Maoris

bolchevisme, par allusion aux baleines sur lesquelles, d'après une vieille croyance populaire, repose le globe terrestre » Le film Paï de Niki Caro (2002), dont l'action se situe en Nouvelle-Zélande, est une fable sur le rapport sacré qu'entretiennent les Maori avec les baleines.

tatouages renvoient à une vision religieuse, culturelle, col- lective. Elles traduisent l'appartenance au groupe, à la communaute, à un «nous autres». Chez nous, elles renvoient au «moi», au «je», à l'individualisme. Quand un jeune emprunte aux tatouages maoris, dans la majorité des cas, il ne connaît pas leur culture. Parfois même, il ignore leur localisation géographique. Propos recueillis par Jeanne RAY POUR ALLER PLUS LOIN • Signes d'identité: tatouages, piereings et autres marques corporelles, de David

avec les autres, contrairement à Nike où le temps n’est pas représenté jusqu’à même devenir une marque mythique, c’est-à-dire hors du temps. Nike a aussi utilisé les signes tribaux des néo-zélandais mais dans un sens différent. 3 Le tatouage maori n’est pas ici appréhendé en tant que coutume. En effet Cantonna est français, il n’y a donc pas d’idée de retour aux sources ou d’appel aux Dieux. C’est plus un état d’esprit qui est représenté. Il s’agit de rage et même d’agressivité, accentuée par

royaumes, les tentatives des différentes citées d'être la "capitale", et les guerres civiles pour tenter d'usurper le trône. Nous sommes habitués a penser que le succès militaire est basé sur l'armement et non l'approvisionement alimentaire. Les Maoris, en Nouvelle-Zélande, nous on prouvé le contraire. Ils se livraient tès régulièrement des guerres féroces, mais limitées par leur modeste agiculture, principalement la patate douce, ils ne pouvaient pas produire assez pour nourrir l'armée sur une

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qu'il atteinte la maturité sexuelle. Le moa se nourrissait de brindilles, graines, feuilles et fruits. L'extinction du moa: Comparé au dinosaures, le moa a disparu depuis moins longtemps. Son extinction serait estimée à 400 ans. Lorsque les Maoris sont arrivés en Nouvelle-Zélande, ils ont commencé à chasser les moas car leur viande était abondante, leur peau pouvait s'utiliser pour fabriquer des vêtements et les os pouvaient servir de bijoux. Chaque tribu consomma environ 10 moas par semaine

vision d'André Dubreuil sur l'ornementation de maitnenant. Dans chaque oeuvre, un message est transmit, une histoire, un sentiment, l'ornementation a ce but, de raconter et de montrer quelque chose. On peut prendre pour exemple l'art des tatouages maori, qui est un ornement sur la peau, ce sont des motifs répétés sur tout le corps, qui racontent quelque chose, qui ont des significations. Les ornements, appliqués sur un édifice ou autre, leur servent comme de vêtement ou de parure pour en rehausser

aussi la raffiguration du metis, une forme de créature monstreuse: si l'on indentifiait une statue antique dans la partie gauche du corps et du visage, l'autre moitié était composée d'une sculptureen bois décorée de motifs semblables aux tatouages maoris. Le message se voulait simple et immédiat: de la rencontre de deux races, presentée ici comme la superposition de deux procédés artistiques l'une figuratif et l'autre décoratif, naissaient l'horreur, mais ussi l'hybridration et la mort parce que elle

manière indélébile certaines catégories de gens comme les esclaves ou les prisonniers. Mais les raisons pour lesquelles les gens choisissent d'être tatoués sont diverses : identification à un groupe, magie ou autre.. LA Nouvelle-Zélande Les Maori de la Nouvelle-Zélande a créé l'un des les plus impressionnants cultures de toute la Polynésie. Leur tatouage, appelé « moko », reflète leur art raffiné en utilisant leurs compétences. Le moko en plein visage est leur marque de distinction, qui a communiqué

raisonnement morale au raisonnement anthropologique ce qui n’est pas toujours compatible avec l’Etat de droit. Exemple : en 1835 la communauté des Maori du nord de la Nouvelle Zélande envahirent les îles Chatham à l’est occupées par la communauté Mariori. Ces derniers furent emprisonnés voire mangés et cela a été expliqué par le fait que c’est dans la culture des Maori de faire ce qu’ils veulent des prisonniers, notamment les manger. Conclusion de Barry : un monde où chaque groupe adhère uniquement à ses