Maoris

(Essai sur le don, 1923) autour de la question de l’échange surtout les échanges ritualisés chez les Maori de Polynésie : cérémonie du « Potlatch »puis applique ce schéma aux sociétés industrialisés. Les échanges de bien dans une société primitives il montre que l’échange sociale ne peut pas se réduire à un échange de bien (dimension économique) ; et pour montrer ceci il va étudier la cérémonie de Maori où on échange de bien symbolique (bijoux, décoration) et lors de cet échange il est important de

l'intérêt de son témoignage. La reine Oberea et le capitaine Wallis, 1767 De Bovis commence par identifier les habitants de l'archipel comme faisant partie d'un même peuple qui s'étend de la Nouvelle-Zélande aux Îles Sandwich (les îles Hawaï) : les Maori. Que l'on qualifiait généralement d'Indiens ou de Canaques. Il s'étend sur la question du nombre d'habitants. Quand les Français dénombrèrent 7000 Tahitiens à l'établissement du Protectorat (1842) ils jugèrent avec ironie les estimations élevées établies

don supérieur au don offert. Il prendra alors la place de donateur qui obligera le nouveau donataire à faire un contre-contre don, etc. Il faut préciser que le don lui même n'est pas vide et creux, mais qu'il est chargé d'une âme (hau en langage maori, sujet de l'étude de Mauss), celle du donateur : « Accepter quelque chose de quelqu'un, c'est accepter quelque chose de son essence spirituelle, de son âme » (essai sur le don, M.Mauss, p 161) LE POTLATCH Nommé ainsi par Mauss en langue amérindienne

donner, de recevoir et de rendre. Il n’y aurait donc jamais de don gratuit, mais toujours un don qui suppose un contre don (sauf dans le sacrifice). Cette obligation triple qu’il croit universelle, serait liée à l’idée moderne d’intérêt. ✓ Les maoris : dans le don réside l’esprit de l’objet (hau), qui passe d’un 1er objet à un 2ème qui sera rendu ou offert à un nouveau destinataire qui finira par revenir au 1er. ✓ La kula : il y a compétition comme le prestige de l’objet donné (bracelets

utile d’examiner en détail les faits sociaux et culturels dont parle Mauss : le potlatch, cette fameuse « guerre des cadeaux » des Amérindiens de la côte nord-ouest du Canada, le kula des archipels Trobriand, à l’est de la Nouvelle-Guinée, le hau des Maoris de Nouvelle-Zélande. La thèse centrale de l’anthropologie de Mauss est que dons et cadeaux constituent la forme la plus ancienne de l’économie : à ce titre, ils sont universels, ayant précédé le troc et le marché. Mais cette position souffre d’une

morts dans leur voyage vers l'au-delà. À cette époque, on attribuait aux tatouages des propriétés magiques et religieuses. Le tatouage fut pratiqué par les Egyptiens dès 2000av.J.-C. Les tatouages en couleurs se développèrent fortement chez les Maoris de Nouvelle-Zélande et furent pendant un temps une forme d'ornement prisée en Chine, en Inde et au Japon. On pensait que les tatouages offraient une protection contre la malchance ou la maladie. Ils servaient aussi à identifier le statut ou le rang

en séquence 3. Imaginez surtout que quelqu’un vous écoute et trouve un grand intérêt à ce que vous dîtes. Facts Introduction to the topic Date : 11 February 2009 Ngati Toa (a Maori tribe) acquired international property rights to the haka ritual. (= nobody can use the haka without their permission) The haka = Maori male dance ritual (the All Blacks perform it before each match) the All Blacks = New Zealand rugby team To stop film directors and advertisers exploiting the haka in films and commercials

quarter-finals. They are today considered the most emblematic rugby team worldwide. 3. Réponse libre des élèves. 4. The Haka is a traditional war song and dance of the Maori in New Zealand. It embodies the Maori war culture to challenge an opponent. It starts with the knees bent with hands on the hips, waiting for the call from the leader to begin. The Maori used to sing it before a battle to impress the opponents, in sport events, they sing and dance it before their rugby match begins. ▶ Avec une classe très

et paysages de ce pays.  1er Séjour 1891-93 Paroles du diable 1892 National Gallery of Art Washington DC | | Dans cet "ailleurs", Paul Gauguin fait d'abord oeuvre d'ethnologue, manifestant une grande curiosité pour la culture et le culte maori, dont il va utiliser les sujets dans ses tableaux.Il y est aussi fasciné par le charme indolent des beautés locales et peint une Océanie paradisiaque (que l'arrivée des Occidentaux avait déjà pourtant grandement commencée à détruire).Gauguin s'y affranchit

manger quelqu’un qui fait partie de la société, de la famille. Il s’agit de manger un par un, quand il est mort. On ne mange pas les femmes. Le cannibalisme social est une attitude face à la mort, manière de rendre hommage aux Attitude Exemple : Les Maori (Nouvelle-Zélande) Autre type de cannibalisme : L’auto-cannibalisme. Il existe une société : « Iroquois ». Ce peuple obligeait leur prisonnier à se manger euxmêmes tellement ils étaient affamés. Claude-Lévi Strauss (français 20ième) est né à Bruxelles