Marcel Côté

Lucio Fontana créait toujours le même type d’œuvre, à savoir des toiles tailladées. Ce concept, qui met en avant la l’ouverture de l’espace de représentation fut un succès au sein du marché de l’art. On peut donc supposer que l’artiste a laissé de côté sa propre liberté de création pour rester dans un concept demandé par le marché de l’art. Le deuxième paradoxe est que l’État assure la divulgation de l’art qu'il prône, tout en rejetant les autres formes d'expression artistique. Il chercherait à instaurer

l’auteur. L’auteur par le biais du héros exprime son avis, ses émotions, ses valeurs… Il manipule donc le lecteur qui s’identifie au héros donc a lui. L’identification du lecteur au héros empathie sur ses idées. Par exemple dans le roman Du côté de chez Swann de Marcel Proust, Proust exprime ses émotions, ses sentiments à travers le narrateur « Ma déception était grande » si le lecteur s’identifie à lui il partagera les mêmes sentiments, émotions que lui. Il n’est plus tout à fait maître de ses pensées

rappelle le titre, aux valeurs de la société, et semble effacé. De plus, le héros peut également incarner le personnage d'un récit autobiographique. En effet, l'auteur raconte un souvenir, ses mémoires, ses traumatismes ou sentiments. Marcel Proust, dans, Le côté de Guermantes, raconte une expérience de jeunesse, l'amour qu'il portait à une actrice, la Duchesse de Guermantes. Il évoque la fascination, qu'il avait pour cette femme, et le souvenir qu'il en a. Le héros réaliste permet aux lecteurs

plus improbable et laisse la place au point de vue interne et au monologue intérieur des personnages. (ce qui ne veut pas dire qu’il ne reste pas d’écrivains plus traditionnels…) Le monde est donné à voir à travers une conscience. C'est ce que fera Marcel Proust avec les 7 volumes de A la recherche du temps perdu. Jean-Paul Sartre ou Camus proposent dans leurs romans des réflexions philosophiques sur la nature humaine, sur le mal, sur le sens de l'existence (voir Camus, la peste, l'étranger ) Remise

L'étude de la question de focalisation dans Un amour de Swann de Marcel Proust Dr. Mohammad Javad Shokrian Ahmadreza Heidaripoor ** * Maître-Assistant, Université d'Ispahan Titulaire d'un master en langue et littérature françaises, Université d'Ispahan Résumé La présente recherche, en s’appuyant sur les concepts narratologiques de Gérard Genette, cherche à étudier la question du point de vue dans Un amour de Swann de Marcel Proust. L’analyse minutieuse de cette question s’avère importante

la sans-visage Que je savais qui secouait la porte Du couloir, du côté de l'escalier sombre, mais en vain, Si haute était déjà l'eau dans la salle. Je tournais la poignée, qui résistait, J'entendais presque les rumeurs de l'autre rive, Ces rires des enfants dans l'herbe haute, Ces jeux des autres, à jamais les autres, dans leur joie. "Les planches courbes" Yves Bonnefoy - poésie Gallimard La Bastide Neuve Marcel Pagnol "Alors commencèrent les plus beaux jours de ma vie. La maison

narratrice de l’histoire, elle raconte ses vacances d’été, elle décrit les événements ainsi que ses sentiments lors de cette période. Cadre spatio-temporel : La jeune femme est à Paris lorsqu’elle parle de ses vacances passées dans une villa de la Côte d’Azur. 2) Fiche auteur : Sa vie : ( Ecrivain français née le 21 juin 1935 à Carjac (Lot). ( Issue d’une famille de la grande bourgeoisie, Françoise Sagan passe une enfance épargnée par les pénuries de la Seconde Guerre mondiale. Les

parler du droit d’adoption pour les homosexuels et avec des différences qu’il pourrai y avoir entre les enfants dont les parents ont un même sexe et les autres Livres : La gloire de mon père : Dans cette autobiographie, Marcel Pagnol raconte sa jeunesse l’admiration qu’il avait pour son père, l’innocence que l’on a lorsqu’on est enfants et les bêtises que l’on fait en toute naïveté. Poils de Carotte : Ce livre écrit par Jules Renard nous raconte l’enfance d’un jeune

différente que peuvent avoir les personnages. Marcel Proust, dans son roman A la recherche du temps perdu, met en avant la vision subjective du monde qui construit la réalité romanesque autant qu'elle s'appuie sur une réalité objective : autant de regards sur le monde, autant de mondes qui surgissent dans le roman. Proust va même jusqu'à affirmer que le romancier, lorsqu'il écrit, ne fait que traduire sa vision du monde. James Joyce, qui rencontra d'ailleurs Marcel Proust, s'inscrit également dans cette

qui fait le plus scandale et déchaine les passions : le nu descendant l’escalier de Marcel Duchamp qu’il rencontrera l’année suivante. La rencontre avec Duchamp est décisive pour lui faire découvrir, aimer et adopter l’esprit dada. En 1915, 1ère collaboration avec un poète, sa propre femme dont le nom d’écrivaine est Adon Lacroix : MR calligraphie les poèmes, les enrichit de dessins et de lithographies. Avec Marcel Duchamp et Francis Picabia, il participe au mouvement Dada à New York. Sa peinture