Marbre

Louvre, Paris. Narcisse, marbre, Musée national du Bargello, Florence. Cosimo I de Medici, 1545-1547, bronze, Musée du Bargello, Florence. Ganymède et l'Aigle, v.1548, marbre, Musée du Bargello, Florence. Il s'agit de la restauration d'un torse antique par Cellini. L'enlèvement de Ganymède, bronze, Musée du Bargello, Florence. Apollon et Hyacinthe, marbre, Musée du Bargello, Florence. Satyre, 1542, bronze, J. Paul Getty Museum, Los Angeles. Crucifix de marbre (1556-1557), conservé à l'Escurial

C’est un sonnet qui célèbre l'humanisme et la grandeur romaine tout en exprimant le regret du pays natal a. Rome, la magnifique  Les palais, noblesse, permanence du marbre  v.10, diérèse sur audaci-eux : les palais « prennent beaucoup de place » ! Hommage paradoxal car miné par l’impression que grandeur = prétention et marbre = dureté b. Rome et la tradition humaniste  Jason, Ulysse : le rôle des modèles  Noms de lieux romains (Mont Palatin, Tibre)  Allusions teintées de familiarité caractéristique

Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. Poème mélancolique ( mélancolie à la mode au 16em siècle) --> Surtout dans

gaine pour fermer le tissus. Entre ces personnages, nous retrouvons des statuettes d’Hercule tenant sa massue à droite et de Venus su un globe terrestre avec son fils Amour à gauche. Autour de chacun d’eux nous retrouvons des colonnes en imitation marbre posées sur des consoles avec, juste à côté, au niveau de la tête, une tête de félin au rôle apotropaïque. Ces deux éléments sont surmontés d’un chou bourguignon et d’un fronton avec une tête en mascaron au centre. En dessus de ces personnages on

plusieurs caractéristiques d’exception : il est entièrement en marbre 3. il s’oppose au style ionique 4. Le Parthénon est construit en marbre du Pentélique. Son toit était couvert de tuiles de marbre, agrémentées d'antéfixes en palmettes polycromes, et figurant des têtes de lions aux angles, faisant office de gargouilles 5. 8 × 17 colonnes, soit un total de 46 colonnes, chacune composée de 10 à 12 tambours à 20 cannelures. En marbre ; 1.  les stylobates et les architraves sont incurvés ;

prédestinés à vivre l’avenir ensemble. En effet, l’auteur fait référence à la mythologie grecque pour définir les deux jeunes gens : « A leur silence, à la naïveté de leurs attitudes, à la beauté de leurs pieds nus, on eût cru voir un groupe antique de marbre blanc représentant quelques-uns des enfants de Niobé ». Niobé était la fille de Tantale et la femme d’Amphion. Elle mit au monde sept garçons et sept filles (les Niobides). Très orgueilleuse, elle vantait sa fertilité et la beauté de sa progéniture

jeté bas ». (v. 1) Rejet insiste sur cette brisure. + v 16 : « allée jonchée des débris ». 2) la fragilité du sentiment amoureux : Amour figuré par la dureté du marbre mais le marbre de l’amour n’est pas si dur que cela. « tournoie épars ». « épars » « tournoie » (v. 6) mots employés pour désigner les feuilles mortesIci, marbre de l’amour a la fragilité des feuilles mortes. Il est mort comme elles. 3) B – le vent : le temps qui passe 1)Vent n’est plus le vent doux que l’on peut lire

rectangulaire de 40 m de long, 13 m de large et 21 m de haut, avec une voûte en berceau et 12 fenêtres cintrées qui l'éclairent. La voûte en berceau est divisée en lunettes correspondant aux douze fenêtres. Le sol est couvert de marbre polychrome. Une grande balustrade, transenne de marbre grillagée, œuvre de Mino da Fiesole, rappelant l'iconostase des orthodoxes sépare l'espace réservé aux clercs et celui alloué aux laïcs. C’est de même Docli qui va embaucher les premiers peintres décorateurs de la chapelle

Vasco Kruijsen TG04Persée et la GorgoneINFORMATION SUR L’ARTISTELAURENT HONORÉ MARQUESTE [TOULOUSE, 1848 – PARIS, 1920]Description de l’œuvre Marbre Sculpture 1875-1890 H. 186 ; L. 131 ; P. 125,5 cm Dépôt du musée d’Orsay, 1999 Exposée au musée des beaux-arts de Lyon Depuis la nuit des temps, les hommes inventent des histoires pour se rassurer ou pour s'évader. Les mythes antiques ont traversé les siècles et nous fascinent toujours autant. Ils envahissent nos musées

mise en forme de la pensée. Pourtant, si les théories ne sont pas éternelles, certains des éléments qui entrent en jeu dans leur conception sont présents dans la culture depuis les temps les plus anciens. Les mathématiques, par exemple, qui sont le marbre de la pensée, ou encore les formes, circulaires, triangulaire etc. qu’elles soient réalisées plastiquement ou à l’œuvre dans des raisonnements, tout cela forme la base de notre culture pluri-occidentale. Le travail de Raphaël Zarka repose essentiellement