus non-représentes : la cuisine est à côté, La mansarde est au dessus (c'est l'univers des Bonnes, la chambre caricaturale où les fleurs sont en papier et où s'aiguise leur jalousie morbide). Tout s'ordonne autour de la chambre. *Le monde extérieur, c'est d'abord le Palais de Justice décrit par Madame

et vivant ; un décor un peu artificiel. "Le vert paradis des amours enfantines" est évoqué ici (vers 20 : "Ce que l'idylle a de plus enfantin"). III) La démarche du poète 1) Situation du poète a) Poète mis en scène dans le poème - Pauvre "mansarde" (comme les domestiques et les étudiants) - Enclin à la rêverie. -> Attitude traditionnelle du poète. b) Inspiration : elle est confondue avec la rêverie. Inspiration / travail -> travail volontaire maîtrisé

Le jeune homme exerce le métier de clerc de notaire à Paris. Les œuvres de sa jeunesses : Le jeune Balzac fréquente la Sorbonne, il s’éprend de philosophie, et il affirme une vocation littéraire. Ses parents le logent alors dans une mansarde, et lui laissent deux ans pour écrire, cependant qu'ils vont habiter Villeparisis, car ils n'ont plus les moyens de vivre à Paris : Balzac rédige une tragédie en vers, dont le résultat, Cromwell (1820), se révèle décevant. Mais Honoré ne lâche

N'essayez pas d'aller chez l'une ou chez l'autre. Mme de Bargeton ne serait pas reçue par sa cousine si elle continuait à vous voir. Vous avez du génie, tâchez de prendre votre revanche. Le monde vous dédaigne, dédaignez le monde. Réfugiez-vous dans une mansarde, faites-y des chefs-d'oeuvre, saisissez un pouvoir quelconque, et vous verrez le monde à vos pieds ; vous lui rendrez alors les meurtrissures qu'il vous aura faites là où il vous les aura faites.

(l. 6), souffrait (l. 11, 12, 36), torturaient (l. 14), indignaient (l. 15), regrets désolés (l. 16), pleurait (l. 36), chagrin, regret, désespoir, détresse (l. 37). Le champ lexical de la pauvreté est composé des mots : nécessiteux (l. 1), mansarde (l. 4), femme du peuple (l. 10) et misérable (l. 12).

son pays natal et dans la maison de son enfance (« j’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines » ; « j’aime ma maison où j’ai grandi »). Le narrateur est un homme de race blanche assez aisé car il possède des domestiques (« deux mansardes s’ouvrirent ! J’avais oublié mes domestiques ! »). Parfaitement lucide au début de l’aventure, il tombe dans une profonde démence qu’il ne peut maîtriser ; néanmoins il est conscient de ce qui lui arrive. Il se sent peu à peu possédé par une force

violon en particulier. Son père l'orienta très vite vers le métier des armes et il entre à l'Ecole Militaire de Paris le 5 mai 1776.Resté célibataire, il revient à Montaigu, mais ruiné il doit vendre le domaine et remonte à Paris se loger dans une mansarde du Quartier Latin. Malade et sans argent c'est son grand ami le général Blein qui lui offre l'hospitalité à Choisy-le-Roi. Il fut aussi hébergé dans la famille Voiart qui possédait une jolie demeure dans la partie haute de la ville. Il décéda 26

Son train de vie diminue peu à peu. Sa déclin social est marqué par la place qu’il occupe dans la Pension Vauquer : à son arrivée à la pension, en 1813, il logeait au 1er étage, puis est passé au 2e et se trouve désormais au 3e, où il vit dans une mansarde (= petite pièce aménagée dans les combles d'une maison). Il a 69 ans, et est atteint d’un amour paternel excessif envers ses filles. 2/3 Vautrin : Vautrin est un ancien détenu, évadé du bagne de Toulon, il est âgé de 40 ans. C’est un homme