Maoris

Actuellement, la question de l’inaliénabilité pose problème dans un contexte de pure efficacité économique. Beaucoup considère que c’est une forme d’archaïsme. Beaucoup de bien ont été vendus notamment par l’armée. Il y a eu l’affaire des têtes maories qui étaient inaliénable car la propriété de l’état. On est donc dans un contexte de remise en cause de l’inaliénabilité mais pour la remettre en cause, il faut une procédure plutôt lourde. Ce principe a aussi été remis en cause ar l’édit de Moulin

sculpture « montres molles » | |7 |Evolution du caractère du poisson | |Les signes des civilisations maoris, | | | | |mayas, aborigènes, les égyptiens | |8 |Calligraphie |

 nombre décimé par l'arrivée de ces dits  britanniques). Les Maoris, société tribale et guerrière, ont posé des soucis aux Anglais. Le  "traité de Waitangi" (1840) garantie et délimite le territoire de cette tribu (il a été signé en deux  langues, anglais et maori). Cette société s'est dépeuplée à cause des bactéries, de l'alcool, et  de la conversion forcée au christianisme apportés par les anglais. Au cours du XXème siècle,  cette tendance changera, les Maoris seront fortement impliqués dans l'organisation de la 

au monde à accorder le droit de vote aux femmes. Le Kiwi est un animal symbolique du pays en question. Il est important de savoir que 78% de la population néo zélandaise est d’origine européenne tandis que seulement 14% est d’origine autochtone maori. La langue officielle du pays est l’anglais. Le christianisme est la religion dominante du pays et 56% de la population est pratiquante. Le sport est très important, en particulier le Rugby et le cricket. De plus, Queenstown est la capitale mondiale

les randonné?es sur les volcans Atitlà?n, Tolimà?n et San Pedro permettent de dé?couvrir le quotidien et les us et coutumes des populations locales. Un treck à? Rotorua et sa zone de volcans, en Nouvelle-Zé?lande, permet d'accé?der à? la culture maorie. Les amateurs de sensations fortes trouveront é?galement leur compte dans les zones volcaniques touristiques. En effet, le volcanisme est un univers plein de records et de curiosité?s : prenons par exemple les plus hauts volcans de la planè?te

contente d'épouser une théorie indigène. [...] 28On l'a vu, c'est en étudiant la société maori de Nouvelle-Zélande que Mauss a découvert ce concept indigène qui lui semble de portée générale : les choses échangées, des taonga, y sont dotées d'un esprit, le hau. Loin d'être inertes, c'est d'elles que vient l'obligation qui pèse sur le donataire. 29Mauss s'appuie sur un texte de Tamati Ranapiri, l'informateur maori de l'ethnologue Elsdon Best, qui invoque le hau, la force des choses, pour expliquer que

sulfureuse du tatouage ne fait que commencer. Sur cette photographie que l’on pourrait qualifier d’anthropologique, datée de 1910, on peut voir à peu près à quoi ressemblait Omaï. On est ici face à un rite traditionnel de passage à l’âge adulte chez les Maoris, peuple de Nouvelle-Zélande. L’homme allongé est entrain de se faire encrer un Moko, un tatouage facial, par le Tohunga ta moko, le maître tatoueur en habit traditionnel ( à gauche ), à l’aide d’Uhi, qui sont des os d’albatros travaillés et sculptés

dérivée de la racine « ta » (dessin) et qui signifie : dessin inscrit dans la peau. Il s'agit d ' u n mot piège dans la mesure où chacun de nous en a une représentation particulière. Il peut être chargé d ' i m a g e s de carnaval, de guerriers Maori, de marins ivres, de « rock-stars » et malheureusement d ' i m a g e s de l ' h o l o c a u s t e p u i s q u ' o n sait que les détenus des camps de concentration étaient tatoués d ' u n matricule. Ainsi le tatouage suscite curiosité, répulsion

trouve un document remarquable sur la façon de marcher de la femme Maori (Nouvelle-Zélande). (Ne dites pas que ce sont des primitifs, je les crois sur certains points supérieurs aux Celtes et aux Germains.) « Les femmes indigènes adoptent un certain « gait » (le mot anglais est délicieux) : à savoir un balancement détaché et cependant articulé des hanches qui nous semble disgracieux, mais qui est extrêmement admiré par les Maori. Les mères dressaient (l'auteur dit « drill ») leurs filles dans cette

he pararera ke ke ke ke he pararera ke ke ke ke Ce poème est-il destiné à être lu à haute voix ou bien silencieusement ? Il semblerait que l’absence de sens compréhensible pour un lecteur ou auditeur francophone (les mots sont d’origine maorie, mais également incompréhensibles pour les lecteurs parlant cette langue) nous pousse à le lire à haute voix. Ainsi Tristan Tzara mène le lecteur à une compréhension et utilisation de la poésie toute autre que celle à laquelle il a été habitué, c’est